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Comme chaque année, à l’occasion de l’Aïd la question de la disponibilité des produits de première nécessité revient avec persistance. Trouver une boulangerie ouverte, un sachet de lait relève parfois du parcours du combattant.
Pourtant le ministère du Commerce n’a pas lésiné sur les moyens pour mettre fin à ces mauvaises habitudes de nos commerçants, puisque plus de 2 000 agents de contrôle ont été affectés à travers l’ensemble du territoire national pour le suivi de la mise en œuvre de ce programme des permanences. Les désobéissants risquent 30 jours de fermeture assortie d’une amende entre 30 000 et 200 000 dinar
Cette permanence concernera 5.376 boulangers, 32.819 commerçants activant dans l’alimentation générale, fruits et légumes, 11.234 dans des activités diverses et 445 unités de production (134 laiteries, 275 minoteries et 36 unités de production d’eaux minérales).
Le nombre de commerçants réquisitionnés a ainsi été renforcé et revu à la hausse de l’ordre de 39% par rapport à l’année 2017, et ce, pour pouvoir assurer aux consommateurs une disponibilité fluide des produits notamment de large consommation.
La SNTF va multiplier le nombre de ses dessertes durant le 1er jour de l’Aid
Le moment des grandes fêtes donne lieu à d’importants déplacements des familles, lesquelles, à ces occasions, se font chaque fois un devoir d’aller visiter les membres proches ou éloignés de leurs familiers.
Comme chaque fois, en prévision de l’important afflux de voyageurs, la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF) a pris l’initiative de multiplier le nombre de ses dessertes.
Le chef de la division vente et marketing au sein de cette entreprise, Hichef Bourenane, annonce que durant le premier jour de l’Aïd el-Fitr, et afin de permettre aux nationaux de se rapprocher de leurs proches, trois dessertes reliant dans les deux sens Alger à Oran ont été programmées.
Il indique, d’autre part, que les départs entre la capitale et Constantine, Annaba et entre Oran et Béchar vont également être renforcés à cette occasion. Durant la seconde journée, signale-t-il, la circulation reviendra à la normale habituelle.
Disponibilité des carburants durant les deux jours d’Aïd el Fitr
distribution des produits pétroliers sera assurée durant les deux jours de Aïd el Fitr sur tout le territoire national, a indiqué la Société nationale de commercialisation et de distribution de produits pétroliers (Naftal).
« Naftal informe son aimable clientèle que durant les deux jours de Aïd el Fitr et à l’instar des autres jours de l`année, les carburants et tout autres produits pétroliers seront disponibles à travers tout son réseau stations-service à l’échelle nationale 7j/7 et 24h24 », assure Djamel Cherdoud, chargé de communication à Naftal, à la radio Chaine 3.
La DGSN met en place un plan de sécurisation global
Un plan de sécurisation global comportant un ensemble de mesures préventives et de précaution visant à garantir la sécurité des citoyens et la protection de leurs biens, a été mis en place, en prévision de l’Aïd El Fitr, par la Direction générale de la Sûreté nationale.
Le plan consiste en « la prise de mesures préventives et de précaution visant le redoublement d’effort sur le terrain en vue de garantir la sécurité du citoyen et la protection de ses biens durant cette fête religieuse qui connait beaucoup de déplacements des citoyens », précise un communiqué rendu public mercredi par la DGSN
Parmi ces mesures, figurent notamment le « renforcement de la régulation de la circulation routière par des brigades de motards afin de garantir davantage de fluidité et l’utilisation des moyens modernes pour faciliter le travail de terrain de l’ensemble des brigades de contrôle de circulation, en sus de la couverture aérienne et la coordination avec les équipes de terrain et l’usage de caméras de surveillance ».
A cette occasion, DGSN appelle les usagers de la route à faire preuve de vigilance et à respecter le code de la route et ne pas dépasser la vitesse limitée, rappelant qu’elle avait mis à leur disposition le numéro vert 15-48 et les différents supports numériques disponible H24.
RadioAlgerie.dz
L'ortie...la mal aimée, et ces mille vertus pour les cheveux gras :
Si je vous dis ortie, vous me dites aie aie ça pique !!! Eh oui, qui n’a pas souffert une seule fois dans sa vie de démangeaisons, et de piqûres provoquées par les feuilles d’orties, alors que vous étiez tranquillement entrain de jouer et courir et dans un jardin, ou lors d’un pique nique prés d’une aire d’auto route.
Cette plante mal aimée qui semble tellement inutile mise à part nous gâcher un moment de détente, recèle de nombreux bienfaits.
Utilisée depuis la Grèce antique, elle renferme une grande quantité de vitamines : A, B, C et K, ainsi que des minéraux (silice, magnésium, fer) et oligo-éléments (cuivre, zinc) du fer, du magnésium, mais aussi du calcium, phosphore, potassium, manganèse, sélénium et zinc, rien que ça, avouez que c’est étonnant non !!! Et c’est ce n’est que le début, car si elle est aussi riche en vitamine et minéraux, elle contient également de la silice d'où son action préventive sur l’ostéropose (maladie fragilisant les os et diminuant ainsi leur résistance)
Et surtout le plus surprenant encore, les feuilles d'orties apportent 6 à 7 fois plus de vitamine C que l'orange.
Après avoir lu tout ça, je pense que vous ne verrez plus l’ortie de la même façon, mais si vous avez encore des doutes, nous avons d’autres arguments qui vont vraiment vous surprendre, et plaire à la gente féminine.
Car l’ortie est aussi un allié beauté incontournable, surtout pour les femmes qui souffrent du problème des cheveux gras et raplapla et qui maudissent à chaque fois les fabricants de soins capillaires qui leurs promettent monts et merveilles, avec des appellations aussi vendeuses que shampoing purifiant, régulateur de sébum, masque fraîcheur…, et j’en passe.
Pas de panique les filles, nous avons une solution pour vous, et justement à base de feuille d’ortie.
Grâce à la recette d’un shampoing naturel aux feuilles l’ortie, vos cheveux retrouveront vitalité et légèreté, sans les inconvénients des produits chimiques et cancérigènes que l’on retrouve dans les produits capillaires.
Voici la recette d’un shampoing aux feuilles d’orties :
Mettez 2 petites poignées de feuilles d’orties dans 200 ml d’eau bouillante, laissez infuser durant 20 min.
Une fois que votre infusion est prête, rajoutez quelques cuillères à soupe d’argile verte en poudre, jusqu'à obtention d’une pâte épaisse. Une fois la préparation prête, appliquez le mélange sur le cuir chevelu et sur la longueur des cheveux et massez délicatement. Laissez reposer 5 minutes avant de bien rincer à l’eau tiède.
Bonne nouvelle : le shampoing se conserve une semaine dans un pot bien hermétique, à l’abri de la chaleur et la lumière.
NB : Je vous invite à cueillir cette plante avec des gants de vaisselles épais afin de ne pas vous faire piquer encore une fois, et sachez qu’au contact de l’eau chaude, les épines ne piqueront plus.
ED
Notre bon vieux couffin et nos fameuses bouteilles en verre que l’on consigne sont la solution la plus facile pour mettre fin au massacre du plastique contre Dame nature.
Un Algérien a fait plus de 500 km à pied pour manifester contre les sacs plastiques. Venu de Beni Saf (ouest du pays) d’où il est originaire, il a parcouru pancarte à la main, où il est écrit «stop aux sacs plastiques», plus d’une dizaine de villes avant d’arriver à la capitale. Un geste des plus symboliques mais qui démontre la prise de conscience des Algériens contre ce phénomène qui est en train de «tuer» nos villes et villages.
En effet, depuis plusieurs mois des campagnes de sensibilisation sont menées par les jeunes sur les réseaux sociaux. Ils ne sont pas forcément «écolos», mais ils veulent en terminer avec cette «tradition» qui a gagné le pays depuis qu’il est passé au libéralisme durant les années 1990.
Le plastique en général, a envahi notre quotidien, mais surtout notre environnement. C’est devenu un gage de bon service pour les commerçants. Vous allez acheter un petit chewing-gum, il vous l’emballera dans un petit sac. Ne pas vous proposer ce sac lui paraît comme une insulte qu’il vous adresse. «Asna khouya naâtik sachet. Khessara aâlik» (Attends mon frère que je te donne un sac. Quand même je n’oserai pas). C’est la phrase que vous lancera le bon commerçant. Au début de l’époque des sachets, ils étaient vendus à 2 DA pièce. D’où, d’ailleurs, le nom qui leur colle dans le jargon populaire (sachet taâ rabaaïne dourous, 40 centimes, deux dinars). Cependant, les choses ont évolué, et ce sac a commencé à être offert par les commerçants. C’était le début des abus!
La notion de jetable a ainsi fait son apparition. Nos objets du quotidien sont utilisés pour une petite période avant de rejoindre la poubelle. Et pour beaucoup de nos concitoyens, malheureusement, poubelle signifie les…ruelles. Elles sont envahies par ces sacs et autres bouteilles et emballages en plastique. D’ailleurs, la première chose par laquelle un touriste est accueilli en débarquant à Alger ce sont les sacs plastiques accrochés aux barbelés ou qui se «baladent» sur le tarmac.
Une image affligeante, mais qui résume parfaitement la réalité de notre environnement, noyé sous les déchets plastiques. Pourtant, il suffit de revenir aux sources pour mettre fin à ce massacre contre Dame nature. Notre bon vieux couffin et nos fameuses bouteilles en verre que l’on consigne sont la solution la plus facile pour mettre fin à cette tragédie. Non seulement, cela évite le gaspillage, mais sauvegarde la nature. A leur époque, les problèmes de pollution n’existaient pas chez nous. En plus, c’est joli, meilleur pour la santé avec les toxines que dégagent les sacs plastiques. En ce qui concerne les boissons, le verre a même une meilleure conservation. Vous pouvez le constater de vous-même avec le goût des limonades en verre et en plastique. La différence est flagrante. Les pays occidentaux sont en train de revenir doucement à ce que nous avons abandonné. Depuis qu’ils font payer les sacs en plastique, le couffin est revenu au devant de la scène. C’est même devenu un accessoire de mode pour beaucoup.
Les grandes marques ont surfé sur la tendance en lançant leurs collections «panier».
Le plastique disparaît crescendo chez elles. Elles l’ont fait, alors pourquoi pas nous surtout qu’il y a une génération cela était notre quotidien? En fait, le problème réside dans la mise en place d’une réelle volonté politique pour se débarrasser définitivement de la «chekara» et non pas lui changer de couleur comme on l’a fait au début des années 2000. Beaucoup d’énergie et d’argent ont été mobilisés dans le traitement des déchets. Mais on n’a pas attaqué le mal par la source. Il n’y a pas encore d’investissement sur la prévention, sur les raisons de la production de déchets. C’est là-dessus qu’il faut miser à fond.
Les autorités doivent centrer leurs efforts sur l’éducation de la population. Faire entrer les termes «développement durable» «consommation responsable»dans le vocabulaire algérien. Il faut ré-inculquer cette culture qui est loin d’exister chez nous, où l’on continue à jeter nos poubelles par les fenêtres et nos détritus parterre. Une amère réalité que l’on peut changer en retrouvant des valeurs qui étaient les nôtres, il n’y a pas si longtemps. Alors n’hésitons plus, tirons nos couffins…
source :lexpressiondz.com
CONFÉRENCE THÉMATIQUE
La #crise que vit l'#université_algérienne.
Pour mieux comprendre la crise que traverse l'université algérienne aujourd'hui, nous vous invitons à venir assister l'intervention de nos deux conférenciers Adel Abdrezzak et Nacer Djabi.
La conférence aura lieu le samedi 02 décembre à partir de 14 heures au théâtre régional de Béjaïa.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.