
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 1 concombre
- des olives vertes dénoyautées : plus ou moins en fonction du goût
- 1 bûche de chèvre (ou moins, selon votre goût)
- vinaigrette
- basilic
Préparation de la recette :
Peler et couper le concombre en rondelles et le faire dégorger. Couper le chêvre en petits morceaux. Un fois que le concombre à dégorgé, mélanger dans un saladier leconcombre, les morceaux de fromage de chèvre, les olives dénoyautées, le basilic et la vinaigrette.Mettre au frais en attendant de passer à table.
Remarques :
Attention de ne pas saler la vinaigrette car le fromage et les olives apportent assez de sel. On peut aussi ajouter des cerneaux de noix.
source : marmiton.org

Le refoulement par la Russie, le Canada, la France et le Qatar des produits tels que de la pomme de terre, tomate et dattes cultivées en Algérie à cause du taux élevé de résidus de pesticides qu’elles contiennent a largement ouvert le débat sur l’utilisation intensive de ces produits chimiques. Un usage incontrôlé, qui risque de freiner sérieusement l’exportation des produits agricoles.
Samira Azzegag – Alger (Le Soir) – L’alerte a été donnée par plusieurs associations nationales, qui tentent tant bien que mal de sensibiliser l’opinion publique, mais également le gouvernement qui doit prendre des mesures concrètes et rapides surtout, avant que l’image des produits agricoles ne soit définitivement ternie.
Contacté hier par nos soins, Aïssa Manseur, expert en agriculture et conseiller à l’export, a estimé qu’il faut au préalable se préparer avant d’ambitionner d’être un pays exportateur de produits agricoles. «L’export est un processus qui n’est pas du tout développé en Algérie. Pour le faire, il faut répondre à plusieurs critères.»
Selon lui, il est primordial d’arriver à faire une production pérenne en quantité suffisante et de bonne qualité afin d’honorer les engagements vis-à-vis de l’importateur étranger. «Chose qui s’avère impossible actuellement, puisque les conditions exigées par les pays importateurs ne sont pas réunies». Plus explicite, il ajoute que le produit destiné à l’exportation doit répondre aux normes internationales, en matière de qualité et être compétitif sur les marchés nationaux.
Et pour réussir le processus d’exportation, il faut également trouver des marchés où vendre le produit local. Pour cela, explique le même expert, «il y a lieu de mettre en place tout un dispositif de promotion de nos produits, notamment participer à des foires et salons et sans omettre le rôle des représentations diplomatiques algériennes à l’étranger». M. Manceur évoque toute une batterie de mesures incitatives à engager, entre autres mettre à jour la réglementation, les mesures douanières encourageantes et avoir également une base logistique pour assurer notamment le fret. Il propose, toutefois, la création d’agropole, qui peut être une solution pour développer les filières agricoles et promouvoir l’exportation des produits. Il s’agit d’un espace qui regroupe tous les intervenants d’une filière donnée en amont et en aval du processus de production.
A noter que l’Algérie a été parmi les premiers pays à interdire les cultures OGM (organisme génétiquement modifié).
Lesoirdalgerie.com
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Pour établir ce lien entre consommation de pomme de terre et diabète de type 2, le Dr Isao Muraki et ses collègues ont évalué les données de trois études précédentes, réalisées entre 1984 et 2010. Des chercheurs du centre cancérologique et de la prévention des maladies cardiovasculaires d'Osaka ont mené une étude afin de mieux comprendre l'effet de la consommation de la pomme de terre et les risques de développer un diabète de type 2, les résultats ont été publiés dans la revue "Diabète Cares".
A l'eau, au four, en purée ou frite, la pomme de terre, quelle que soit sa forme, peut se révéler dangereuse... Cette maladie survient généralement chez les adultes avançant en âge, et touche davantage les personnes obèses ou ayant un surplus de poids.
Le diabète de type 2 est une maladie qui est caractérisée par un taux de sucre trop élevé dans le sang. "Entre 2 à 4 portions par semaine, le risque augmente de 7 %". Trois études ont été passées en revue et sur 200.000 volontaires professionnels de santé, les scientifiques ont mis en évidence plus de 15.000 nouveaux cas de diabète de type 2 et cela serait directement lié à une consommation régulière de ce féculent la pomme de terre.
Interrogés par le biais d'un questionnaire, des participants sans antécédents cardiovasculaires, de diabète ou de cancer, 70.773 femmes entre 1984-2010, 87.739 femmes entre 1991-2011, et 40.669 hommes entre 1986-2010, avaient indiqué la fréquence à laquelle ils consommaient des pommes de terre sur toute la période et avaient passé des tests tous les quatre ans.
Pour remplacer les pommes de terre, les chercheurs préconisent la consommation de céréales complètes, associées à un risque moins élevé de développer un diabète de type 2. Les facteurs de risque du diabète de type 2 sont nombreux: obésité, sédentarité, hérédité, syndrome métabolique, etc. Mais a priori, la quantité de pommes de terre consommées jouerait aussi un rôle.
Les chercheurs recommandent donc une portion par semaine. Gabon Actualités
référence : la revue "Diabete cares"

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La France a décidé l’instauration de quotas d’immigration professionnelle, prévue pour 2021, afin de répondre aux besoins de main-d’œuvre de plusieurs secteurs. Et les algériens sont concernés par cette nouvelle, selon la ministre française de l’Emploi.
Les quotas seront-ils fixés en fonction du pays d’origine ?
Sur cette question, la ministre française, Muriel Pénicaud, a répondu : « Non, ça n’a aucun sens ».
« l’immigré professionnel aura un visa de travail pour une durée déterminée et un travail déterminé », a souligné ministre de l’Emploi.
Des « quotas » ou « objectifs chiffrés » d’immigrés « professionnels » vont être fixés chaque année, dès l’été prochain, pour que la « France recrute » en fonction de ses besoins de travail, a expliqué la ministre française.
Muriel Pénicaud a ajouté : « On va revoir cette liste chaque année (…) On commence dans quelques semaines avec les partenaires sociaux et les régions. La Dares [cellule statistique du ministère du Travail] et Pôle emploi vont travailler pour analyser tous les métiers en tension (…) On vérifie que tous les efforts de formation ont été faits pour permettre à nos demandeurs d’emploi de prendre ces emplois et ensuite les réfugiés (…), on fixera le nombre de personnes par métiers et par territoire »
algerie360
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.