
Ça y est, l’hiver s'installe. Comme chaque année, il convient de rester vigilant face aux émanations de monoxyde de carbone qui causent près d’une centaine de décès dans le monde par an ! Et cent soixante dix sept (177) décès, depuis le 1er janvier 2020 en Algérie.
Gaz inodore, incolore et inflammable, le monoxyde de carbone CO se forme lors de la combustion incomplète de matières organiques (gaz, charbon, fioul ou bois, carburants).
Sa source principale est le trafic automobile ainsi qu'en cas de mauvais fonctionnement d'un appareil de chauffage domestique.
Ce gaz résulte de la combustion incomplète de combustibles contenant du carbone tels que le gaz, le charbon, le mazout, le diesel, l’essence et le bois.
Les émissions de CO proviennent également du mauvais réglage des chauffe-eau à gaz.
Ses effets sur l'être humain:
Le monoxyde de carbone est toxique à partir d’une concentration en volume inférieure à 0.1%, en exposition prolongée.
Le CO se fixe sur l’hémoglobine pour former une molécule stable, la carboxyhémoglobine. L’hémoglobine s’associe préférentiellement avec le CO plutôt qu’avec l’oxygène, et cette fixation est irréversible.
Pour une concentration de 800 ppm de CO dans l’air, 50% de l’hémoglobine est bloquée sous forme de carboxyhémoglobine. Il en résulte une diminution de l’oxygénation cellulaire, nocive, en particulier pour le système nerveux central.
Les causes sont :
- Le manque d’aération dans des locaux chauffés par une combustion.
- Le mauvais réglage des appareils entretenant une combustion.
- L’obstruction du conduit de cheminée, provoquant le refoulement des gaz brûlés.
- La mauvaise conception de certaines cheminées, empêchant l’évacuation des gaz brûlés.
Les conséquences:
Une faible exposition au CO peut entraîner des maux de tête et des nausées.
À concentration importante, il peut être à l’origine d’une intoxication provoquant:
Des vomissements.
Des évanouissements.
Des convulsions.
Des séquelles neurologiques irréversibles.
La mort lors d’une exposition prolongée.
D’autres effets sont également observés suite à des expositions prolongées à des taux plus faibles.
Chez les personnes en bonne santé, on peut observer:
Une diminution des capacités physiques et intellectuelles.
Une baisse de la perception visuelle.
Une perte de motricité.
Conseils préventifs de l’intoxication au monoxyde de carbone:
Contrôle tous les ans des installations de chauffage et de production d’eau chaude par un professionnel qualifié (chaudière, chauffe-eau, chauffe-bain, cheminée, poêle…)
Aérer son logement quotidiennement pendant au moins 10 minutes et ne jamais obstruer les aérations du logement, même en hiver.
N’utiliser d’appareils mobiles de chauffage d’appoint que dans les pièces convenablement ventilées et par intermittence.
Ne jamais faire actionner un moteur de voiture dans un garage fermé.
Respecter les consignes d’utilisation des appareils de chauffage.
Association scientifique ASEPA

Les amateurs de plantes vertes louent autant leur beauté (idéale pour égayer un intérieur) que leurs bienfaits, notamment leurs propriétés dépolluantes pour l’air ambiant. Toutefois, pour que ces jolis végétaux embellissent nos intérieurs longtemps, ils ont besoin d’être un minimum choyés. Sinon, ils peuvent rapidement dépérir ! Et contrairement au mythe, il n’est pas forcément nécessaire d’avoir la main verte pour garder ses plantes en vie. Bien souvent, des pratiques élémentaires suffisent amplement à les entretenir. Amis jardiniers, si vous voulez garder vos plantes d’intérieur en bonne santé, découvrez les erreurs fréquentes à éviter.
Erreur n°1 : Mettre ses plantes d’intérieur vers une source de chaleur
Qu’il s’agisse d’un radiateur ou d’une cheminée, la forte proximité avec une source de chaleur peut tuer une plante non rustique à vitesse grand V. Quant aux plantes tropicales, habituées aux fortes chaleurs, elles n’apprécient pas l’air sec causé par le radiateur. Vous devrez donc brumiser leur feuillage plus souvent pour conserver un taux d’hygrométrie suffisant. Pas très pratique ! Rappelons enfin que la chaleur favorise la prolifération des araignées rouges. Pour toutes ces raisons, choisissez un emplacement éloigné des radiateurs pour vos plantes d’intérieur.
Erreur n°2 : Pratiquer l’arrosage à l’eau froide
Les plantes n’apprécient pas beaucoup les chocs thermiques et les plus délicates pourraient donc rapidement dépérir. Utilisez donc une eau à température ambiante pour un arrosage réussi !
Erreur n°3 : Donner trop d’eau aux plantes d’intérieur (ou pas assez !)
Le trop est souvent l’ennemi du bien, surtout quand on se lance dans le jardinage. Aussi, gare aux eaux stagnantes dans la coupelle ou le cache-pot qui peuvent noyer les racines et asphyxier une plante verte. Avant de sortir l’arrosoir, vérifiez toujours l’état de la terre. Si elle est encore humide, c’est qu’il n’y a pas besoin d’arroser. Au contraire, si la surface du terreau est sèche, il est temps de lui apporter un peu d’eau. Pour un arrosage optimal, soignez par ailleurs également le drainage. Cela aide à l’évacuation de l’eau et à sa bonne répartition. Pour bien drainer la terre, ajoutez des billes d’argile ou de la perlite au fond du pot.
Erreur n°4 : Une exposition mal choisie pour les végétaux
La lumière est essentielle pour la photosynthèse. Toutefois, cela ne veut pas dire pour autant que vos plantes d’intérieur ont besoin de se dorer la pilule toute la journée sous les rayons du soleil. D’ailleurs, un soleil direct peut brûler leurs fleurs et leurs feuilles ! Il faut donc généralement éviter une exposition solaire directe.
Avant “d’adopter” une plante, n’hésitez pas à vérifier la luminosité dont elle a besoin. Plein soleil, mi-ombre, etc. En fonction de la lumière nécessaire, réfléchissez toujours à l’emplacement où vous pourrez les mettre avant de les acheter. Ainsi, vous ne serez jamais pris au dépourvu. Par exemple, pour les orchidées, une fenêtre lumineuse, mais voilée sera idéale.
Erreur n°5 : Arroser les plantes d’intérieur avec une eau calcaire ou chlorée
L’eau du robinet est certes pratique, mais elle n’est pas forcément idéale pour les plantes. Elle est en effet riche en chlore ainsi qu’en calcaire. Cela peut tuer les plantes acidophiles comme les azalées, mais aussi vos autres plantes fragiles. Pour plus de tranquillité d’esprit, préférez récolter l’eau de pluie. C’est gratuit et les plantes adorent ! Sinon, vous pouvez aussi utiliser de l’eau en bouteille. Dernière astuce : vous pouvez laisser reposer l’eau de l’arrosoir deux heures avant de l’utiliser quand elle est très chlorée.
Erreur n°6 : Ne jamais nettoyer les plantes d’intérieur
La poussière ne s’accumule pas que sur les bibelots et les étagères ! Or, sur les plantes, elle peut nuire à leur photosynthèse, et donc à leur état de santé. Heureusement, il existe plusieurs astuces pour dépoussiérer les plantes et en retirer la pollution. S’il ne fait pas trop froid, vous pouvez les mettre dehors pendant une pluie, ce qui va nettoyer les feuilles. Sinon, un petit tour sous la douche avec un jet doux aura le même effet. Enfin, vous pouvez aussi passer un chiffon microfibre imbibé de quelques gouttes de bière ou d’eau additionnée de bicarbonate de soude. Cela va nettoyer et faire briller ces belles feuilles vertes en un rien de temps !
Erreur n°7 : Les exposer à des courants d’air
Que ce soit dans l’entrée ou les zones de forts passages, il y a souvent beaucoup de courants d’air. Cela peut alors fragiliser les plantes qui risquent finalement de dépérir. C’est notamment très dangereux pour les plantes tropicales et les plantes les moins résistantes.
Erreur n°8 : Oublier le rempotage des plantes d’intérieur
Quand avez-vous rempoté vos plantes pour la dernière fois ? Si vous ne vous en souvenez pas (ou pire, si vous ne l’avez jamais fait), il est peut-être temps de vous y atteler. En général, on conseille en effet de le faire tous les ans pour une plante en pleine croissance, puis tous les deux ou trois ans en entretien. Si votre plante ne pousse plus ou très lentement ou encore si les racines commencent à sortir de la terre ou du fond du pot, c’est sûrement que votre végétal se sent à l’étroit. Le plus souvent, on rempote au début du printemps ou à la fin du printemps avec un pot d’une taille supérieure au précédent.
Erreur n°9 : Ne pas détecter les parasites et maladies à temps
Si malgré tous vos bons soins, votre plante est en mauvaise santé et ses feuilles commencent à jaunir, se recroqueviller, flétrir, décolorer ou afficher des taches, c’est généralement qu’il y a anguille sous roche ! Observez régulièrement vos plantes, notamment le dessous des feuilles pour pouvoir détecter les différents parasites et maladies qui pourraient les attaquer. Qu’il s’agisse de cochenilles, de thrips, de pucerons ou de tétranyques, il existe des remèdes naturels pour s’en débarrasser. Ainsi, nul besoin de produits chimiques ! C’est également la même chose pour les maladies des plantes.
Toutefois, il faut agir vite pour qu’il ne soit pas trop tard. Si vous tardez trop, aucun produit phytosanitaire ne pourra plus rien y faire et votre plante sera trop fragilisée pour survivre.
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10 cancers que l'on peut éviter en restant mince
Le surpoids et l’obésité augmentent le risque de développer 10 des cancers les plus fréquents, selon une étude britannique sur plus de 5 millions de personnes.
Les études scientifiques suggèrent que l’indice de masse corporelle (IMC) est un facteur prédictif important du risque de cancer. Tous les types de cancers ne sont cependant pas concernés par l’association entre IMC et le risque de développer la maladie. Dans cette nouvelle étude parue dans The Lancet, les auteurs précisent pour quels types de cancer le risque est le plus grand. En tête du classement arrive le cancer de l’utérus.
L’association entre obésité et risque de cancer a souvent été rapportée mais les mécanismes permettant de l’expliquer sont incertains. L’obésité conduit à une altération du fonctionnement du tissu adipeux, favorisant ainsi le développement du cancer. Une altération du métabolisme hormonal, impliquant notamment l’insuline pourrait également être une explication.
Dans cette étude menée par des chercheurs de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, les chercheurs ont recueilli des données sur l’IMC et la santé de plus de 5 millions de personnes vivant au Royaume-Uni. 166 955 personnes ont développé l’un des 22 cancers étudiés.
Les résultats montrent que pour un adulte une augmentation de l’IMC de 5 kg/m2 (en moyenne 13 à 16 kg de masse corporelle) accroit de façon quasi-linéaire le risque de développer 6 cancers : cancer de l’utérus, de la vésicule biliaire, du rein, du col de l’utérus, de la thyroïde et leucémie (dans l’ordre décroissant de l’augmentation du risque de 62% à 9 %).
Les personnes qui avaient un IMC élevé étaient également plus susceptibles de développer un cancer du foie, du côlon, des ovaires et du sein (après la ménopause). Mais l’effet du surpoids/obésité sur ces cancers était moins net, non-linéaire et surtout était influencé par d’autres facteurs comme par exemple la ménopause.
Selon l’étude, une augmentation de l’IMC d’1kg/m2 à l’échelle de la population du Royaume-Uni conduirait à 3 790 nouveaux cas de cancer par an parmi les 10 associés à l’IMC.
Même si l’obésité est associée au développement des cancers les plus communs au Royaume-Uni - qui représentent 90% des cancers diagnostiqués - pour d’autres cancers, aucune association n’a été trouvée. Un IMC élevé pourrait même diminuer le risque de cancer de la prostate et du cancer du sein en pré-ménopause.
D’après le Dr Krishnan Bhaskaran qui a dirigé la recherche "l’effet variable de l’IMC sur le développement des différents cancers suggère que l’IMC affecte le risque de cancer selon plusieurs processus qui varient en fonction du type de cancer" .
Pour Tom Stansfeld du Cancer Research UK "même si le lien entre obésité et cancer est complexe, il est clair qu’un excès de poids augmente le risque de développer la maladie". "Pour réduire le risque il faut donc maintenir un poids santé en adoptant une alimentation saine et en pratiquant régulièrement une activité physique" conclut-il.
documentation :topsanté.com
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Avez-vous remarqué que parfois à force de vouloir éviter un « problème » on tombe, pile poil dans un autre encore plus sournois, en fait on se croit maligne mais la réalité nous rattrape très vite et on découvre que les fabricants de produits cosmétiques le sont encore plus. J'écris « on » car je pense que beaucoup d'entre nous sont tombées dans le piège de se dire : « Pour éviter les produits chimiques contenus dans les crèmes industrielles, j'opte pour une crème naturelle achetée dans un magasin de produits naturels » ainsi « je préserve ma santé ». A vrai dire c'est un raisonnement intelligent, car avec toutes ses campagnes publicitaires qui nous vendent du rêve mais, qui nous empoisonnent en même temps, mieux vaut être prudente.
Campagne initiée par le magazine zeinelle #zéro_produits_chimiques *
Personnellement c'est le hasard qui a bien fait les choses et c'est grâce à lui que j'ai découvert que même les crèmes naturelles contiennent des produits chimiques.
Soucieuse de ma santé et dans le cadre de la nouvelle campagne initiée par le magazine zeinelle #zéro_produits_chimiques j'achète une crème naturelle composée de miel, propolis, huile de nigelle, huile de germe de blé, allantoïne, conservateur et support minéral, dans l'ensemble je me dis bon ça va, il y a pire comme composition, il est vrai que le fait de lire « conservateur » ça ne m'a pas vraiment enchantée, mais soyons réalistes, une crème sans conservateur rancie au bout de trois semaines, ( malheureusement ce composant est "indispensable" ) !!! mais promis la prochaine fois, j'achèterai ma crème chez un fabricant/artisant de produits cosmétiques naturels à 100% qui à défaut d'utiliser un conservateur chimique utilisera plutôt de l'extrait de pépins de pamplemousse. ( ce dernier est réputé pour être un trés bon conservateur naturel ).
Quand le marketing se met au " naturel "
L’histoire des conservateurs étant « réglé », il y a un autre composant qui a attiré mon attention le composant : « support minéral ». Au début, je croyais avoir lu, huile minérale, je me suis dit, ça doit être une huile enrichie en minéraux, un truc du genre, sincèrement sans m’attarder plus que ça, mais c’est en approfondissant mes recherches que j’ai compris que derrière cette rassurante appellation se cachait un dérivé du pétrole qui est paraffinum liquidum, appelé également huile de praffine ou huile minérale qui a comme effet "d’hydrater" la peau, la rendre douce mais malheureusement sur le long terme boucher les pores, dessèche la peau et empêche les actifs essentiels des crèmes de pénétrer le derme.
Furieuse d'avoir été bernée aussi facilement, moi qui me croyais maligne, j'ai finalement gardé cette crème que j'applique occasionnellement sur le visage mais, également sur les mains en attendant de reprendre mes bonnes habitudes d'alterner entre le gel d'aloe vera, huile d'argan, et huile de coco vierge afin de faire profiter ma peau des bienfaits que contiennent les vrais produitsde beauté de dame nature.
Esma Djigouadi
*Campagne initiée par le magazine zeinelle #zéro_produits_chimiques : nous reviendrons trés bientôt avec plus de détails au sujet de cette campagne.
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Les pelures d’orange ont toujours été appréciées pour leurs propriétés curatives. Lorsque nous faisons des jus, des salades ou tout simplement quand nous grignotons des oranges, nous avons tous l’habitude de jeter leurs pelures. Ceci est une erreur : les composés fortement nutritifs des oranges se trouvent dans les pelures. Préférez les biologiques. Voici leurs 12 bienfaits.
1- Elles sont anti-cholestérol : Presque tous les composés anti-cholestérol des oranges se trouvent dans ses pelures. L’hespéridine, un des composé de la pelure d’orange aide à combattre le mauvais cholestérol. Il est à l’origine de la formation des caillots dans le sang. Ces plaques se déposent sur les parois des artères avec un grand risque de les boucher. Pensez à inclure des zestes d’orange bio dans votre alimentation. Vous diminuerez ainsi votre taux du mauvais cholestérol.
2- Elles préviennent le cancer : les 2 constituants des pelures d’orange, la tangérétine et le nobiletin, luttent contre les radicaux libres qui privent les cellules saines d’oxygène. Ils aident à inhiber la croissance et la division des cellules malignes cancéreuses. La consommation des zestes d’orange réduit le risque de cancer de la peau ou de poumons.
3- Elles soulagent les brûlures d’estomac : Si vous souffrez de brûlures d’estomac, les pelures d’oranges sont un remède naturel et efficace. Grâce à un composé actif, elles apaisent les douleurs dues aux brûlures d’estomac. Mâchez une pelure d’orange, de préférence biologique, après vos repas et vous serez soulagé.
4- Elles facilitent la digestion : Les pelures d’orange sont riches en fibres alimentaires. Elles contiennent 4 fois plus de fibres que l’orange. En effet, 100 grammes de pelures d’orange contiennent 10,6 grammes de fibres. Les zestes d’orange combattent le syndrome de l’intestin irritable ou les ballonnements. Ils calment l’indigestion. Les pectines qu’ils contiennent préviennent la constipation.
5- Elles évitent les problèmes respiratoires : Les antioxydants des pelures d’orange dont la vitamine C – puissant stimulant immunitaire – aident à prévenir plusieurs maladies respiratoires telles que la bronchite, le rhum, l’asthme et la grippe. Faites bouillir les pelures d’orange 15mn à 20mn, puis buvez l’infusion.
Outre leurs bienfaits sur la santé, les pelures d’orange possèdent d’autres propriétés utiles pour la maison ou pour les soins de beauté.
6- Un désodorisant : Vous pouvez utiliser les pelures d’orange pour désodoriser votre maison. Confectionnez un pot-pourri avec du santal, de la cannelle et des pelures d’orange séchées et votre maison aura un parfum d’agrumes. Vous aurez ainsi, un désodorisant naturel, écologique et économique.
7- Elles blanchissent les dents : Pour ce faire, frottez l’intérieur d’une pelure sur vos dents. Autre avantage, elles diminuent la sensibilité dentaire.
8- Un agent nettoyant : Pour bien récurer un lavabo sale, utilisez l’intérieur d’une pelure d’orange. Vous pouvez également utiliser l’huile essentielle des pelures d’orange. Elles agissent comme un agent nettoyant naturel pour toutes les surfaces sales.
9- Compost : Riches en azote, les pelures d’orange sont idéales pour le compost. Elles sont en plus remplies de substances nutritives qui enrichissent l’humus de votre jardin. Mais n’en mettez pas beaucoup car un taux d’azote élevé peut avoir l’effet inverse.
10- Elles blanchissent la peau : La vitamine C contenue dans les pelures d’orange est un agent blanchissant naturel de la peau. Frottez l’intérieur de la pelure sur la peau ou utilisez l’huile essentielle. En effet, celle-ci permet d’éclaircir le teint, d’enlever les taches brunes, de nettoyer les pores et de protéger la peau des rayons UV.
11- Un condiment : les zestes d’orange ont toujours été prisés en cuisine. Ils sont utilisés pour donner un goût acidulé à un plat ou un dessert.
12- Anti moustiques : Les pelures d’orange contiennent des acides naturels qui gardent loin moustiques, mouches et autres insectes. C’est un répulsif naturel et écologique.
source : santeplusmag.com
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La dysmorphie corporelle : quand le complexe vire à l'obsession
▪Quand on est obnubilé par un défaut physique et que ce complexe prend une telle ampleur qu'il nous empêche de vivre normalement, c'est peut-être le signe qu'on souffre d'obession de dysmorphie corporelle
Ce trouble psychique touche entre 1 à 2 % de la population, surtout les adolescents.
• La caractéristique essentielle de ce trouble est une préoccupation concernant un défaut de l'apparence physique. Le sujet est persuadé qu'il a un défaut physique horrible et apparent. Ce défaut est en réalité imaginaire ou exagéré et démesuré si un léger défaut physique existe.
• Les personnes qui en souffrent passent plusieurs heures par jour à penser et à examiner leur « défaut » dans un miroir, et adoptent des comportements "anormaux" pour surveiller et corriger ce défaut :
- Prise de photos de cette zone pour voir comment elle évolue.
- Isolement social extrême.
- Multiples opérations de chirurgie esthétique...
D'ou l'intérêt de faire une évaluation psychique sur les sujets qui souhaitent faire une chirurgie esthétique.
▪La psychotherapie cognitivo-comportementale (TCC) est recommandée pour traiter ce genre de trouble.
Dr Otmane Telba Médecin Psychaitre
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Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.