la Ferme Pédagogique d’Alger met à l'honneur la fête de Yennayer 04 Janvier 2021 Art § Culture § Artisanat
Comme à l’accoutumée, et à l’occasion du premier jour de l’an du calendrier agraire qui aura lieu le mardi 12 janvier 2021, la Ferme Pédagogique d’Alger et en collaboration avec l’Association Nationale des Produits de Terroir, ont le plaisir de vous ouvrir les portes de la Ferme les 7, 8 et 9 janvier pour un partage en plein air de notre traditionnelle fête de Yennayer .
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100 g d'abricots moelleux
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150 g de sucre en poudre ou sucre de fructose
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1 litre de lait entier
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6 oeufs
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1 gousse de vanille
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4 cuillère à soupe de fécule
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Fendre la gousse de vanille en deux. Dans une casserole verser le lait, ajouter la vanille. Porter à ébullition, puis retirer du feu. Laisser infuser la vanille. Dans un saladier battre les oeufs et le sucre, au fouet électrique pendant 4 min.
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Ajouter la fécule et le lait bouillant, sans cesser de remuer. Retirer la gousse de vanille et verser le tout dans une casserole. Porter à ébullition et prolonger la cuisson en remuant avec un fouet à main, le flan va s'épaissir, retirer.
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Ingrédients / pour 6 personnes
Pour finir
Beurrer un moule à gâteau. Verser la préparation puis ajouter les abricots. Mettre au four à 180°c pendant 30 minutes. Le dessus va croûter. Retirer du four. Laisser refroidir, puis mettre au frais 4 heures ou mieux toute la nuit.
Des produits contrefaits circulent partout. Des fausses crèmes solaires, déodorants et des produits capillaires sont écoulés en toute impunité. La proie en cet été sont surtout les estivants et les femmes qui se les procurent pour une modique somme.
Les directions de lutte contre la fraude du ministère du Commerce ont fait état récemment d’une quantité de crèmes solaires et déodorants « suspects » et faussement imités qui peuvent présenter des dangers pour la santé humaine.
Pendant l’été, ce sont surtout les femmes qui utilisent beaucoup ces crèmes solaires vendues sur certains étals entre 200 et 500 DA alors que les vraies marques sont cédées entre 3.000 et 3.500 DA.
Le danger viendrait, de l’aveu de spécialistes en dermatologie, du fait que « l’écran total mentionné dans l’étiquette de ces fausses marques est un simulacre ». C’est une reproduction des ingrédients qu’on voit dans les spots publicitaires qui renseigne que ces crèmes sont au contraire dopés de produits hydratants mal équilibrées et que leur qualité de protection est sujette à caution.
D’où d’ailleurs les affections allergiques qui se répandent durant ces mois d’été. Des laboratoires d’analyse ont effectué dernièrement des contrôles sur des échantillons sur 21 marques qui ont pignon sur rue.
Le résultat ne se fait pas attendre : ces crèmes peuvent aisément développer des cancers de la peau, des eczémas et des psoriasis selon le degré ou l’intensité de leur utilisation. Idem pour certaines marques de déodorant et produits capillaires comme le gel de fixation pour cheveux qu’utilisent beaucoup les jeunes.
Selon une étude de Nedjoua Gharbi, chercheuse au Cread « ces produits de cosmétiques concurrenceraient 35 % du marché légal en Algérie » en précisant que « ces produits proviennent de Chine, Taiwan, Emirats arabes unis et Turquie ». Mais les services du Cnis des Douanes algériennes estiment que 90 % de ces produits sont fabriqués en Chine.
La filière du trafic est aussi convoitée dans certains ports européens comme celui de Valence en Espagne et celui d’Anvers en Belgique où généralement des importateurs africains opèrent dans ce segment. Sur les étals de certaines superettes, kiosques à journaux et cosmétiques et parfumeries, on ne peut d’ailleurs distinguer le vrai du faux tant les noms de marques et leurs messages publicitaires séduisants attirent foule de consommateurs.
Copie non-conforme, fausse étiquette et brevet inexistant
Comment ces produits peuvent-ils atterrir facilement chez les consommateurs ? La question est de taille. La réponse est fournie par des experts douaniers qui mettent en lumière certaines pratiques. D’abord le logo du produit est finement copié d’une marque réputée qui reproduit les mêmes dessins ou illustration de la marque.
Avec des moyens artisanaux, les contrevenants peuvent tout faire. Ensuite il y a la tentative de reproduire un code barre, mais cela reste difficile puisque ce code est protégé dans les données des services de registre de commerce. Il y a également une quantité de produits qui sont malaxés avec un surdosage de produits toxiques qui développent l’effet contraire.
Les ingrédients de composition sont écrits en caractères petits et illisibles qui font que le consommateur ne s’aperçoit pas du piège qui le guette. Il a été constaté également qu’en l’absence de brevet de la marque, les contrevenants utilisent des numéros imités de la sous-licence mais finissent souvent par être démasqués.
Avec le contrôle qui s’est imposé aux ports, il y en a peu qui échappent à la vigilance des douaniers. Cependant certains importateurs véreux contournent ces dispositifs par le biais des frontières terrestres surtout au niveau d’El Oued et Tébessa.
La Fédération nationale des consommateurs a mis d’ailleurs son site pour » dénoncer ces abus et de signaler toute suspicion sur les marques de cosmétiques » dont le fléau n’est pas prêt de se tarir. Les consommateurs sont tenus de vérifier d’abord le code barre et le nom de la raison sociale avant d’acheter ces produits dangereux. Cela préviendrait la menace qui plane toujours.
www.lemidi-dz.com
10 % des femmes souffrent d’infection urinaire au cours de la grossesse. La plupart des infections urinaires sont repérées et traitées. Mais un dépistage et des mesures de prévention simples permettent de limiter leur apparition. Tour d’horizon en 10 points.
Une infection urinaire, qu’est ce que c’est ?
Une infection urinaire apparaît lorsque l’urine, normalement stérile, est contaminée par un microbe. Il s’introduit dans l’urètre (minuscule conduit partant de la vessie et permettant à l’urine d’être évacuée) puis peut gagner la vessie. On parle alors de cystite.
Parfois, les germes présents dans la vessie, continuent leur ascension vers les reins en passant par deux canaux (les uretères). Cette complication est appelée pyélonéphrite.
Quelle est la cause d’une infection urinaire ?
Ce sont des bactéries, présentes à la surface de la peau, autour de la région génitale, qui sont responsables des infections urinaires. Question d’anatomie, chez les femmes, l’urètre est très court (2 à 3 cm) et proche du vagin et de l’anus. Les microbes peuvent donc plus facilement y pénétrer car ils ont moins de distance à parcourir.
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Pourquoi les femmes enceintes sont-elles plus sujettes aux infections urinaires ?
Dès le premier trimestre de la grossesse, les hormones et les modifications chimiques interviennent sur les voies urinaires en diminuant leur tonus. Du coup, celles-ci travaillent au ralenti. Le débit urinaire baisse et les urines ont tendance à stagner. Elles agissent sur la paroi de la vessie et affaiblissent sa protection naturelle vis-à-vis des microbes. Non seulement les urines sont moins acides mais elles sont naturellement « sucrées », ce qui favorise les infections.
Les infections urinaires sont-elles plus fréquentes en fin de grossesse ?
A partir du second trimestre, la croissance de l’utérus entraîne une compression des organes urinaires.
Résultat : vous avez envie de faire pipi même lorsque votre vessie n’est pas pleine et bien souvent, n’arrivez pas à vider complètement votre vessie.
Conséquence : des infections urinaires plus fréquentes.
Y a-t-il des femmes enceintes plus sujettes aux infections urinaires ?
Si une future maman souffre de diabète (augmentation du taux de sucre dans le sang) ou a une tendance aux infections urinaires en dehors de la grossesse, elle est aussi plus sujette.
Comment se manifeste l’infection urinaire ?
Très souvent l’infection urinaire ne donne aucun signe. On l’appelle « asymptomatique ».
En cas de cystite, des signes « habituels » apparaissent : la future maman éprouve le besoin d’uriner de façon urgente, parfois ce ne sont que quelques gouttes ! Elle ressent aussi des brûlures lorsqu’elle fait pipi et ses urines sont souvent troubles. Moins fréquemment, l’infection peut se manifester par une pesanteur au bas du ventre.
Si l’infection touche les reins les signes deviennent plus importants : fièvre, frissons, douleurs dans le bas du dos et parfois nausées ou vomissements.
Quels sont les risques d’une infection urinaire pour la maman ou le bébé ?
Côté maman : le principal risque est la menace d’accouchement prématuré.
Côté bébé : les risques sont également ceux d’un accouchement prématuré. Il peut arriver que le bébé soit lui aussi infecté. Pas d’inquiétude cependant, des examens de laboratoires seront effectués systématiquement après la naissance et un traitement rapidement mis en place.
Si l’infection chez la maman n’a pas été diagnostiquée, elle peut parfois retentir sur la croissance du bébé.
Comment diagnostique-t-on une infection urinaire ?
Lors des consultations de grossesse, le médecin ou la sage-femmedépiste les infections urinaires, surtout celles sans signes, grâce à labandelette urinaire, en même temps que la recherche de sucre ou d’albumine.
Si un doute apparaît, il vous demandera de faire une analyse d’urine au laboratoire (ECBU). Cet examen permet d’identifier précisément le germe et de tester les antibiotiques qui sont actifs sur la bactérie.
Comment traite-t-on une infection urinaire ?
Pour éviter toute complication, les infections urinaires sont traitées par des antibiotiques adaptés aux femmes enceintes.
En cas de pyélonéphrite, la future maman sera hospitalisée pour un bilan plus complet. Les médicaments contre la douleur et les antibiotiques lui seront donnés par voie veineuse.
Comment peut-on éviter les infections urinaires ?
Tout est dans l’hygiène de vie ! Il est conseillé aux futures mamans de boire au moins 2 litres d’eau par jour et d’éviter les aliments qui irritent la vessie (café, mets épicés). Essayez aussi le jus de cranberry, connu pour diminuer la fréquence des infections urinaires.
Le port de vêtements en synthétiques ou trop moulants favorise la multiplication des germes, préférez ceux en coton. Après être allée aux toilettes, pensez à vous essuyer d’avant en arrière pour ne pas amener les germes dans la région urinaire. Utilisez un savon doux, non décapant, pour la toilette intime.
Pensez aussi à faire pipi après les rapports sexuels, cela évitera aux bactéries de « remonter » vers la vessie. Enfin, évitez les jacuzzis, car ils constituent un milieu favorable aux bactéries.
référence : infobébé.fr
Recette de grand-mère à base d'huile d'olive, d'oeuf, de citron et de miel est un véritable baume pour les mains très abîmées.
Il suffit de mélanger 2 cuillères à café de miel avec 1 cuillère à café d'huile d'olive.
Ajoutez à cela une cuillère à café de jus de citron et un jaune d'oeuf.
Mélangez bien puis appliquez votre masque nutritif sur les mains et laissez-le agir 20 min.
Au bout de 20 min, prenez un mouchoir en papier et enlevez l'excédent.
Puis frottez vos mains les unes contre les autres pour finir notre soin réparateur.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.