Astuce mode : Comment porter le bonnet noir ? 28 Décembre 2020 Mode § Tendance en image
Minute mode : Comment porter le bonnet noir ?
Le bonnet noir est un indémodable, il s'associe à toutes les pièces de notre dressing. Ici, on l'associe à un col roulé, un trench, un jean et paire de bottines. Les plus frileuses pourront remplacer le trench par un manteau long.
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Synopsis et détails (allociné.fr)
Interdit aux moins de 12 ans
En ce cinquantième anniversaire de son indépendance, l’Algérie va être confrontée à une menace qui risque de rouvrir de profondes blessures. Un ennemi complote dans l’ombre et projette de déclencher des actions violentes sur le territoire algérien. L’OAS, l’ancienne organisation terroriste, renaît de ses cendres. L’association criminelle est dirigée par SLIMANE, un homme sans foi ni loi, animé par un profond désir de vengeance. SLIMANE va semer la terreur au sein de la société algérienne. Il est aidé en cela par la sulfureuse et impitoyable SANYA, son bras armé. Mais un homme va se dresser contre eux. Il s’appelle JAWED. Membre des services secrets, il infiltre la bande de SLIMANE et va nous entraîner dans un tourbillon d’actions et d’émotions. Prêt à donner sa vie pour son pays, il va affronter les démons du passé.
Alger célèbre octobre en… rose : Campagne de sensibilisation contre le cancer du sein
Par : journal liberté
“99% des femmes que nous recevons sont saines”, rassure le professeur Bendib, tout en invitant la gent féminine à se débarrasser de son hésitation et à faire une mammographie.
Une soirée était organisée à Alger, avant-hier, pour lancer Octobre rose, le mois mondial de lutte contre le cancer du sein. À l’image de ce qui se fait dans les grandes capitales du monde, l’imposant édifice de la Grande-Poste est resté éclairé en rose durant toute la soirée de mardi à hier. Menée par l’association El-Amel du Centre Pierre-et-Marie-Curie, (CPMC), la campagne de lutte contre cette pathologie touchant des milliers d’Algériennes a, cette année, pour thème : “Tous pour elles.” Le lancement officiel de cette campagne a été donné par Abdelmalek Boudiaf, ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière. La cérémonie était également rehaussée par la présence de la ministre de la Poste et des TIC, Zohra Derdouri, dont le département s’est engagé, depuis quelques années, à soutenir et sponsoriser diverses activités de l’association El-Amel.
À rappeler, entre autres actions de sponsoring, l’achat d’un mammobile (camion équipé d’un appareil de mammographie), actuellement installé à même le siège de ce ministère pour une opération-pilote de dépistage au profit des employés du secteur du centre du pays. Cette opération, relève Mme la ministre, aura permis le dépistage de “812” femmes, employées du secteur dans les wilayas du Centre. Présentant le programme des activités à mener, en collaboration avec l’association El-Amel, Mme Derdouri a clairement affiché l’implication de son secteur pour réaliser les objectifs de la campagne de lutte contre le cancer du sein.
La prévention du cancer du sein passe inévitablement par le dépistage précoce de la photologie. “Plus la maladie est dépistée à un stade précoce, plus les chances de guérison sont élevées”, telle est la recommandation principale des cancérologues.
D’où l’utilité d’une campagne de sensibilisation et d’information régulièrement menée par l’association El-Amel du CPMC. “Notre rôle est de sensibiliser et d’informer régulièrement les femmes sur la nécessité d’effectuer une mammographie tous les deux ans, à partir de 40 ans”, a insisté, dans son intervention, Hamida Kettab, secrétaire générale de la l’association El-Amel, non sans rappeler le nombre important des nouveaux cas de cancer du sein détectés chaque année. Selon les derniers chiffres, quoique approximatifs, le nombre de nouveaux cas est passé de 9 000 l’année dernière à 11 000 cette année.
Pour autant, les femmes “ne doivent, en aucun cas, avoir peur d’aller se faire dépister au moment opportun”, insiste, à ce titre, le Pr Ahmed Bendib, en relevant que “seuls 5 cas de cancer sont détectés sur 1 000 femmes ayant fait une mammographie”. “99% des femmes que nous recevons sont saines”, martèle le professeur, tout en invitant les femmes à se débarrasser, donc, de leur hésitation à faire une mammographie. Le doyen des professeurs algériens en sénologie explique, en outre, que le dépistage précoce du cancer du sein facilite nettement son traitement et réduit considérablement le coût de la prise en charge.
Abdelmalek Boudiaf : “Le Plan de lutte contre le cancer dévoilé la semaine prochaine”
Qu’en est-il de la prise en charge de cette pathologie aujourd’hui dans notre pays ? Lors d’un point de presse tenu en marge de la cérémonie d’Octobre rose, le ministre de la Santé, Abdelmalek Boudiaf, a rassuré que son département a engagé un vaste programme visant l’amélioration progressive de la prise en charge de la maladie du cancer. Pour lui, les manques signalés dans les centres spécialisés s’expliquent, à présent, par des contraintes liées, entre autres, au non-achèvement de la totalité des centres anticancer prévus pour recevoir les équipements nécessaires devant répondre aux attentes des patients. Il a affirmé, à ce titre, que ces nouveaux centres, dont les deux déjà livrés Sétif et Batna, seront “opérationnels d’ici à la fin de l’année”. Le ministère prévoit également les restaurations des anciens centres. Le ministre rassure, en outre, que même “le problème de la radiothérapie sera définitivement réglé à l’horizon 2015”, niant, au passage, que les rendez-vous sont actuellement “très éloignés”, comme dénoncé par des patients qui souffrent le martyre pour trouver une place dans un centre de radiothérapie.
Par ailleurs, M. Boudiaf semble avoir accédé à la demande des professionnels pour l’élaboration d’un fichier national du cancer. “Une opération de recensement des cas de cancer a été lancée dans tous les centres de soin du pays pour l’élaboration d’un registre national du cancer”, a-t-il affirmé à ce propos. Quid du fameux Plan cancer qui a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années ? Pour M. Boudiaf, “aucun Plan cancer n’avait existé en Algérie”. “Le seul projet du Plan cancer est celui préparé par la commission dirigée par le professeur Zitouni, désigné par le président de la République, et que je présenterai d’ici à la semaine prochaine”, a-t-il confirmé. Les recommandations émises par les professionnels spécialisés seront-elles retenues ? C’est tout le mal que souhaite, entre autres, le professeur Bendib, qui affirme avoir remis ses propositions au professeur Zitouni.
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Produit phare de la crise sanitaire permettant de lutter contre la propagation du Covid-19, le gel hydroalcoolique nécessite certaines précautions.
Choix du produit, application, péremption… Voici tout ce que vous devez savoir sur l’utilisation du gel hydroalcoolique et les erreurs à éviter selon le site consoglobe.com
Pas de lavage trop rapide ni de mains mouillées
Avec la crise sanitaire, l’utilisation du gel hydroalcoolique s’est largement démocratisée. Il permet de lutter contre la propagation du Covid-19 mais, bien que son utilisation soit très simple, elle nécessite de prendre un certain nombre de précautions. Rappelons en premier lieu que ce produit sert à désinfecter les mains et non à les laver. Aussi, il doit être appliqué sur des mains propres.
Si vous vous lavez les mains avant de vous appliquer du gel hydroalcoolique, prenez soin de bien les sécher. Si elles sont mouillées, la solution va se diluer et laisser ainsi la possibilité aux virus et aux bactéries les plus résistantes de survivre.
Le gel hydroalcoolique requiert un usage scrupuleux. Tout d’abord, il faut en mettre une quantité suffisante pour qu’il fasse effet et ensuite il convient de ne pas se frotter les mains à la va-vite. Ainsi l’OMS préconise de frictionner les mains durant 20 à 30 secondes en frottant paume contre paume puis sur le dos des mains, entre les doigts et au-dessus, sans oublier les pouces et les ongles, là où les bactéries et les virus aiment se nicher.
Lorsque vous avez appliqué le gel hydroalcoolique, attendez que le produit sèche complètement et résistez à l’envie de vous essuyer sur un de vos vêtements ! Dernière précaution enfin, achetez un produit aux normes en vigueur (lisez bien l’étiquette !) et jetez-le lorsque la date de péremption est dépassée depuis longtemps.
Les femmes ont décidé d’agir et de ne pas se laisser intimider par les intégristes. Certaines d’entre elles ont, en effet, déposé plainte auprès du service de la cybercriminalité de la Sûreté de la Gendarmerie nationale pour menaces.
«Je pense qu’il faut une grande mobilisation pour qu’à chaque dérapage les gens déposent plainte automatiquement. Les femmes et certains hommes mariés commencent à prendre conscience de cela. Les pages extrémistes algériennes pullulent sur Facebook. Le climat est devenu préoccupant», alertent ces femmes qui refusent de subir à nouveau les affres de la décennie noire et le diktat des résidus du FIS dissous, matrice du terrorisme islamiste qui a fait près de 50 000 victimes et causé au pays un immense retard en matière de développement.
Un inconnu avait lancé un appel sur Facebook pour le lynchage des femmes. Un appel vite appuyé et relayé par un autre inquisiteur. Ces deux incitateurs à la violence à l’égard des femmes ont appelé les jeunes à «jeter des lampes pleines d’acide sur les visages des femmes» qui ne seraient pas «correctement habillées», à leurs yeux, pour les «éduquer».
C’est un grave dérapage qui rappelle la période du FIS dissous où des intégristes et semeurs de la haine jetaient de l’acide sur des femmes non voilées. L’Etat et la justice algériens sont interpellés. Car de tels appels haineux et violents ne doivent pas être tolérés et leurs responsables doivent être traduits devant les tribunaux. Beaucoup d’internautes ont dénoncé cet appel, qui semble avoir été supprimé par son auteur. Il est, du moins, introuvable sur la page réactionnaire et haineuse.
Certains internautes ont pointé un doigt accusateur vers les services de sécurité et la justice qui restent souvent passifs face à ces appels à la violence contre les femmes qui deviennent de plus en plus nombreux. «C’est justement cette question qui est posée. L’appel au crime, l’apologie du crime et l’impunité. Ceux qui appellent à la violence sont connus. Le problème, c’est l’autorité : qui applique la loi et protège ses citoyens ?» a souligné un internaute.
source : algeriepatriotique.com
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