Astuce pour retirer un pansement sans douleur 21 Mars 2021 Bien-être § Santé § Maman
Faire tremper le pansement dans l’eau chaude
Le meilleure truc et surtout le plus simple est d’utiliser l’eau tiède ou chaude pour enlever le pansement sur une plaie, et ce, sans douleur.
Voici les étapes pour retirer le pansement de sur la peau:
-
Faire tremper le corps et le pansement dans un bain chaud.
-
Attendre quelques minutes et décoller tranquillement le pansement.
-
Laisser l’eau entrer entre le pansement et la plaie et continuer à le décoller tranquillement.
Article recommandé
-
Covid-19 : La consommation du pain a reculé de 30% en Algérie29 Juin 2020
-
Salon International de la Gestion des Déchets - Revade05 Octobre 2019
-
L’équipe d’Algérie, un espoir politique et social 15 Juillet 2019
-
Comment se soigner de la dépendance au sucre25 Mars 2019
-
ACCES AUX ETUDES DE MASTER ET DOCTORAT : L’usage de l’anglais est désormais obligatoire20 Décembre 2019
La consommation du pain en Algérie a reculé de 30% depuis le début de la propagation de la Covid-19, a fait savoir dimanche le président de la Fédération nationale des boulangers (FNB),Youcef Kalafat qui s’est félicité de la baisse du gaspillage de cette denrée vitale durant le confinement.
S’exprimant en marge d’une conférence regroupant les professionnels du domaine au siège de l’Union générale des commerçants et artisans (UGCA), M. Kalafat a indiqué dans une déclaration à l’APS, que la production du pain a baissé, passant de 50 millions de baguettes/jour avant le début du confinement sanitaire, à 33 millions de baguettes/jour actuellement, soit une baisse de 30%.
Ce taux s’est établi à 70% depuis mars jusqu’à fin Ramadhan, avant de rebondir récemment.
Pour M. Kalafat, la fermeture des restaurants privés et des cantines des sociétés, établissements publics, privés, écoles et des universités impacte toujours le niveau de la demande sur le pain, en dépit d’un retour à la normale de la demande chez les familles.
« Un recul du niveau de gaspillage » depuis le début du confinement sanitaire a été, en outre, relevé par le représentant des boulangers qui y voit « un bon comportement » des familles.
Démentant l’existence d’une quelconque « pénurie de la farine sur la marché », M. Khalafat a appelé les boulangers à s’approvisionner directement auprès des minoteries.
« Les boulangers doivent s’adresser, pour les besoins d’acquisition de la farine, directement aux minoteries, munis de leur registres de commerce, pour y obtenir les quantités dont ils ont besoin », a-t-il précisé.
Les minoteries octroient des sacs de 25 kg seulement aux vendeurs de gros, mais assurent en quantités considérables, des sacs de 50 kg, pour les boulangeries, a-t-il rappelé.
Il a fustigé la « bureaucratie de l’administration des minoteries » qui exigent, a-t-il dit, un dossier volumineux comprenant des copies du registre du commerce et de la carte fiscale, le certificat de résidence, l’extrait de naissance, deux (2) photos et d’autres documents, alors que le registre de commerce du boulanger est amplement suffisant.
Concernant le transport de la farine, M. Kalafat a appelé la tutelle à « obliger les minoteries à appliquer la loi en faisant parvenir la farine jusqu’aux boulangeries ».
Il a en outre signalé la problématique de « la suspension du soutien au transport de cette matière vers les wilayas de l’extrême sud » où les boulangers sont contraints de parcourir plus de 450 km pour se la procurer auprès des minoteries.
Il a aussi déploré le fait que le groupe AGRODIV, qui accordait un soutien aux boulangers et aux grossistes d’une valeur de 6 millions de centimes en compensation des coûts de transport de la matière première, a cessé de le faire pour les boulangers.
Quant à l’impact de la hausse des prix du carburant sur les boulangers des zones d’ombre et des régions non raccordées au réseau de gaz naturel, il a fait savoir qu’un nombre important de boulangeries fonctionnaient encore au mazout, d’où la nécessité, a-t-il dit, de les aider avec les charges (électricité, impôts, transport de la farine, etc.).
Le président de la Fédération nationale des boulangers a tenu a assurer que « les boulangers ne comptent pas augmenter le prix du pain afin de préserver le pouvoir d’achat du simple citoyen ».
Concernant le remplacement des sacs en plastique par des sacs en papier, l’intervenant a appelé le ministère du Commerce à identifier les raisons de l’arrêt de la distribution des sacs en papier aux boulangeries.
Précisant que seulement 60 boulangeries en avaient bénéficié depuis son lancement le 6 janvier dernier, il a jugé impératif de relancer l’opération pour préserver l’environnement et la santé des citoyens.
APS
La Chambre Algérienne de Commerce et d'Industrie ( #CACI ) organise en collaboration avec L’Agence Nationale des Déchets ( #AND ) et la SAFEX -Société Algérienne des Foires et Exportations-, le 4ème #Salon #International de la #Récupération et de la #Valorisation des #Déchets « #REVADE » du 07 au 10 octobre 2019 au Palais des Expositions, SAFEX des Pins Maritimes à #Alger, sous le thème « L’#entrepreneuriat circulaire,un modèle #économique d’#avenir ».
Le salon REVADE est dédié à la #collecte, au #tri, au #transport, au #traitement, à la #valorisation et au #recyclage des déchets.
Pour plus d'information et inscription :
Mob : +213 (0)662 53 80 88
E-mail : info@revade.dz
Le parcours de cette équipe, composée en grande partie de binationaux, peut avoir un impact des deux côtés de de la Méditerranée.
Seghir Lazri travaille sur le thème de la vulnérabilité sociale des athlètes. Dans cette chronique, il passe quelques clichés du sport au crible des sciences sociales, ou comment le social explique le sport, et inversement.
Cela ne passe pas inaperçu, mais une victoire de la sélection algérienne est toujours l’objet de scènes de liesse dans les rues d’Alger comme dans les rues de Paris et des grandes villes françaises. En France, la montée de l’extrême droite cristallise encore cette question de l’intégration, et les récents événements en Algérie témoignent quant à eux des nombreuses difficultés, à mettre en place une véritable gouvernance démocratique. Dans quelle mesure cette équipe algérienne, composée en grande partie de binationaux, peut représenter un espoir social ?
L’Algérie et le besoin de cohésion
A l’heure actuelle, et dans un contexte politique particulier, les victoires de la sélection apparaissent comme des bouffées d’oxygène pour une population qui peine à se doter d’un nouveau gouvernement, et qui manifeste tous les vendredis dans la rue pour réclamer plus de transparence politique et de droits démocratiques. Loin d’assigner volontairement une dimension politique à une équipe de football, l’histoire témoigne à juste titre de l’importance du sport et notamment du football comme moteur de cohésion sociale, puisque participant à la création d’un récit national. Comme tenait à le rappeler l’historien Fabien Archambault, le sport «occupe une place de choix dans le processus de construction des identités nationales» et le spectacle sportif qui se caractérise par des flux d’images, alimente «des systèmes de représentation d’une grande stabilité». En d’autres termes, les exploits sportifs constituent un corpus historique dans lequel la communauté nationale vient puiser. Dès lors dans un contexte de forte tension, le football peut jouer un lien entre les individus, mais aussi «entre les hommes et leurs nations». A ce propos, le journaliste Mickaël Correia, dans son ouvrage sur l’histoire populaire du football, revient sur l’épisode de 1958, où des footballeurs «indigènes» quittèrent la sélection française afin de gagner la Tunisie et l’équipe du FLN nouvellement constituée. L’auteur démontre ainsi comment cet événement d’ordre sportif s’est inscrit dans un registre révolutionnaire tout devenant un élément important de la mémoire collective de la nation algérienne.
Modèle de réussite pour la France
Si les victoires et les exploits sportifs constituent des moments importants au sein d’un groupe d’individus, les ratés et les échecs font partie, aussi, de la mémoire collective. Ainsi le match France-Algérie de 2001 (où des supporteurs de l’Algérie avaient envahi le terrain) constitue un événement significatif concernant la question de l’intégration sociale des enfants d’immigrés. C’est à la suite de ce genre de fait que le thème de la binationalité est devenu, depuis une vingtaine d’années, l’objet de recherches en sciences sociales. Les travaux du sociologue Fabien Beyria, revenant spécifiquement sur ce match, mettent en évidence les rapports qu’entretient un individu quant à sa double identité, notamment lors d’un évènement sportif. Pour Fabien Beyria, c’est avant tout une socialisation sportive spécifique, associant football et appartenance culturelle qui donne une dimension politique un match. C’est pourquoi, si la binationalité concerne une petite partie de la population globale, les tensions propres à ce statut s’expriment grandement dans le monde du sport et particulièrement en fonction des pays concernés.
Le sociologue Vincent Geisser souligne judicieusement ce point de vue, à géométrie variable, porté sur la double nationalité. Selon le chercheur, la binationalité franco-algérienne est toujours l’objet d’une forte suspicion. Et pour cause, l’affaire des quotas en 2012 dans l’accès à la formation sportive pour les binationaux, démontre comment ce fantasme de la «double allégeance nationale» est source de tension. Dès lors, au regard de la sélection algérienne composée de 14 joueurs à la double nationalité (exclusivement franco-algérienne), il est important de ne pas confondre, comme le notait le politologue Hervé Andrès, la nationalité étatique et la nationalité sportive. En effet, les pays reconnus par la Fifa sont par exemple plus nombreux que ceux reconnus par l’ONU, un joueur peut étatiquement être affilié à un pays et sportivement à un autre, et ainsi servir deux nations dans des registres différents. Par conséquent, ces 14 joueurs sont aussi français que les joueurs de la sélection française, et sont tout autant représentatifs de la nation française. En ce sens, leurs performances sportives peuvent apparaître comme des symboles d’excellence sociale aux yeux de la population française. Concernant les enfants d’immigrés algériens (et pas que), la victoire sportive, de par sa capacité aussi à rassembler des individus d’une même origine, permet socialement de refonder ou de consolider ce que l’on nomme en sociologie, le lien d’affinité élective. Ce lien correspond à l’ensemble des rapports sociaux qu’un individu entretient avec son groupe de pairs notamment culturel. Renforcer ce type de lien, permet aux individus d’une même origine culturelle d’acquérir une forme de protection et de reconnaissance, favorisant, de fait, une meilleure estime de soi et une plus grande faculté d’intégration à une nation.
L’équipe d’Algérie de par sa diversité, peut constituer à la fois, un moteur de cohésion pour la société algérienne en proie à des difficultés politiques, mais aussi être un exemple de réussite sociale pour de nombreux Français issus de l’immigration.
liberation.fr
Ne nous leurrons pas : le sevrage du sucre est loin d’être facile si vous êtes déjà accro. Si vous ne l’êtes pas encore, n’attendez pas qu’il soit trop tard : diminuez drastiquement votre consommation de produits sucrés, surtout des sucres rapides.
Si vous ne pouvez pas vous passer de vos doses quotidiennes de barres chocolatées, soda, cappuccino, confiseries, desserts et autres « plaisirs » sucrés, il va falloir y aller plus en douceur.
Comme un gros fumeur qui veut arrêter, il vaut mieux le faire progressivement. Vous pouvez choisir d’avoir 1 SEUL aliment sucré par jour, pendant les quinze premiers jours. Puis, toujours une seule et unique gourmandise un jour sur deux… puis 2 fois par semaine.
Lorsque le manque est trop dur, mangez un fruit (qui contient du sucre rapide sous forme de fructose) frais ou sec. N’en abusez pas non plus. Remplacez les pâtisseries par des noix, des amandes ou des noisettes.
Limitez les produits laitiers, surtout les desserts lactés ou même les yaourts sucrés. Préférez un yaourt grec, ou un yaourt entier nature. Pour votre envie de chocolat, vous pouvez opter pour du chocolat bien noir, avec quelques fraises ou une banane.
N’achetez plus de boites de céréales sucrées, même celles – soi-disant – light comme Special K ou autres. Optez pour des flocons d’avoine, avec quelques raisins secs (peu) ou une grosse datte coupée en petit morceaux.
Pendant toute la période de sevrage, il vaudra mieux éviter toutes les tentations, comme les pages de publicité !
Pour faire face à toute addiction, il est conseillé d’être actif, de vous occuper l’esprit. Ne flânez pas dans les supermarchés et évitez les achats tentation.
Cuisinez-vous de vrais repas plaisir dépourvus de sucres simples… Si vous avez la chance d’avoir un restaurant ou un pâtissier sans sucre près de chez vous, laissez-vous surprendre. Vous constaterez que si vous stoppez les mauvais sucres, vous retrouverez une vivacité mentale et physique car la consommation de sucre épuise votre organisme et altère vos capacités cognitives.
Après un mois sans sucre, vous retrouverez le goût pour d’autres aliments qui vous semblaient fades, camouflés par la forte présence du sucre. Vous identifiez mieux la présence de sucre. Les fortes doses de glucose tendront à vous écœurer. Vous ressentirez les limites de votre tolérance au sucre. Ces limites étaient déjà là avant mais vous ne pouviez les identifier car le besoin était plus fort que votre protection naturelle. Vous vous débarrasserez de cette ceinture abdominale dans laquelle le sucre se transformait en graisse.
Se sevrer partiellement
Les avis divergent sur la question : faut-il arrêter totalement – ou presque – les sucres rapides ? Pour des questions de santé, on pourrait répondre que oui. Mais rien n’est tout noir ou tout blanc.
Il y a tout un contexte culturel, social et personnel qui font que tout le monde ne peut se passer raisonnablement de cette poudre blanche. Mais, dans tous les cas, descendez à une dose minime et contrôlée par semaine.
Si vous vous accordez, de temps en temps, un plaisir sucré, profitez-en alors pleinement. Installez-vous confortablement. Savourez-le. Mais ne débordez pas de ces limitations que vous vous fixez d’avance.
Se passer de sucre rapide et de sucre lent ?
On peut ne plus consommer de sucre, ou bien vraiment très peu. C’est le cas de ceux qui pratiquent le régime cétogène. Ce régime consiste à axer son alimentation en grande majorité sur les lipides. Les glucides ne composent alors plus que 2% de vos apports, 8% pour les protéines. Les 90% restant sont composés de lipides.
Les expérimentations sur le régime cétogène tendent à prouver que cette pratique aide à lutter contre le cancer, les troubles cardiovasculaires et neurologiques. Malgré les idées reçues sur la graisse, cette « diète » permet de perdre du poids et de maintenir un corps tonique.
Dernières astuces pour vous aider à vous sevrer du sucre
Le picolinate de chrome, en complément alimentaire, peut vous aider à supporter le manque de sucre. En stimulant l’action de l’insuline, il aide à combattre le besoin de glucides.
Vous pouvez aussi utiliser des huiles essentielles comme la camomille ou la litsée citronnée. Elles calment le système nerveux et vous assistent pour contrer le stress provoqué par le manque.
La méditation de pleine conscience vous aide à mieux gérer vos impulsions. Elle développe le cortex préfrontal et vous permet de prendre des décisions pesées.
Enfin, amusez-vous ! Essayez de profiter de la vie. Ne vous lamentez pas sur ce manque et ne vous renfermez pas. Faites du sport ou de la danse ! En août 2017, une équipe de chercheurs de l’Université de Madgebourg, en Allemagne, a démontré que la pratique régulière d’une activité physique comme la danse développait l’hippocampe cérébral. C’est là que, récemment, nous avons découvert qu’étaient produites des neurones tout au long de notre vie.
L’exercice physique, sous forme de danse ou de sport, améliore le flux sanguin : il augmente la taille et le nombre des micro-vaisseaux du cerveau. Cela permet d’apporter plus d’éléments nutritifs et d’oxygène au cerveau.
Le mal que vous avait fait le sucre sera réparé par votre nouveau régime alimentaire, une vie plus saine et plus active. Plus que cela, vous reprendrez confiance et profiterez mieux de la vie. Vous serez en bien meilleure disposition pour combattre, si besoin, d’autres addictions, comme celles de la cigarette.
sportalimentation.com
Ainsi, dans un rapport final, le comité du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, recommande l’obligation d’être titulaire d’un ‘B 2’ en anglais afin d’accéder au master et doctorat. Il sera demandé aux étudiants la note minimum de 11 sur 20 (sans rattrapage) pour postuler à la post-graduation à partir de l’année universitaire 2020/2021.
En effet, le Comité sectoriel spécialisé dans le renforcement de l’usage de la langue anglaise a pris plusieurs mesures et programmé des activités à court, moyen et long termes, qui devront contribuer au développement de l’enseignement et l’usage de la langue anglaise dans les universités et les centres de formation spécialisés, d’après les recommandations contenues dans le rapport final du Comité spécialisé, publié, mardi, par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tayeb Bouzid, sur sa page Facebook.
S’agissant des mesures devant être appliquées à court terme, le comité sectoriel a annoncé l’application, dès la prochaine rentrée universitaire, du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) pour le cycle doctorat. Selon le comité, une attestation de niveau B2 doit être fournie pour le parachèvement des thèses de doctorat et leur soutenance, l’obtention d’une moyenne de 12/20 en langue anglaise au Baccalauréat, l’obtention d’une note 11/20 ou plus (sans rattrapage) pour accéder au cycle Master, outre l’augmentation du volume horaire à (3) heures, dont une heure et demi (01h30) de présence physique et 1h30 à distance. Parmi les mesures prises, poursuit le comité, il sera procédé à la création d’écoles doctorales en anglais de spécialité dans les quatre coins du pays (Est, Centre, Ouest, Sud), la relance du Comité d’intensification de la langue anglaise qui se chargera de la réflexion, du suivi pédagogique et de la conception du contenu des programmes, des objectifs de formation, de la révision des approches et méthodes d’enseignement devant être mis en place, l’élaboration d’un calendrier de réunions du comité CPND pour l’actualisation des programmes de formation (profil d’inscription, contenu, pédagogie appropriée et profil du diplôme), ainsi que la révision des statuts des centres d’enseignement intensif des langues (CEIL).
Source KAMEL BOUMESSAOUD
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.