Formation/atelier mosaïque à Alger centre 15 Octobre 2020 Art § Culture § Artisanat
Atelier Sarah mosaique فسيفساء سارة organise une formation de mosaïque le 16 et 17 octobre 2020
Les ateliers de mosaique peuvent être en séance ou par sessions intensives, vous pourrez réaliser une mosaïque différente, moderne et originale, la technique sur mortier-colle ouvre des possibilités infinies.
Cette formation vous permettra de travailler la coupe du verre, vous pourrez y intégrer toute sorte d'éléments.
Prix 2500 DA par 2 heures ( de 1 a 3 élève )
Pour toute inscription : Tel 0555 39 43 13
Article recommandé
-
Ouverture d'un bar à couscous à Blida23 Janvier 2019
- 1 tomate bien mûre
- 1 c. à soupe d'huile d'olive
- 1/2 gousse d'ail
- 1 c. à café de concentré de tomate
- 0,5 cm de piment doux
- 150 ml de bouillon de légumes
- Sel, poivre
- Premièrement, pour réaliser cette soupe brûle graisse à la tomate, commencez par laver soigneusement votre tomate. Puis, pelez-la et découpez-la en cubes.
- Ensuite, écrasez l'ail et découpez le piment très finement.
- Puis, dans une casserole, faites chauffer l'huile d'olive. Jetez-y l'ail, le piment et la tomate et laissez revenir 3 minutes. Ajoutez le concentré de tomate puis assaisonnez avec du sel et du poivre. Couvrez avec le bouillon de légumes et laissez mijoter à petit feu 20 minutes.
- Enfin, mixez la soupe de tomate dans le bol d'un blender jusqu'à obtention d'un mélange liquide et homogène. Au besoin, vous pouvez ajouter de l'eau. Servez sans attendre.
-
Soupe brûle graisse à la tomate et au piment02 Juin 2020
-
Elle a percé le mystère de la matière cachée : Nabila Aghanim, la savante qui traque l’invisib05 Février 2021
-
Garder un beau brushing, même par temps de pluie10 Mars 2016
-
Conférence : Peut-on résister à l’urgence ?19 Avril 2014
Un bar à couscous vient d’ouvrir ses portes depuis peu au niveau du centre de la ville de Blida.
Amateurs de couscous et de plats traditionnels à box prix, « Couscous Kitchen » a ouvert ses portes à Blida. La ville est une première destination pour la marque qui entend se lancer sous forme de franchise et s’installer dans d’autres villes.
Le concept est simple : réconcilier le consommateur avec les plaisirs de nos plats traditionnels tout en gardant les avantages du modèle fast-food, c’est-à-dire disponibilité et rapidité.
Pour sa première sélection, « Couscous Kitchen » offre des h’riras à 150 DA, des couscous et tajines à 150 DA, ainsi que des boureks à 50 DA.
Le tout est à déguster dans un espace à la décoration originale et à l’aspect simpliste à la façon des Milk bars polonais.
L’établissement est d’ores et déjà à découvrir du côté de l’Avenue Ben Yamina, Ouled Yaich (à 100 mètres du rond-point du commissariat).
source : www.laminutec.com #couscous_kitchen_blida
Pour 1 personne
Préparation
Nabila Aghanim, astrophysicienne et cosmologiste algérienne, dont le nom est souvent cité dans les prestigieuses revues d’astrophysique et d’astronomie, a encore brillé dans le ciel de la recherche scientifique. Elle a pu percer l’un des mystères de la cosmologie moderne : celui de la matière cachée. La scientifique travaille actuellement à l’Institut d’astrophysique spatiale relevant du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de l’université Paris-Saclay, en France.
Nabila Aghanim est native d’Alger où elle a fait tout son cursus scolaire jusqu’à l’obtention à l’université d’un diplôme d’études supérieures (DES) en physique. Enfant, son regard était déjà tourné vers le ciel. Elle était fascinée par les étoiles scintillantes qui embellissent la voûte céleste. «Je garde toujours ces souvenir lorsqu’on se rendait en famille en Kabylie pendant les vacances.
A l’époque, il n’y avait pas trop d’éclairage public. Cela nous permettait, une fois la nuit tombée, de voir clairement le ciel, la Lune, les astres, la voie lactée. Je trouvais cela beau et inspirant», se souvient-elle. Quant au déclic, il a eu lieu à l’école primaire. Le mérite revient à une enseignante remplaçante. «Elle nous a lu en classe un chapitre d’un livre évoquant la formation du système solaire et du système Terre/Lune. C’était pour moi une révélation. Je me suis rendu compte qu’on pouvait expliquer les phénomènes naturels à très grande échelle.
C’est à cet instant que ma passion pour le cosmos est née. Je pense qu’il est très important de donner de l’inspiration aux enfants et ne pas les décourager», dit-elle. Après le bref cours en classe, la curiosité de l’écolière est attisée. Mille questions tournent dans sa tête. Outre leur beauté, les astres cachaient bien des mystères à élucider. Le rêve de devenir astrophysicienne la hantait déjà. La jeune Nabila a été encouragée et soutenue par sa famille, ses professeurs et son entourage, dans son élan vers la réussite. «J’ai toujours porté le rêve de devenir astrophysicienne et décortiquer l’univers observable et le transcrire en équations. Pour y arriver, on me conseillait souvent de maîtriser les mathématiques et la physique.» Après l’obtention de son baccalauréat, elle s’inscrit donc à l’Université des sciences et de la technologie Houari Boumediène pour étudier la physique, son domaine préféré.
Départ vers la France
Après avoir décroché le fameux DES en physique, la future savante s’engage dans une thèse en astrophysique. «Quand j’ai commencé à me renseigner, je me suis rendu compte que la meilleure façon de faire ma thèse de doctorat était, malheureusement, de quitter l’Algérie. L’astrophysique s’enseignait dans de nombreux pays, Etats-Unis, Allemagne, Italie, etc., mais comme beaucoup d’Algériens, j’avais de la famille en France. C’est là que je suis allée et cela m’a facilité les choses d’un point de vue économique et humain.» Une fois son choix fait et quatre années plus tard, Nabila Aghanim décroche un doctorat d’astrophysique de l’université de Paris Denis Diderot. Un autre long parcours l’attendait pour se voir attribuer un poste de chercheur permanent. Il lui a fallu, à l’instar de ses camarades, passer par des formations postdoctorales, des contrats temporaires de recherche.
«J’avais le choix entre Copenhague au Danemark et l’université de Californie à Berkeley, aux Etats-Unis. Finalement mon choix s’est porté sur Berkeley.» Malheureusement, le séjour a été écourté. Au lieu de passer deux années, elle n’y reste que 6 mois. «C’était à l’époque de la décennie noire en Algérie. L’ambassade des Etats-Unis en France n’a pas voulu prendre le risque de voir quelqu’un arriver sur le territoire américain et qui pourrait y rester.»
Persévérante de nature, Nabila n’a pas baissé les bras. De retour en France, elle obtient un nouveau contrat de recherche au Centre national d’études spatiales et dépose une candidature, la troisième, au CNRS. Et cette fois-ci, la brillante scientifique est enfin acceptée. C’était en 1999. Une nouvelle carrière commence. «C’est plutôt une continuité et une évolution», précise-t-elle. En 2005, une médaille de bronze du CNRS lui a été décernée pour ses travaux de recherche.
Elle devient directrice de recherche en 2010. Selon le site du CNRS, Nabila Aghanim est l’un des piliers de la mission Planck de l’Agence spatiale européenne (ESA) visant à percer les mystères de l’univers primordial et l’évolution des structures cosmiques. Sa contribution à la mission Planck et ses travaux de recherche lui ont valu la médaille d’argent du CNRS en 2017
El watan.com
40Garder un beau brushing, même par temps de pluie
par jeanlouisdavid.com :
La météo a joué les capricieuses ce printemps… Et même si vous ne vous séparez jamais de votre parapluie, l’humidité donne du fil à retordre à votre impeccable brushing. Nos conseils pour rester au sec !
Pour des cheveux impeccablement lisses même par temps de pluie, il faut préparer le terrain avant et après. Pas question de laisser la pluie et l’humidité gâcher votre journée et votre coiffure !
Le jour J (ou la veille), utilisez un shampooing lissant pour lisser les écailles et faciliter ainsi le brushing. Une fois les cheveux lavés et parfaitement essorés, commencez par pré-sécher la chevelure. « Et avant d’empoigner votre fer à lisser, vaporisez quelques gouttes d’un spray lissant thermo-protecteur ( ou d'un sérum lissant) . Celui-ci va faciliter le lissage et dompter les frisottis tout en les protégeant de la chaleur de votre appareil. »
Une fois dehors, on garde bien en main son parapluie pour passer à travers les gouttes ! Après l’averse, n’oubliez pas de vous occuper de vos cheveux. « Vous pouvez utiliser un spray anti-humidité et lisser de nouveau vos cheveux pour les texturiser et les recoiffer. » Vaporisez quelques gouttes de ce produit dans vos mains et chauffez-les. Appliquez ensuite sur la chevelure en insistant sur les demi-longueurs et pointes.
Dans tous les cas, évitez d’enfiler un chapeau pour échapper à la pluie car il a tendance à chauffer le cuir chevelu qui transpire et fait ainsi friser le cheveu en provoquant de l’humidité.
Notre astuce : Pour terminer le coiffage et le fixer, vaporisez un peu de laque directement sur votre peigne. Et coiffez ainsi les cheveux légèrement, en restant en surface. Vos cheveux resteront lisses plus longtemps !
Conférence : Peut-on résister à l’urgence ?
Par Gilles Finchelstein, Directeur général de la fondation Jean-Jaurès et Directeur des études du groupe Euro RSCG Worldwide. Auteur de La dictature de l’urgence (Fayard)
Le culte de la vitesse et de l’instant bouscule toutes les facettes de nos vies personnelles – notre santé, nos repas, nos loisirs – et professionnelles – pression accrue, exigences de rentabilité croissantes. Il pèse aussi sur notre vie publique : les faits divers se traduisent immédiatement en lois, lesquelles sont de plus en plus souvent votées selon une procédure… d’urgence ! Ce nouveau rapport au temps est une des causes les plus profondes de nos maux contemporains. Il place nos sociétés sous tension. Il délégitime le politique. Il risque d’aboutir au sacrifice des générations futures, bien au-delà de la dette ou du réchauffement climatique. Alors, que faire ? Répondre à la vitesse par la vitesse ? S’engager, à l’inverse, sur la voie de la décroissance ? Gilles Finchelstein propose ici une autre voie pour décélérer, retrouver la perspective du temps long et sortir enfin de la dictature de l’urgence.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.