Alors que dans de nombreux pays et sociétés, les droits de la femme sont encore bafoués, il existe, depuis bien longtemps, une civilisation où la gent féminine a un quasi pouvoir absolu.
Découvrons ensemble, le peuple Berbère Touareg, les hommes libres " Amazighs ". univers-elles.com
Les Touaregs, peuple nomade vivant dans le désert du Sahara central et sur les bordures du Sahel, sont connus pour leur mode de vie traditionnel.
A l’époque, leurs puissants royaumes formés de tribus confédérés, occupaient un large territoire allant de l’Ouest de la vallée du Nil jusqu’à l’Atlantique. Dans l’Antiquité, ils étaient connus sous les noms de Libyens, Maures, Gétules, Garamantes ou encore Numides. Ces conquérants, redoutés et redoutables, représentant les plus anciens habitants de l’Afrique du Nord, non pourtant pas attendu la civilisation, pour élever le statut de la femme.
Bienvenue dans une société aux racines matriarcales qui cherche à défendre sa particularité au sein du monde arabe.
La femme Touareg est l’égale de l’homme, autonome et libre !
Depuis les invasions arabes, les berbères, dont la langue officielle est le tamazight, pratiquent un islam extrêmement tolérant, mêlé d’animisme. En effet, dès le plus jeune âge, les Touaregs enseignent le « asshak » aux garçons. Cette éthique morale oblige l’homme à respecter la femme Touareg ainsi que sa liberté d’expression et son accès à la propriété. Cela la préserve également de tout abus physique et/ou moral, qui peut valoir à l’homme l’exclusion du campement. Par ailleurs, les grandes décisions prises au sein de la société sont toujours régies par son consentement. Le pouvoir politique se transmet par les femmes. A l’intérieur de la maison ou de la tente, elle détient même le pouvoir absolu. En cas d’absence de l’homme, elle gère également la vie du bivouac.
Ici, des femmes amazighes Touaregs, vivant dans l’extrême sud d’Algérie
La femme Touareg choisit elle-même son mari
Chez les Touaregs, le futur marié, désigné par sa future femme, appartient presque toujours à la même caste. Il doit lui apporter une dot composée de terres, de bœufs et de dromadaires. La virginité de la jeune mariée n’est jamais évoquée car ils considèrent que cela relève de la vie privée du couple. Quant à la famille de la promise, elle s’occupe de fournir au ménage la tente et l’ameublement. En revanche, les rites de cérémonie sont différents pour chaque tribu.
La femme Touareg est le pilier de la famille
Ici, la filiation est matrilinéaire. Seules les origines de la mère confèrent le statut social du nouveau-né dans le campement. Elle est d’ailleurs l’unique responsable de l’éducation des enfants.
La coutume veut également que la femme soit la seule propriétaire des lieux. En cas de divorce, qu’elle peut demander librement pour cause de mésentente dans le couple, l’homme part donc sans aucun bien, ni toit. Elle acquiert ainsi une plus-value en tant que femme divorcée et augmente le nombre de ses prétendants.
Incroyable non ?
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Pas toujours évident de trouver la bonne crème pour les mains. Pour combattre les mains sèches en hiver, pourquoi ne pas tester une petite recette maison ?
Ingrédients :
- Miel liquide (apporte vitamines et minéraux à la peau)
- Crème fraîche à au moins 30% de matière grasse (adoucit la peau)
- Huile d’olive (nourrit et répare la peau)
Préparation :
- Mettre dans un bol 2 grosses cuillères à soupe de crème fraîche,
- Ajouter 2 cuillères à café d’huile d’olive,
- Incorporer une cuillère à café de miel,
- Mélanger jusqu’à obtenir une texture onctueuse et homogène.
- Appliquer puis rincer les mains à l’eau tiède, puis les essuyer. Elles seront douces et hydratées.
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Deux jours après l’agression des femmes formant le carré féministe près de la faculté centrale et la polémique que cela a suscité, les initiatrices du mouvement reviennent sur cet incident. Le collectif des Femmes Algériennes pour un Changement vers l’Egalité condamnent cette agression organisée et insistent sur la justesse de leur combat. Aucune démocratie ne peut être instaurée sans la reconnaissance des droits des femmes dans la société.
le communiqué dans son intégralité.
Communiqué des Femmes Algériennes pour un Changement vers l’Egalité
Depuis le 22 février, Journée de la revendication citoyenne, les Algériennes marchent pour un Etat de droit et une Algérie libre et démocratique. Le vendredi 22 mars, nous avons pris conscience, à l’instar de l’ensemble de nos compatriotes (étudiants, partis politiques, associations et corporations), de l’exigence de donner du contenu à la revendication principale du Mouvement qu’est “Système dégage !”.
Or, ce système est loin d’être abstrait : autoritaire et basé sur des structures et des pratiques sociales oppressives qui reposent aussi sur l’assujettissement des femmes. Le mouvement des femmes, déjà ancien puisqu’il date de la création de l’Association des femmes algériennes en 1947 par des militantes du Mouvement national, s’est toujours battu contre le déni des droits des femmes.
Le 22 mars dernier, nous avons créé le carré féministe dans le but de rendre visible cette aspiration à la démocratie et à l’égalité entre tous les citoyennes et les citoyens. Cette initiative s’est déroulée dans le calme et fut saluée par de nombreux manifestants. Nous comprenons d’autant moins ce qui s’est produit ce vendredi 29 mars : nous étions positionnées avec nos banderoles devant le portail de la Faculté centrale lorsqu’un groupe réduit et bien encadré de manifestants s’en est pris à nous. Insultes, crachats, bousculades, attouchements et arrachage de banderoles, en particulier celle portant le slogan “Il n’y a pas d’Algérie libre et démocratique sans les droits des femmes”.
Nous condamnons cette agression en ce qu’elle a de violent et d’attentatoire à l’image et au prestige du Mouvement fondés sur la “Silmya”.
Or, ceci est notre conviction profonde : aucune construction démocratique ne peut s’accomplir sans la remise en cause de ce statut particulier qu’est le Code de la famille dont –nous en sommes sûres- une (re)lecture attentive indignerait chaque citoyenne et citoyen tant ce texte législatif incarne une injustice flagrante à l’égard de la moitié de la société algérienne.
Nous avons milité et marché depuis toujours aux côtés de nos compatriotes pour combattre l’oppression du peuple tout entier. On nous a dit, à chaque fois, que nos droits les plus élémentaires en tant que femmes devaient être relégués au deuxième plan car ils allaient trouver leur concrétisation dans le futur. Aujourd’hui, on nous oppose le même discours mais nous continuerons à militer et à marcher pour une Algérie libre et démocratique dans laquelle les droits des femmes ne seront plus bafoués ni ajournés.
Alger, le 30 mars 2019
source Huffpost
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L’Ambassade du Japon a le plaisir de vous annoncer la tenue des Journées Culturelles Japonaises du 29 novembre au 1er décembre 2018 au Palais de la Culture –Moufdi Zakaria – à Alger. Pour plus d’information sur le programme, veuillez consulter le lien suivant : https://www.dz.emb-japan.go.jp/cl-matsuri.html

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Les antidépresseurs font peur et suscitent beaucoup de méfiance. Pourtant, ces médicaments ont une réelle efficacité dans les dépressions. Ils opèrent dans le cerveau notamment en augmentant le taux d'un neurotransmetteur appelé sérotonine ( hormone du bonheur).
▪Les antidepresseurs ne sont pas efficaces.
• C’est faux ! Les études sur les dépressions donnent des résultats incontestables : les antidépresseurs sont plus efficaces qu’un placebo. L’amélioration des symptômes (tristesse, fatigue, troubles du sommeil…) est perceptible au bout de deux ou trois semaines. Pour une efficacité optimale, la durée du traitement ne doit pas être inférieure à six mois, et le traitement sera diminué progressivement par votre médecin. Dans les cas les moins sévères, les psychothérapies cognitivo-comportementales(TCC) sont plus indiquées.
▪Les antidépresseurs induisent une dépendance.
•Faux ! Contrairement aux anxiolytiques, il n’y a pas de dépendance aux antidépresseurs au sens d’une addiction, c’est-à-dire sans pouvoir s’arrêter. Une chose est sûre cependant : l’arrêt brutal du traitement peut provoquer des vertiges ou un sentiment de tension pendant quelques jours. Arrêter un antidépresseur doit se faire progressivement avec votre medecin.
▪Les antidépresseurs rendent fou!
•Faux! La dépression n'a rien a voir avec la folie et encore moins les antidépresseurs qui sont censés améliorer l'état de santé psychique d'un patient.
Dr Otmane Telba
Médecin Psychiatre
Mon Psychiatre Algérie
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