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Avec la communication qui va dans tous les sens sauf dans celui de la vérité, certains vont jusqu’à remettre en question la présence même du choléra. D’autres informations font état de l’apparition du vibrion cholérique qui était prévisible depuis le mois de janvier. Ce dossier est loin d’être clos. Deux jours à peine après les assurances du ministère de l’Agriculture quant à la bonne qualité des fruits et légumes produits localement, l’Institut Pasteur revient avec une contradiction qui confirme la gestion chaotique de cette épidémie. En effet, au moment où la source du vibrion cholérique n’est toujours pas identifiée, la guerre des informations autour de cette question, qui préoccupe l’opinion publique depuis plus de trois semaines, semble sans fin. Maladie à transmission hydrique (MTH) par excellence, la piste de la présence du vibrion dans l’eau du robinet a été écartée par les responsables du secteur ainsi que les experts. Toutefois, les fruits et légumes — notamment la pastèque, le melon et la salade dont la qualité de l’eau d’irrigation est suspecte — restent une piste probable de la survenue de cette pandémie.
Face à l’état de panique des citoyens qui ont boudé ces produits et la vague de rumeurs sur cette maladie très contagieuse, le ministère de l’Agriculture a décidé de sortir de son silence pour rassurer les citoyens en expliquant que l’eau d’irrigation absorbée par les plantes ne représentait pas de danger pour les productions agricoles. Pour le département de Bouazgui, les fruits et les légumes ne constituent pas un milieu d’évolution du vibrion cholérique. Il avait également déclaré que cette année aucun cas d’irrigation avec les eaux usées n’a été signalé et que les fruits et légumes étaient indemnes de toute contamination dangeureuse.
Une déclaration que contredit formellement l’Institut Pasteur (IPA) dans son communiqué publié sur son site dont la dernière mise à jours date de ce jeudi. Dans ce document, l’IPA met en garde les citoyens quant à une éventuelle contamination des fruits et légumes irrigués avec des eaux usées : «La contamination de fruits (pastèque, melon non lavés) ou légumes pouvant être consommés crus (carotte, concombre, salade, tomate, betterave), irrigués par une eau polluée par les matières fécales est suspectée.» Les experts confortent la piste de l’IPA Les fruits et légumes peuvent-ils être à l’origine de cette maladie ? Pour les experts, la réponse est affirmative. «Plusieurs études scientifiques montrent qu’il existe un lien certain entre la qualité de l’eau d’irrigation utilisée, les techniques agricoles adoptées par les maraîchers et certaines maladies infectieuses qui affectent directement l’homme, et imputent l’entière responsabilité à la transmission dans la chaîne des risques sanitaires.
Selon une étude publiée en 2010, les eaux usées urbaines peuvent ainsi propager dans les cultures de nombreux micro-organismes pathogènes dont le vibrion cholérique», explique Farès Kessasra, hydrogéologue et consultant auprès de l’Unesco, qui s’appuie également sur les déclarations de l’OMS qui confirment la possibilité de contamination en surface des fruits et légumes par le vibrion du choléra provenant d’eaux ou de sols contaminés. Une contamination qui peut durer 10 jours au maximum. L’OMS va encore plus loin en citant également les aliments humides tels que le lait, le riz cuit, les lentilles, la pomme de terre, les haricots, les œufs et le poulet qui peuvent être contaminés pendant ou après leur cuisson et laissés à température ambiante pendant plusieurs heures.
Ils constituent un excellent milieu de culture pour le vibrion cholérique. Pour notre interlocuteur, il ne faut exclure aucune piste, surtout que les agriculteurs algériens font usage de fientes de volaille et autres déchets organiques enrichis aux hormones et anabolisants de croissance non contrôlés provenant de poulaillers. «Les sols se retrouvent contaminés par des matières fécales et toutes les souches bactériennes qui en découlent. Ils utilisent également en toute impunité des eaux usées urbaines mélangées aux rejets des zones industrielles généralement non traitées par les usines et éjectées dans les oueds. Même les eaux souterraines sont contaminées par les rejets d’eau superficielle et le lessivage des sols souillés.
Censées être saines et utilisées pour l’irrigation par captage hydraulique (puits et forages), elles deviennent un milieu favorable à l’apparition et la propagation des MTH», ajoute Farès Kessasra. Avec la confirmation de l’hypothèse de l’Institut Pasteur, une nouvelle zone d’ombre s’ajoute à la gestion de cette épidémie considérée par nombre d’Algériens comme une honte pour le pays. Avec une communication qui va dans tous les sens sauf dans celui de la vérité, certains vont jusqu’à remettre en question la présence même du choléra. Avec les dernières informations confirmant que l’apparition du vibrion cholérique était prévisible depuis le mois de janvier, ce dossier est loin d’être clos.
– Selon le ministère de la santé : 74 cas de choléra confirmés Dans un dernier bilan arrêté ce jeudi, le ministère de la Santé a indiqué, dans un communiqué, l’augmentation des cas confirmé de choléra qui a atteint les 74. Ils sont enregistré dans les wilayas de Bouira (3 cas), Tipasa (15 cas), Alger (15 cas) et Blida qui détient le record avec 39 cas. Les wilayas de Médéa — malgré les dénégations de son DSP — et Aïn Defla ont chacune un seul cas enregistré. Le nombre de patients sortants s’élève à 132, soit 66% de l’ensemble des hospitalisations, note le ministère dans son communiqué. Les malades restants séjournent toujours au niveau de l’EPH de Boufarik et les cas hospitalisés à l’EHS El Kettar ont été déclarés sortants après guérison.
source : elwatan.com
La compagnie aérienne nationale, Air Algérie, a informé à travers un communiqué les nouveaux tarifs promotionnels pour les billets d’avions vers diverses villes françaises mais également pour les billets d’avions venant de France vers différentes villes algériennes.
Liste des tarifs promotionnels vers La France :
Marseille au départ d’Alger, à partir de 17 900 DZD TTC. Paris au départ d’Alger, Oran, Tlemcen, Constantine, Annaba, Chlef, Batna, Biskra et Bejaia : à partir de 21 900 DZD. Lyon au départ d’Alger, Oran, Constantine, Annaba,Batna, Biskra et Bejaia : à partir de 19 900 DZD. Nice au départ d’Alger et Constantine : à partir de 19 900DZD.
Liste des tarifs promotionnels vers L’Algérie :
Alger au départ de Marseille, à partir de 114 euro TTC. Bejaia et Sétif au départ de Marseille , à partir de 149 euro TTC. Annaba, Batna, Chlef , Constantine, Jijel, Oran et Tlemcen au départ de Marseille , à partir de 159 euro TTC.
« La période de vente pour ces promotions s’étend jusqu’au 29 juillet 2019 pour un maximum de séjours de 45 jours. A noter que cette offre est soumise à conditions et qu’elle est « valable dans la limite des sièges disponibles » lit-on, dans le communiqué de la compagnie.
algerie360
Impossible de ne pas le croiser sur les réseaux sociaux. Depuis une semaine, le site kwarat.com qui répertorie les formulaires et listes de documents administratifs se tweete et se partage à vitesse grand V. Un succès non programmé qui a pris de court ses fondateurs comme le raconte à Liberté Yacine Terki, l’un des quatre initiateurs du projet.
C’est un rêve caressé par tous les Algériens : obtenir en un clic le formulaire ou la liste des documents à fournir pour son dossier de visa, CNAS, AADL, etc. Fini les déplacements à répétition pour obtenir les informations, terminé les journées perdues pour finaliser ledit dossier. Alors, forcément, quand un site propose de tels services avec pour slogan « Et l’administration devient plus simple », le succès est immédiat. « Nous envisagions de faire le lancement à la rentrée de septembre mais des internautes ont déniché le site, s’en sont emparés et l’ont partagé sur les réseaux sociaux », explique à Liberté Yacine Terki, l’un des quatre fondateurs du projet kwarat.com.
En une semaine, le site passe d’une centaine de visiteurs par jours à 3000 visites quotidiennes. Cette viralité inattendue a de quoi réjouir ces amis algériens, âgés entre 26 et 34 ans. L’objectif était « de croiser l’intérêt des utilisateurs », déclare Yacine Terki mais « l’histoire a été plus vite que nous », s’exclame-t-il enthousiaste. Car, le site sommeillait sur la Toile depuis deux ans. « Il était en ligne mais difficile à trouver car il n’était pas encore référencé », relate cet ingénieur qui a fait ses armes dans le conseil en ressources humaines entre la France et l’Algérie avant de lancer sa start-up dans les TIC, dans le domaine des « big data » (traitement d’importantes données), en particulier. Mais kwarat.com est avant tout une initiative citoyenne à vocation sociale, souligne ce jeune entrepreneur. « Le but premier du projet est de simplifier la vie des Algériens ».
400 documents collectés
En cela, les initiateurs de kwarat.com, dont l’idée a germé en 2013, s’inspirent des recommandations du think tank « Notre Algérie bâtie sur de nouvelles idées » (Nabni) qui, en 2012, émettaient « 100 mesures visant à entamer la mue de l’Algérie vers le meilleur ». « Nous avons pris les propositions de Nabni au mot et avons réfléchi à un exemple concret qui permettait de simplifier la vie des Algériens », retrace Yacine Terki. « Sachant le cauchemar qu’est l’administration en Algérie, c’est sur elle que nous avons jeté notre dévolu ».
L’optimisme des réactions au projet aidant, les quatre compères se mettent au travail à la fin de l’année 2013. « Nous avons commencé par analyser les besoins en cherchant notamment les requêtes les plus demandées sur les moteurs de recherche » décrit le co-fondateur de kwarat.com.
Une fois les documents identifiés, nous avons monté une petite équipe d’étudiants qui ont travaillé pendant plusieurs mois à la collecte physique des documents. « Pour l’instant, kwarat.com rassemble près de 400 documents à usage des internautes mais l’idée est que cette base de données s’enrichissent grâce à la participation des utilisateurs », explique Yacine Terki.
Site simple et collaboratif
Car telle est la clé du succès et de la pérennité, répète son co-fondateur : Il faut que les internautes s’emparent de kwarat.com afin qu’il devienne un site de référence en matière d’administration. « Pour consulter ou partager un document administratif, le réflexe, dorénavant, doit être de se rendre sur kwarat.com », projette Yacine Terki en mettant en avant « l’utilisation simple et surtout collaborative » de l’outil développé par leur jeune équipe. En un ou deux clics, les utilisateurs accèdent ainsi au document recherché grâce à une arborescence minimaliste organisée en quatre rubriques « formulaires, dossiers, documents types, proposer », à un moteur de recherche permettant une requête directe et à un espace très visuel de nuages de mots. Mais au-delà de « se servir », les utilisateurs devront aussi « s’investir », insiste Yacine Terki en relevant l’importance de la catégorie « proposer ».
« Chaque utilisateur a la possibilité de soumettre un document en se créant un compte utilisateur », détaille-t-il. Mais le site ne se limite pas à des contributions individuelles, « les entreprises, comme les banques, les assurances, etc. peuvent aussi mettre en ligne leurs dossiers ».
Entièrement développé par ses initiateurs et notamment Khireddine Touaibia, le spécialiste informatique de l’équipe, kwarat.com est la création originale des quatre amis. « Ce projet nous a surtout coûté beaucoup de temps, les efforts financiers se limitant à la récolte des informations » précise Yacine Terki. Et si pour l’instant, les retours sont très encourageants, « tout le monde considère que ça rend service » rapporte le co-fondateur, il va falloir que les Algériens remplissent la base pour que kwarat.com poursuive son chemin sur la Toile.
Une application mobile à venir
Car les quatre collègues ne manquent pas d’idées pour faire grandir leur projet. « Nous allons d’abord enrichir le contenu des documents types, puis travailler à améliorer l’application mobile et, enfin, réfléchir à la mise en place d’un espace forum où les utilisateurs pourraient échanger expériences et conseils », énumère Yacine Terki.
Déjà disponible en version responsive, l’application mobile sera améliorée pour mieux répondre aux attentes des utilisateurs nombreux à utiliser leurs téléphones portables pour se connecter sur le site, poursuit l’entrepreneur aux milles idées.
Succès pressant, la page Facebook de kwarat.com, créée il y a deux ans, va aussi être réanimée. « On va commencer à l’animer en expliquant la démarche, en partageant des vidéos et des informations autour de tout ce qui touche à la complexité administrative », déclare Yacine Terki.
Enfin, une version arabophone pourrait être lancée « en fonction de la demande ». Car la vie ou la mort du projet se trouve entre les mains des utilisateurs conclut, direct, le co-fondateur. C’est le moment d’être acteur des changements du pays, interpelle-t-il, en donnant rendez-vous fin 2017 pour le bilan. Espérons, avec lui, que son appel aura été entendu.
source : huffpostmaghreb.com
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.