
Cheveux longs légèrement dégradés, carrés mi-longs sophistiqués, graphiques ou bouclés, franges longues, coupes ultra courtes, structurées ou volumineuses.... Cette saison, les coupes tendances automne hiver 2019 nous apportent un souffle de liberté, de naturel. Les coupes de cheveux proposées dans les collections automne-hiver sont droites, peu effilées, mais structurées de façon à mettre en avant les visages, redonner du pep's et de la matière aux cheveux abîmés par l'été.
source : lscoiffure.fr
Cheveux longs : des coupes glamour et volumineuses !



Cheveux mi-longs : du coiffé-décoiffé glamour !




Une conférence en forme de spectacle, un spectacle en forme de cours de maths, un O.V.N.I. théâtral...
Un spectacle pour les cancres, les traumatisés et les fanatiques ! Et, en guise de préambule, un petit exercice d’application…
Nombre de places limité
Compagnie Sous un autre angle
Entrée sur carte d'accès.
jeudi 08 octobre à 15h00à l'Institut français d'Alger
Réservation à l'adresse suivante: theatremadmaths2015.alger@if-algerie.com

Constantine :
Le Plus Grand Salon de la formation et de l’orientation d’Algérie ''KHOTWA'' débarque à Constantine !
Le Salon de l'Etudiant et des Nouvelles Perspectives ''Khotwa'' arrive au Palais de Culture Malek Haddad de Constantine le 15 Février 2018.
Oran :
La Quatrième édition du Salon de l'Etudiant et des Nouvelles Perspectives #Khotwa aura lieu au Centre de Conventions d'Oran les 20 et 21 Février 2018

Sa chanson « Echemaâ » (La bougie), a bercé toute une génération au début des années 1990. Son décès prématuré à l’âge de 37 ans, endeuillera tout Alger.
Originaire du village d’Aït Bouali (commune de Fréha, Tizi-Ouzou), il est né le 30 janvier 1961 à Bouzaréah, sur les hauteurs d’Alger. Il a grandi dans le quartier populeux de Gai Soleil, au sein d’une famille modeste, entassé dans un appartement exigu, niché au douzième étage.
Au départ, respectant la trilogie des démunis (s’en sortir par le sort, le spectacle ou le trabendo), il est attiré par le football. Son père s’y oppose et, à la suite de très bons résultats scolaires, préfère l’encourager à aller plus loin dans ses études.
Kamel suit le chemin du frère aîné qui s’adonnait à la musique et choisit la voie artistique.
Ses débuts, il les effectue en 1974, lorsque, membre de l’UNJA, il monte un groupe chaâbi. Sa voix posée et attendrissante le fera vite remarquer, d’abord par les gars du quartier, ses premiers admirateurs. A la tête d’une nouvelle formation, il anime en 1978, fêtes de mariage et de circoncision et son nom circule avec de plus en plus d’insistance. Il lui faudra toutefois attendre 1985 pour tenter un essai discographique qui ne sortira jamais, car le producteur décrétera la mort du chaâbi face à la déferlante raï. Commercialisé sous forme de cassettes en 1990, il n’obtient aucun succès. Deux enregistrements suivront, mais la reconnaissance tarde à venir. En 1991, coup de tonnerre dans un ciel endeuillé par la violence ambiante, une cassette émerge : « Echemaâ » (La bougie), récitée avec conviction sur le mode sika sbania (flamenco), est un succès dans lequel toute une jeunesse se reconnaît.
Subissant l’influence à la fois de cheikh El Hasnaoui et de Dahmane El Harrachi, Kamel Messaoudi commet « Ah ya Dzaïr », un vrai manifeste où le chaâbi renoue avec la réalité sans perdre de sa poésie. Très exigent envers lui-même, il choisit méticuleusement ses sujets. Il préfère des chansons à thèmes et des paroles de choc qui laissent des empreintes.
Appréciant aussi bien Ezzahi que George Michael ou Magda Roumi, il est conscient que c’est grâce aux jeunes de sa génération, tels Meskoud et Doumaz, que le renouveau du chaâbi devient possible.
Le 10 décembre 1998, après avoir participé à une émission télévisée en direct, Kamel Messaoudi décède dans un accident de la circulation survenu à Alger.
Source : Babzman.com
« Dictionnaire encyclopédique de l’Algérie », par Achour Cheurfi. Editions ANEP, 2007.

GE sponsorise la conférence « Africa Renewable Energy & Power Infrastructure » et souligne son soutien au plan de développement des énergies renouvelables en Algérie
Alger, le 1er mars 2017: General Electric (GE) souligne son soutien au plan national de développement des énergies renouvelables lors de la conférence Africa Renewable Energy & Power Infrastructure, qui s’est tenue aujourd’hui à l’hôtel Sofitel, Alger. En tant que sponsor principal de la conférence, GE a participé à deux panels rendant compte du potentiel solaire, éolien et hydraulique de l’Algérie, et a présenté ses solutions et technologies dans les énergies renouvelables.
M. Touffik Fredj, Président Directeur Général de GE Afrique du Nord-Ouest, a déclaré en marge de l’événement : « Fort d’une présence de plus de 40 ans, GE a toujours été un partenaire de l’Algérie dans sa stratégie de développement du secteur énergétique. Le pays est fortement engagé dans la transition énergétique et dans l’intégration des énergies renouvelables dans son mix. Nous sommes heureux de voir cette transition se réaliser et ainsi renforcer notre engagement dans le soutien au plan ambitieux de développement des énergies renouvelables fixé par le gouvernement ».
Le programme du gouvernement actualisé consiste à installer une puissance d’origine renouvelable de l’ordre de 22.000 MW à l’horizon 2030 pour le marché national, dont 10.000 MW pourraient être dédiés à l’exportation. Le volume de gaz naturel épargné par ces 22.000 MW en renouvelables atteindra environ 300 milliards m3, équivalant à 8 fois la consommation nationale de l’année 2014. Le programme s’accompagne d’une stratégie industrielle dont l’objectif est d’atteindre un taux d’intégration de 50% en 2020, et de plus de 80% en 2030.
L’Algérie dispose d’une capacité éolienne très importante estimée à 35 TWH par an, compte tenu de la taille du pays. En effet, le Nord méditerranéen est caractérisé par un littoral de 1200 km et un relief montagneux qui présente des microclimats, ce qui lui donne un fort potentiel dans le développement de l’énergie éolienne.
En plus d’un fort potentiel éolien, l’Algérie possède le champ solaire le plus important au monde et la capacité la plus importante de tout le bassin méditerranéen, avec un territoire composé à 86% du désert saharien, 2000 heures d’ensoleillement annuel moyen. L’énergie générée par le solaire représenterait 5000 fois la consommation algérienne en électricité.
La demande en électricité est en constante augmentation dans le pays, on compte 7% d’augmentation entre 2014 et 2015 atteignant 65,4 TWh. Alors qu’un tiers de l'électricité dans le monde est déjà produite avec des équipements GE, l’entreprise estime avoir plus de marges de progrès dans le domaine des renouvelables. En effet, GE possède une expertise globale, l’une des offres en énergies renouvelables la plus vaste de l’industrie, et est un des leaders sur le marché de l’énergie hydroélectrique. GE est également actif sur l’ensemble du cycle de vie des projets dans les énergies renouvelables à travers ses offres de services, ses structures de financement et ses solutions industrielles numériques.
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