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Vos enfants s’absentent à l’école ? Vous serez prévenus par SMS
Pour renforcer la collaboration entre l’administration scolaire et les parents d’élèves, le ministère de l’Education nationale vient de mettre en place une nouvelle procédure visant à impliquer davantage les parents dans l’évaluation de leurs enfants.
En effet, désormais, les administrations des écoles communiqueront avec les parents d’élèves à travers des SMS au lieu des convocations envoyées par voie postale.
Le ministère de l’Education nationale a décidé de lancer un nouveau procédé visant à pousser les parents à s’impliquer davantage dans le suivi de leurs enfants
scolarisés dans les cycles primaire, moyen et secondaire.
Il s’agit d’un système de communication par SMS.
Selon les déclarations de la ministre de l’éducation nationale, Mme Nouria Benghabrit-Remaoun, au quotidien arabophone El Khabar dans son édition de ce dimanche 18 janvier 2015, ce système devra permettre d’aviser les parents des absences, du rendement scolaire et du comportement de leurs enfants. Consciente de la barrière qui se dresse depuis quelques années entre les enseignants, les administrations des écoles et les parents, la ministre de l’Education a précisé que ce nouveau projet vise à rapprocher les parents et les enseignants pour l’intérêt de l’élève. Ainsi, les parents ne seront plus convoqués par le biais de leur enfant scolarisé ou par voie postale. Ils recevront plutôt des SMS sur leur téléphone les invitant à se rapprocher de l’école. “C’est pour offrir aux parents la chance de participer à l’évaluation de leurs enfants et de les suivre de plus près que le ministère a pris la décision de mettre en place ce programme”, explique Mme Benghabrit. Ce programme qui s’inscrit dans le cadre de la gestion de proximité assure un contact direct entre l’école et les parents. “Le ministère de l’Education est en phase de finaliser les contrats avec les opérateurs de téléphonie mobile pour faciliter cette démarche”, a-t-elle assuré à El Khabar. La nouvelle mesure sera généralisée aux cycles primaire, moyen et secondaire et assurera une meilleure coordination entre l’école et les parents .
source : algerieconfluences.com
source photo : livesms.eu
Immédiatement après la naissance, 80% des nouvelles mères subissent des sautes d'humeur et une grande tristesse sans raison et des difficultés d'attachement au bébé, ce phénomène est connue sous 2 formes:
• 1] Le baby blues ou « syndrome du troisième jour », moins grave que la dépression, il apparaît chez la mère dans les premiers jours qui suivent l’accouchement.
Les symptômes se manifestent par de l’irritabilité, de l’anxiété, de la vulnérabilité et des sautes d’humeur. Il s’agit d’une réaction transitoire qui s’explique par une chute hormonale importante et brutale, il est généralement passager et dure quelques jours.
Dans la plupart des cas, les symptômes s’estompent d’eux-mêmes.
• 2] La dépression post-partum, elle touche 10% des mères au cours des trois premiers mois d'accouchement.
Les spécialistes s’entendent pour dire qu’il n’existe pas de cause unique à la dépression post-natale, mais plutôt une combinaison de facteurs.
La maman éprouve une tristesse permanente pendant au moin deux semaines, un sentiment de découragement, des plaintes somatiques comme des céphalées ou des douleurs abdominales, mais surtout, des phobies d'impulsion « la crainte de faire du mal à son bébé » avec une tendance à l'isolement et des idées suicidaires.
▪La dépression post-partum n'a rien à voir avec la faiblesse de caractère, c'est un trouble psychique qu'il faut prendre en charge chez un psychiatre, car des solutions existent.
Dr Otmane Telba Médecin Psychiatre
Effarant ! Bien qu’on en parle que très peu, le phénomène du divorce en Algérie prend des proportions «alarmantes». 120 à 150 cas de divorce sont enregistrés quotidiennement selon le président de l’association Djazaïr El Kheir.
Ce constat «triste» d’une société qui tenait pourtant, il n’y a pas si longtemps, à des valeurs ancestrales a poussé l’association à tirer la sonnette d’alarme et à envisager même un projet de formation sur la culture du mariage au profit de nouveaux couples.
Le projet a été lancé mardi a annoncé le président de l’association, Aïssa Belakhdar, lors d’un forum sur la «Réussite familiale», organisé à l’occasion de la Journée mondiale de la femme au siège du quotidien El Djoumhouria. «Ce projet de formation vise à assurer la stabilité des couples et le maintien des valeurs traditionnelles face à l’effrayant nombre de divorces et la montée des maux sociaux et leurs conséquences sur la dislocation de la structure familiale», a souligné l’orateur qui pense lancer, par ailleurs, un concours prochainement sur «la famille modèle» à travers le territoire national.
Ceci dit, les chiffres officiels, bien qu’ils datent de quelques années déjà témoignent de l’ampleur du phénomène qui tend à se banaliser, changement de mode de vie aidant (nouveaux droits pour les femmes, femmes au travail de plus en plus nombreuses..). Alors que ce changement de mode de vie devrait en principe aider à l’émancipation de la cellule familiale, il est devenu aujourd’hui un facteur de divorce dans bien des cas. Le divorce enregistre dans notre pays, selon certains chiffres, une hausse d’environ 7% par an.
Le nombre des désunions est passé de 29 731 en 2004 à 31 133 en 2006 et 41 549 en 2009. Selon d’autres chiffres officiels plus récents, de 2007 à 2011, le divorce a connu une hausse de 61%, passant de 34 123 à 55 490 cas enregistrés par an. Sur ce nombre de divorces, la répudiation, un droit de l’époux, arrive en tête de liste avec 106 614 femmes répudiées en cinq ans. Selon un bilan de l’ONS rendu public l’année dernière, près de 15% des mariages en Algérie se terminent en divorce. Ainsi, pour un nombre de 387 947 mariages enregistrés en 2013, il a été constaté un nombre de 57 461 divorces contre 54 985 l’année d’avant, soit un taux de 14,8%.
La répudiation comme le montrent ces chiffres, est de loin, la «manière» la plus répandue avec laquelle le divorce est prononcé. Avec les nouveaux droits acquis par les femmes à la faveur de nouvelles lois, il n’est pas dit que ces chiffres «effarants» vont baisser à l’avenir. Le divorce, non seulement sépare les deux époux, mais impacte négativement sur les enfants.
lesdebats.com
La caisse de la Zakat (aumône) est devenue ces dernières années la cible privilégiée des « fidèles » à la recherche d’un butin « de prière ». A l’approche des fêtes religieuses, notamment l’Aïd et l’Achoura, beaucoup de musulmans, pratiquants ou pas, mettent la main à la poche et accomplissent le deuxième pilier de l’Islam. En de pareilles occasions, le butin est assez conséquent aux yeux des voleurs et cambrioleurs. Bien gros qu’il séduit autant de prédateurs.
Jadis connues par les vols récurrents des chaussures des fidèles, ces lieux de culte censés être des endroits sûrs et à l’abri de tels forfaits, connaissent un nouveau genre de vol : sondouq ezzakat (la caisse de l’aumône). Ce phénomène de cambriolage, qui fait beaucoup jaser ces jours dans notre société, est apparu ces dernières années avec l’apparition du « sondouq ». Car avant, il n’y avait point de caisses destinées à la collecte de la zakat dans les mosquées.
L’année dernière, plusieurs cambriolages ont été enregistrés dans différentes mosquées, à travers toutes les wilayas du pays, comme c’est le cas à Alger. Cette année encore, plusieurs vols ou tentatives de vols par effraction ont été enregistrés cette dans des mosquées de différentes localités d’Alger.
En effet, la mosquée Ennour (la lumière), située au quartier Belle Vue, dans la circonscription d’El Harrach, un « fidèle » s’est emparé de l’argent de la zakat à la veille de l’Aïd El Adha, après y avoir accomplie sa prière d’El Aïcha. La mosquée El Wafaa (la fidélité), dans la localité de Baraki, a fait, elle aussi, l’objet d’un cambriolage. Après avoir tabassé et enlevé l’Imam, avant de le relâcher un peu plus loin, une bande de voyous aurait réussi à s’emparer du fameux butin.
Une autre mosquée a fait l’objet d’une tentative de cambriolage au quartier Fayzi, dans la localité de Bordj El Kifan, dans la banlieue est d’Alger. Un jeune SDF, âgé d’une trentaine d’année, aurait failli emporter l’argent n’était-ce la vigilance du gardien de la mosquée qui l’aurait surpris en train de commettre son forfait. Le cambrioleur aurait abandonné son butin et pris la fuite, avant d’être arrêté et remis à la police par des jeunes du quartier. Ces derniers seraient intervenus suite à l’alerte donnée par le gardien qui était à la poursuite du malfrat. Durant son procès en justice, le supposé cambrioleur a plaidé innocent.
Un jeune homme d’une vingtaine d’année, récidiviste, aurait réussi à s’emparer de deux caisses de la zakat, respectivement à la mosquée « Errahma » (la miséricorde) de Bab Ezzouar et celle de « Salah Eddine El Ayoubi » d’El Harrach. Son butin s’élèverait à 40 000DA (10000 et 30000 da). Lors de son procès, le prévenu aurait reconnu les faits et dit avoir agit sous l’effet de psychotropes.
Un étudiant, originaire d’Oran, aurait, lui aussi, tenté de cambrioler la mosquée du 1er novembre à Beni Messous. Lors de son jugement au tribunal de Bir Mourad Raïs, le prévenu a nié les griefs qui lui sont reprochés, affirmant s’être rendu à la mosquée pour y passer la nuit.
Les Mosquées, ces sanctuaires dédiés à la foi, la miséricorde et la repentance, sont devenus désormais la cible privilégiée des cambrioleurs. L’appât est toujours le même : le soundouq de la zakat. Un argent collecté dans l’opacité la plus totale et échappant à tout contrôle. Contacté pour avoir des éclaircissements sur la légalité et les textes régissant l’opération de collecte de la zakat, le chargé de la communication au ministère des Affaires religieuses et des Wakfs est demeuré injoignable pendant toute la journée de jeudi. Même déception auprès de la cellule de la communication de la DGSN que nous avons pu joindre, mais sans pour autant réussir à avoir des statistiques officielles quant au nombre des mosquées cambriolées.
source photo : site magharebia.com
source : algérie-focus.com
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