
Avec la pandémie du Coronavirus, ce néologisme s'est invité dans notre quotidien, résultat du port du masque prolongé sur notre visage. On fait le point sur ce phénomène qui ressemble à de l'acné et sur la manière de limiter ses effets.
Maskné, ou mascné. Le mot, fusion de masque et acné, est apparu dans la foulée de la pandémie. Et semble depuis englober tous les maux du visage. Mais si ce phénomène réel est fréquent, il définit une problématique bien particulière qui ne saurait inclure tous les effets secondaires liés au port du masque.
On fait le point avec Toni Ionesco, dermatologue à l'hôpital Saint-Louis et directeur de la communication scientifique Uriage, et Isabelle Carron, créatrice de la marque Absolution, élaborée à partir d’extraits végétaux certifiés bio ou sauvages.
Une peau à l'épreuve du masque
Avec le port du masque imposé et prolongé, le visage n'est pas à la fête. Protégée certes de la pollution, la peau se voit exposée à d'autres facteurs qui ne lui veulent pas du bien. Bien sûr, il y a les frottements répétés mais aussi l'humidité produite par notre propre respiration. «C'est comme si notre peau confinée était exposée à un milieu tropical. Or, c'est ce que préfèrent les microbes», observe Isabelle Carron. «On parle d’un milieu occlusif : on envoie de l'humidité, des frottements sont exercés. La peau respire donc moins bien», complète Toni Ionesco.
LES PRODUITS À ADOPTER POUR LIMITER LES BOUTONS SOUS LE MASQUE
De l'importance d'identifier le maskné
Irritations, boutons, zone de sécheresse... Les effets secondaires que nous constatons depuis quelques mois sont nombreux. Mais ne sont pas pour autant tous à ranger dans la catégorie du maskné. «Pour la plupart des gens, il va s'agir de ce dernier. Les boutons rouges et les points noirs vont être plus fréquents en cette période. Il ne faut pas oublier que, au-delà du masque, c'est la maladie dermatologique la plus fréquente : elle touche 80 % des adolescents et entre 12 et 40 % des femmes adultes», rappelle le dermatologue. «Mais le port du masque va aussi aggraver d'autres problèmes de peau préexistants comme la rosacée ou la dermite séborrhéique. Ou encore de l'eczéma pour les peaux atopiques.»
Pour le médecin, il ne faut donc pas confondre le maskné avec d'autres problèmes de peau, qui s'aggravent avec cette contrainte nécessaire par temps de pandémie. Quand à la localisation des boutons ? Evidemment au niveau de la partie masquée, là ou le masque touche et frotte la peau. Pour la fondatrice d'Absolution, «il se localise un peu plus au niveau de la mâchoire, du menton ou à côté de la bouche».
La routine à adopter
Bien identifier ce qui perturbe notre visage a donc son importance, notamment dans la routine et les soins à adopter. «Si on applique une crème anti-acnéique sur une rosacée, cela va empirer le phénomène.» Pour le dermatologue, il semble essentiel de bien connaître sa peau pour adopter les bons réflexes. «Si on avait des problèmes d'acné auparavant on peut continuer à utiliser ses crèmes dermocosmétiques dédiées. On peut aussi, après avoir consulté un médecin, compléter sa routine d'un traitement médicamenteux adapté. Si on souffrait de problème de couperose, on choisira des soins adaptés à cette problématique.»
Protéger, isoler et apaiser
Mais si on a du mal à identifier ou interpréter les réactions de notre peau ? «On privilégiera une crème apaisante et isolante, qui fonctionne dans les différents cas, à appliquer matin et soir. Toujours en veillant à bien se laver les mains avant l'application.» Protéger, isoler et apaiser, ou la bonne équation d'une routine efficace. Pour Isabelle Carron, le traitement du maskné passe par «le fait de rétablir l’écosystème de la peau. Le but n'est pas d'assécher mais d'agir en douceur. Ce qui ne veut pas dire lentement pour autant. La philosophie d'Absolution est de travailler sur le microbiote, d'utiliser les bactéries qui vont nourrir flore cutanée.»
Dans tous les cas, les deux professionnels sont d'accord sur l'importance de bien nettoyer sa peau le soir, mais en douceur, avec les produits adaptés et sans frotter. Le dermatologue recommande en cas de maskné, un gel qui aide à éliminer le sébum type Hyséac d'Uriage. Mais pas un «savon qui enlèvera trop de sébum et donc aura pour conséquence un rebond de production de gras sur les peaux acnéiques». Autres alternatives : un syndet nettoyant comme un gel ou un pain dermatologique sans savon, à rincer, seront tout à fait adaptés. Pour sa part, Isabelle Carron recommande le Baume Céleste de sa marque, une huile gélifiée qui favorise le massage. «Mais on évite en revanche de se démaquiller aussi le matin. On a tendance à confondre nettoyer et récurer avec pour conséquence des acnés réactionnelles.»
Elle conseille également de ne pas abuser des gommages, «pas plus d'une fois par semaine et on peut même se contenter de deux fois par mois. Ils sont également à éviter en cas d'acné inflammatoire.» Dernière recommandation ? «Beaucoup de gens optent pour des masques à l'argile verte. C'est une bonne idée mais ils ont tendance à dessécher un peu la peau, il faut donc bien hydrater ensuite. Et surtout ne pas le laisser sécher.» madame.lefigaro.fr

13 mai 1958, débute une campagne d’occidentalisation (c’est le terme employé par les médias de cette époque) et visant la femme algérienne. Le pouvoir colonial aidé ar la population européenne veut, par la contrainte et la force, obliger les femmes algériennes à se débarrasser du haïk, voile traditionnel, symbole de l’identité et de l’histoire du pays, porté depuis des lustres par la gente féminine algérienne.
S’en suit des actes de menaces, de renvoi des femmes musulmanes de leur travail ou des actes délibérés d’arrachage de voile sur la voie publique par la population européenne.
Sous les cris de joie et du slogan «vive l’Algérie française» martelé à l’envie par les Européens. On assiste à des scènes de prosélytisme barbare où des femmes musulmanes sont exhibées sur des podiums improvisés pour les dévêtir de leur voile et le bruler ainsi sur la voie publique.
Le haïk est bien plus qu’un symbole culturel bien encré dans la société algérienne, c’est également une arme efficace contre l’occupant. Pendant la guerre d’Algérie et notamment lors de la bataille d’Alger, cet accoutrement a permis aux femmes de transporter au péril de leur vie des armes et des bombes destinées aux combattants algériens afin de mener des actions armées contre les forces de l’occupant. Ce vêtement a donc été un moyen d’émancipation et de combat pour les femmes algériennes et qui leur a permit de s’engager pleinement dans le processus de libération du pays.
Frantz Fanon, psychiatre en 1953 à l’hôpital psychiatrique de Joinville (Blida) est né le 20 juillet 1925 à Fort-de-France en Martinique. Héros de la lutte antinazie en 1943 et figure de proue du combat contre le colonialisme et pleinement engagé pour l’indépendance de l’Algérie évoque dans son livre « Sociologie d’une révolution » le fait que le haïk de la femme algérienne était un des enjeux de la guerre libération. «Convertir la femme, la gagner aux valeurs étrangères, l’arracher à son statut, c’est à la fois conquérir un pouvoir réel sur l’homme et posséder les moyens pratiques, efficaces, de déstructurer la culture algérienne…Chaque voile qui tombe, chaque corps qui se libère de l’étreinte traditionnelle du haïk, chaque visage qui s’offre au regard hardi et impatient de l’occupant, exprime en négatif que l’Algérie commence à se renier et accepte le viol du colonisateur».
Il est fort intéressant de faire un parallèle avec l’actualité brûlante d’aujourd’hui et le débat prégnant qui secoue actuellement la société française.[…] Le hijab, ou voile islamique, foulard musulman s’est donc imposé ces dernières années comme un symbole. Il se positionne en balise entre le dedans et le dehors, le montré et le caché, le visible et l’invisible… mais, porté par des jeunes françaises issues de l’immigration maghrébine, il devient un signifiant polysémique, qui donne à voir autant qu’il cache. Le voile met l’accent sur un conflit identitaire plus que religieux.
Il semble pertinent de mettre en exergue le caractère relativement universel de la symbolique que l’on dénote à travers le port du voile. En effet, quelles que soient les obédiences et les traditions, on retrouve sous le voile l’idée de la Vérité, de la connaissance cachée ou révélée. Le dévoilement a une valeur initiatique et révélatrice et par conséquent ne relève pas du corps législatif ou décisionnaire.
babzman.com

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la rédaction
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BLIDA - Le téléphérique reliant la ville de Blida à la région montagneuse de Chréa reprendra du service à partir de la semaine prochaine, a-t-on appris, mardi, auprès du directeur du transport de la wilaya.
"Ce télécabine assurant la liaison entre les villes de Blida et Chréa, reprendra du service la semaine prochaine, suite à une importante opération de maintenance ayant consisté dans le renouvellement de ses câbles, s’étendant sur prés de 8 km", a indiqué à l’APS Ramdane Cherif Idir.
Ajoutant que la reprise d’activité de ce moyen de transport fait suite à l’annonce de la décision du Premier ministre relative à la reprise d’activité du métro et des téléphériques, suspendue en raison de la pandémie du nouveau coronavirus, a-t-il précisé.
Le responsable a assuré, en outre, l’adoption d’un protocole sanitaire rigoureux fixé par le ministère de tutelle, portant notamment sur l’impératif du port du masque de protection et du respect de la distanciation physique, avec la présence de quatre passagers seulement par cabine, au lieu de six, pour préserver la santé des usagers.
A noter que le téléphérique de Chréa était à l’arrêt pour plus d’une année, pour cause de travaux de maintenance, avant la survenue de la pandémie de la Covid-19 , ayant nécessité la mise à l’arrêt des différents moyens de transport, a signalé M.Idir.
Cette reprise devrait contribuer, selon la même source, à une relance de l’activité au niveau de la région touristique de Chréa, durement impactée par la pandémie, tout en évitant aux visiteurs de cette région les encombrements de la RN37, reliant Blida à Chréa, avec en prime être aux premières loges pour jouir des paysages féeriques de cette région, notamment ses cèdres de l’Atlas.
Le téléphérique de Chréa compte 138 cabines assurant le transport de prés de 500.000 personnes/an. aps
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Appel à toutes les mamans venant d'accoucher et qui veulent perdre quelques kilos :) le nid d'ange à pensée à vous et organise une randonnée au stade 5 juillet, un prof de sport vous accompagnera durant la randonnée.
Équipements :
- une tenue de sport
- une poussette
-une bouteille d'eau
-un biberon pour le bébé
Date vendredi 18 septembre 2015 à 16:00
Au stade du 5 juillet
Pour plus d’info veuillez appelez au : 0660672976
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Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.