Cake salé poulet-courgette
- 100 g de farine
- 1/2 sachet de levure
- 3 oeufs
- 10 cl de lait
- 40 g de beurre fondu
- 1 escalope de poulet cuite
- 1 petite courgette
- 1/2 oignon
- 15 g de gruyère râpé
- 1 c à s d'huile d'olive
- Sel, poivre
· Noix de muscade
Préparation
Étape 1
Préchauffer le four à 225°C ( 180°C si c'est un four à chaleur tournante).
Dans une jatte, mélanger la farine et la levure avec les oeufs.
Ajouter le beurre fondu et délayer avec le lait.
Incorporer le gruyère râpé, assaisonner légèrement, râper un peu de noix de muscade et réserver.
Étape 2
Couper la courgette en petits dés et la faire cuire dans une sauteuse avec l'huile d'olive. Ajouter le demi oignon émincé, saler, poivrer et réserver.
Couper le poulet en dés.
Étape 3
Incorporer la courgette-oignon, le poulet et le fromage dans la pâte, mélanger et verser dans un moule à cake qui aura était chemiser d'une feuille de papier cuisson.
Enfourner pour 30 minutes de cuisson environ.
source : 750g.com
source photo : cuisine-etudiant.fr

“Familles, traumatismes et résilience”
Colloque international les 1er et 2 décembre à Béjaïa
Par : journal liberté
La Faculté des sciences sociales et humaines, université Abderrahmane-Mira de Béjaïa, organisera les 1er et 2e décembre prochain, un colloque international intitulé “Familles, traumatismes et résilience”. Les participants se pencheront sur différents cas rencontrés en consultation et discuteront sur la réaction des familles algériennes face à la maladie mentale d’un des leurs, à la violence et à tout autre traumatisme. Plusieurs questionnements vont ainsi structurer le colloque, qui seront soumis à la réflexion des psychologues et des sociologues, algériens et étrangers. La rencontre s’adresse aux chercheurs en sciences sociales et humaines, mais elle intéresse également les praticiens et les intervenants sociaux auprès des familles et des fratries.

Parce que « La santé est, de tous les trésors, le plus précieux et le plus mal gardé »
Thighra en collaboration avec l’association « ma santé en valeur », l'EPSP de Tazmalt et l’EPH d’Akbou ont le plaisir de vous annoncer l’organisation d’une caravane médicale pluridisciplinaire.
L’objectif est d’assurer des consultations gratuites (spécialisées et de médecine générale) au profit de la population des communes d’Ighil-Ali et d’Aït R'zine.
Pour une meilleure organisation, plusieurs associations ont été également sollicitées pour cibler et prioriser les personnes en grandes difficultés.
L’ensemble des professionnels de santé, notamment nos villageois, sont invités à nous rejoindre pour réussir cette journée
L’événement se déroulera le vendredi 28 septembre 2018 à l’école primaire de Takorabt à partir de 8 heures.


Animation : La véritable histoire du Petit Chaperon Rouge
Du 05-12-2013 au 05-12-2013
De 20:00 à 21:30
Présentation
Date de sortie : 25 janvier 2006
Réalisé par : Todd Edwards ,Cory Edwards
Durée : 1h20min
Pays de production : américain
Année de production : 2005
Titre original : HOODWINKED
Synopsis
Une petite fille avec une capuche rouge, un loup, une mère-grand, une chevillette, une bobinette, un panier avec une galette... Vous pensez connaître cette histoire ? On ne vous a pas tout dit. Toute la forêt est en émoi depuis qu'une enquête confronte tous ces personnages...
Lieu : Filmathèque Zinet
Adresse : Centre des Arts de Riadh El Fath, El Madania, Alger
Tel : + 213 (0) 21 67 57 65
source : kherdja.com
LE DG de l’Enacta l’a révélé hier
Des véhicules d’origine non identifiée sur nos routes
Par : journal liberté
C’est Abdallah Leghrieb, directeur général de l’Enacta, qui tire la sonnette d’alarme sur ces véhicules “hors normes” qui constituent un danger public.
“La qualité et la conformité des véhicules importés relèvent du ministère de l’Énergie et des Mines à travers le service de l’homologation, mais il nous permet d’avoir la traçabilité sur la qualité du produit. Car, après tout, le véhicule n’est pas un produit ordinaire. Il exige beaucoup de paramètres de sécurité. Aussi, seuls les concessionnaires seront responsables des services après-vente et de la disponibilité de la pièce de rechange. Donc, cette loi (loi de finances 2014, ndlr) tombe à point nommé pour remettre de l’ordre, afin d’identifier les responsabilités.” C’est ce qu’a déclaré, hier, Abdellah Leghrieb, directeur général de l’Entreprise nationale du contrôle technique automobile (Enacta) lors de son passage à l’émission de la Chaîne III, “L’invité de la rédaction”. Interrogé à ce sujet, M. Leghrieb n’a pas mâché ses mots pour dénoncer ce qui se passe actuellement sur le marché du véhicule neuf en Algérie. Bien placé pour le dire à travers le contrôle technique, l’orateur abordera ensuite l’origine des voitures importées, un axe qualifié d’“important”. “Cet axe nous renseigne sur un nombre de prestations du véhicule, notamment sa durée de vie qui ne doit pas être inférieure à 5 et 10 ans. Mais ces véhicules sont importés d’un peu partout et nous ignorons l’origine de leur montage. Aujourd’hui, si nous n’arrivons pas à l’entretenir correctement, donc à bricoler, cela aura fatalement des répercussions”, dira encore M. Leghrieb.
Le patron de l’Enacta ne s’arrêtera pas là. Il dira en substance que “l’origine du véhicule est extrêmement importante, car à la longue, sa traçabilité nous permettra de demander au constructeur d’effectuer les ajustements qu’il faut en matière de sécurité et de son suivi. Dans le cas contraire, on ne sait pas vers qui se tourner demain !”. D’ailleurs, et pour illustrer cet état de fait, il révélera que “lors des accidents de la circulation, on a eu du mal à extraire les victimes de leurs véhicules. Et ça, c’est fatal ! C’est une grave défaillance. Car, ce genre de véhicules ne jouissent ni de sécurité active, ni de sécurité passive”. Il citera, entre autres, la dilatation des matériaux due aux grandes chaleurs et qui condamnent les victimes, surtout au Grand-Sud. Et là, si la voiture prend feu, c’est le drame. Évoquant la responsabilité des acheteurs, il mettra en avant le choix lors de l’acquisition d’une voiture. Indirectement, il fera savoir que les voitures moins équipées, donc moins chères, sont les plus vulnérables et plus exposées à ce genre de situation.
5 000 véhicules retirés et 40 000 autres en sursis en 2013
Revenant au contrôle technique, M. Leghrieb rappellera que les 10 organes de contrôle sont obligatoires, y compris certains points extérieurs et l’habitacle. Mais, depuis avril dernier, date d’entrée en vigueur du nouveau dispositif, le contrôle est devenu plus sévère.
Ainsi, près de 5 000 véhicules particuliers et utilitaires ont été retirés de la circulation alors que 40 000 autres véhicules ont été mis en sursis par les organes de contrôle techniques à cause des défaillances. “Le danger réside dans le fait que les propriétaires des véhicules retirés et soumis à la contrevisite, continuent de rouler ! Nous sommes en train de travailler avec le ministère des Transports afin d’effectuer une traçabilité pour interpeller ces automobilistes qui mettent en danger leur vie et celle des autres. Là, il faut impliquer les services de sécurité et les agences de contrôle pour un travail de coordination pour retirer les documents aux réfractaires pour effectuer les réparations. C’est de cette manière que nous pourrons arriver aux solutions concrètes dans l’intérêt de la sécurité routière.”
Cette idée sera ainsi soumise aux assises nationales sur les transports. Concernant les véhicules âgés de 20 ans, M. Leghrieb a élagué la question arguant que l’Enacta se limite à la seule tâche du contrôle technique et non au facteur âge. “Il y a bien des véhicules neufs et qui sont dans un état lamentable !”, se justifiera-t-il. Pourtant, la disposition de retirer ces véhicules a bel et bien été promulguée. Mais bon, à chacun son champ d’intervention.
En revanche, M. Leghrieb interpelle les transporteurs de marchandises dont les véhicules sont défaillants, car, dit-il, “le contrôle technique est un acte volontaire et citoyen.” En ce sens, il rappellera la périodicité du contrôle et la responsabilité pénale du conducteur, non sans interpeller les services de sécurité pour arrêter les personnes réfractaires à la loi. D’autant que l’Enacta dispose de 307 agences, 3 stations mobiles et 703 lignes de contrôle mises à la disposition des automobilistes pour effectuer le contrôle technique et d’éviter les accidents mortels sur la route. Y compris dans les localités enclavées du Grand-Sud, ou encore dans les sites pétroliers de Sonelgaz où 17 000 véhicules ont été contrôlés par les brigades mobiles. Cela va sans dire que l’Enacta a également sévi pour retirer des agréments aux agents qui effectuent des contrôles de complaisance.
En 2013, une agence a été fermée, alors que 30 autres agences ont vu leur agrément retiré. Quatre autres agences ont reçu des avertissements. Ce chiffre sera revu à la hausse, selon M. Leghrieb. Depuis 2003, plus de 21 238 111 véhicules ont été contrôlés. Sur ce chiffre global, 556 459 sont soumis à la contrevisite, 218 608 véhicules immobilisés et 775 067 autres voitures soumises partiellement à l’immobilisation durant la même période. Aux yeux de M. Leghrieb, “le parc automobile se rajeunit davantage et cela peut régler beaucoup de problèmes sur nos routes.”
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.