
L’artiste bédéiste algérien Abdelhamid Amine, dit «Nime», a reçu le prix du courage artistique en marge du festival de BD d’Angoulême en France.
Abdelhamid Amine recevra, demain samedi, ce prix du Off d’Angoulême, qui récompense chaque année des auteurs et artistes menacés dans leur pays.
L’artiste algérien avait été Arrêté en novembre dernier et condamné à un an de prison dont trois mois ferme, avant d’être libéré de prison début janvier.
Né en 1985, diplômé des Beaux-Arts, Abdelhamid Amine a illustré plusieurs contes pour enfants, travaillé dans diverses agences de création graphique et de publicité, tout en continuant à évoluer dans le champ de la bande dessinée.
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1-Nettoyer le bol de toilette avec du Coca-Cola
Et oui! Versez un peu de Coca-Cola dans la cuvette, laissez agir un moment et tirez la chasse d'eau!
2- Nettoyer le sang
Vous avez un peu de sang sur vos vêtements? Versez un peu de Coca-Cola sur une éponge, frottez la tache de sang et lavez vos vêtements dans la machine à laver.
3-Faire disparaître les taches de rouille
Il y a de la rouille sur du métal? Et bien versez un peu de Coca-Cola sur du papier d'aluminium et frottez la rouille!
crédit photo : wikihow.com

« Enfance zéro violence, zéro silence… Dites-le ! ». C’est la phrase qui doit atteindre, dès aujourd’hui, des millions d’auditeurs, de téléspectateurs et tous les citoyens algériens dans tous les espaces.
Une campagne de sensibilisation contre les violences faites aux enfants est lancée ce 26 avril par l’UNICEF en partenariat avec des acteurs institutionnels et de la société civile. Le lancement officiel en a été fait ce matin par UNICEF Algérie et ses partenaires au niveau du centre culturel Aissa Messaoudi de la Radio nationale.
Objectif, contribuer à aux efforts jusque-là fournis par les différents acteurs de la société (institutions et associations) dans la lutte contre les différents types de violences faites à nos enfants.
En effet, si les chiffres sont déjà plus qu’éloquents, il ne s’agit en réalité que de la partie visible du phénomène.
De par sa fragilité, l’enfant est doublement victime. D’abord de cette violence qu’il subit, mais surtout du silence fait autour de lui et de la banalisation de ces actes quotidiens et qui, pourtant le marqueront tout au long de sa vie.
Cette campagne vient rappeler le droit des enfants à la protection, à commencer par la dénonciation de la violence pour « rendre visible l’invisible ».
Selon les chiffres fournis par l’UNICEF, « près de 95 000 enfants ont été victimes d’homicides en 2012 (…) Près de la moitié des filles âgées entre 15 et 19 ans à travers le monde croient que le fait qu’un mari frappe sa femme est parfois justifié » et que « 3 adulte sur 10 à travers le monde croient que les punitions physiques sont nécessaires pour bien éduquer les enfants ».
Qu’en est-il en Algérie ?
Selon les statistiques de 2014 de la DGSN (direction générale de la sûreté nationale) et du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière de 2012, « 5 220 enfants ont été victimes de différentes formes de violences durant les 9 premiers mois de 2014, la violence corporelle vient en tête avec 3 100 cas en 2014, soit 60% des cas (…) Durant les 9 premiers mois de 2014, 1420 enfants ont été victimes de violences sexuelles ».
A noter que cette campagne cible quatre types de violence en société, à savoir les violences domestiques, sexuelles, psychologiques (c’est le notamment le cas au sein des écoles), et les violences contre des enfants porteurs d’handicaps.
source : radioalgerie.dz
crédit photo : lanation.dz

Nouveau temps fort de l'Institut français d'Algérie, les Rencontres d'Ibn Khaldûn sont un cycle arabophone et/ou bilingue qui permettra d'aborder des thématiques variées par des spécialistes éminents des sociétés arabes, de sa complexité et de sa richesse culturelle.
Pour l'acte I de ces rencontres, Ibn Khaldûn sera mis à l'honneur. Historien, économiste, géographe, démographe et précurseur de la sociologie, Ibn Khaldûn incarne la figure par excellence du penseur maghrébin.
Plus de six cents ans après sa mort, son héritage n'a de cesse d'être honoré en Algérie, dans le Maghreb et dans le monde.
Table-ronde maghrébine et en arabe sur l’œuvre et la vie d’Ibn Khaldûn pour aborder son héritage intellectuel et de l’usage qui en est fait.
Avec : Abdesselam Cheddadi, anthropologue et professeur-chercheur à l'Institut Universitaire de la Recherche Scientifique, à l'Université Mohammed V de Rabat (Maroc).
Khaled Kchir, professeur d'histoire médiévale à l'Université de Tunis (Tunisie).
Amara Allaoua, professeur d'histoire à l’Université de Constantine.
Mohamed Hamdaoui, directeur du laboratoire « Néo-Khaldounisme, Institutions Sociales et Pouvoir » à l’Université de Mostaganem.
Modération : Fatma Ousseddik, professeure d’anthropologie et de sociologie à l’Université d’Alger.
Pour réserver, merci d'écrire à cette adresse: ibnkhaldun2021.alger@if-algerie.com
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