
Selon un spécialiste de la reproduction britannique, les douleurs ressenties pendant les règles pourraient parfois être semblables à celles d’une crise cardiaque. Il estime que ces douleurs sont sous-estimées et appelle à davantage de recherche.
Voilà une déclaration qui fera sans doute chaud au cœur à toutes les femmes qui souffrent chaque mois de vives douleurs pendant leurs règles, un symptôme que l’on appelle dans le jargon médical la dysménorrhée.
Après avoir entendu des gynécologues assurer qu’un comprimé d’ibuprofène suffisait à calmer les douleurs menstruelles, John Guillebaud, professeur en Santé de la reproduction à Londres (Royaume-Uni), a décidé de s’exprimer à ce sujet auprès du site Quartz.
Il affirme ainsi que les douleurs liées aux règles peuvent parfois « être aussi fortes que lors d’une crise cardiaque ». Pourtant, le professeur constate dans son exercice que ces douleurs menstruelles sont bien souvent sous-estimées de la part du corps médical, et ce qu’ils s’agissent de médecins femmes ou hommes.
Un corps médical qui sous-estime parfois la douleur
« D'un côté, les hommes ne souffrent pas et sous-estiment ce que ça peut être chez certaines femmes. Mais certaines femmes médecins peuvent être elles aussi un peu réticentes, parce qu'elles ne souffrent pas elles-mêmes », indique John Guillebaud.
Le spécialiste estime que ces douleurs n’ont pas la prise en charge médicale qu’elles méritent, et que davantage de recherches devraient être menées pour tenter d’apporter des solutions aux femmes qui souffrent chaque mois.
Pour le scientifique, ce problème vient aussi du tabou qui entoure encore les règles. Il incite ainsi les femmes concernées à en parler davantage, tout comme les grands médias, qui rechignent en général à évoquer ce qui appartient au domaine de l’intimité féminine.
Rappelons que de vives douleurs pendant les règles sont l’un des principaux symptômes d’une endométriose, maladie gynécologique qui affecte au moins une femme sur dix, soit 180 millions de femmes dans le monde, et 3 à 4 millions rien qu’en France. Cette maladie chronique requiert un diagnostic et une prise en charge précoces, sans quoi elle peut conduire à une infertilité, et à davantage de douleurs au quotidien.
Le Pr John Guillemaud invite donc toute femme ayant des douleurs menstruelles vives, qui l’empêchent d’effectuer ses activités quotidiennes et ne sont pas soulagées par un antalgique classique, à en parler au corps médical, et à insister jusqu’à ce que les symptômes soient considérés et pris en charge.
source : santemagazine.fr

Ingrédients (pour 4 personnes) :
- moutarde
- crème fraîche
- 6 tranches de pate de volaille fumé
- tranches de pain de campagne larges
- gruyère râpé
Préparation de la recette :
Couper des tranches de pain d'environ 1 cm d'épaisseur; réservez.
Dans un bol, mélanger une bonne cuillère à café de crème fraîche (par tranche de pain) et une bonne cuillère à café de moutarde.
Etaler le mélange sur une tranche de pain, disposer dessus tranches de pate de volaille, puis du gruyère râpé.
Verser un filet d'huile d'olive et un peu d'origan.
Passer au four 10 min maximum, à 180°C (th 6), et servir avec une salade verte.
crédit photo : femina.fr
Par : santeplusmag.com
Quand il s’agit de l’hygiène intime, chaque femme a son propre rituel. Certaines préfèrent utiliser de l’eau tiède uniquement, d’autres ne peuvent se passer d’un savon spécial pour zone intime, etc. Cependant, il existe une pratique adoptée par une grande partie des femmes et qui représente un réel danger pour leur santé : la douche vaginale. En effet, celle-ci multiplie par deux le risque de cancer des ovaires. Explications.
La douche vaginale, qu’est-ce que c’est ?
La douche vaginale, comme son nom l’indique, est une pratique qui consiste à faire rentrer de l’eau ou d’autres liquides dans son vagin pour le « nettoyer », à l’aide d’un tube, d’un gicleur ou d’une poire de lavement. Les femmes qui utilisent cette technique croient à tort qu’elle leur garantit un vagin plus propre et sans odeurs, surtout après la fin des règles, ou qu’elle prévient les maladies sexuellement transmissibles et les grossesses non-désirées après un rapport.
Les dangers de la douche vaginale
Même si les gynécologues déconseillent fortement cette pratique, 25% des femmes à travers le monde l’utilisent encore, ignorant qu’elles mettent en danger leur santé. En effet, le vagin est fait de manière à se nettoyer naturellement grâce à son acidité et à ses microorganismes, connus sous le nom de flore vaginale.
Or en y injectant de l’eau ou toute autre substance destinée à le nettoyer ou à neutraliser ses odeurs naturelles, son équilibre est perturbé et son rôle de protection contre les différentes infections bactériennes n’est plus efficace.Pire encore, les douches vaginales peuvent irriter votre vagin et propager l’infection vers l’utérus, les ovaires et les trompes de Fallope, endommageant ainsi votre système reproductif et provoquant des difficultés à tomber enceinte (réduction de la fertilité).
Pire encore, il a été scientifiquement prouvé que la douche vaginale faisait doubler le risque de cancer des ovaires. Ce dernier ne présentant pas de symptômes pendant ses premières phases, il reste difficile à diagnostiquer, ce qui lui vaut le surnom de « tueur silencieux ».
La douche vaginale et l’augmentation du risque du cancer des ovaires
Selon une étude menée par des chercheurs du National Institute of Environnemental Health Science aux États-Unis, et dont les résultats ont été publiés dans le Journal of Epidemiology en 2013, la pratique de la douche vaginale multiplie le risque de cancer des ovaires.
Cette étude a concerné 41 000 femmes américaines et portoricaines de 35 à 74 ans, dont certaines avaient des antécédents familiaux de cancer. Au début, toutes les femmes ne présentaient aucun problème de santé. Une année après, 154 d’entre elles ont été diagnostiquées du cancer des ovaires, avec une incidence double chez celles qui pratiquaient la douche vaginale, et risque encore plus accru pour celles ayant des antécédents familiaux.
D’après Clarice Veinberg de l’Environmental Health Reaserch Institute en Caroline du Sud, la douche vaginale est une pratique complètement inutile et qui ne permet en aucun cas de jouer le rôle de contraceptif ou de protection contre les infections sexuellement transmissibles.
Quelques conseils pour prendre soin de son hygiène intime
Pour prendre soin de vos parties intimes et éviter les dégâts que peuvent causer de telles pratiques, voici quelques conseils :
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Utiliser de l’eau tiède pour votre toilette.
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Choisir un savon naturel à utiliser occasionnellement, pour éviter la sécheresse vaginale liée à un usage trop fréquent.
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Bannir les produits chimiques parfumés et agressifs qui perturbent la flore vaginale.
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Porter des sous-vêtements en coton de taille adéquate, qui absorbent la transpiration et empêchent la prolifération des bactéries.
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Changer quotidiennement de sous-vêtements pour limiter les risques de prolifération bactérienne et d’infections.
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Consulter un gynécologue en cas de rougeurs, d’irritations ou d’écoulements étranges… et éviter l’automédication.

Le persil, utile contre plus de 10 problèmes de santé
Voici les problèmes de santé que le persil peut aider à traiter ou à soigner naturellement selon le docteurtamalou.fr
– rétention d’eau ou de liquides
– troubles des reins, de la vessie, de la prostate
– toux
– asthme
– problèmes digestifs
– pression artérielle / tension élevée
– gaz intestinaux, ballonnements
– problèmes hépatiques
– spasmes musculaires
– rhumatismes
– absence ou dérèglement des menstruations.
Comment consommer le persil médicinal ?
Généralement, le persil est consommé en accompagnement d’un plat cuisiné ou dans une salade. Mais s’il est utilisé pour des raisons médicinales, il est recommandé de la consommer sous forme de tisane ou de boisson.
Vous pouvez ajouter 1 à 2 cuillère(s) à café de feuilles séchées ou de racines de persil, ou 1 cuillère à café de graines de persil broyées, dans une tasse d’eau bouillante. Laissez infuser 10 minutes, filtrez puis buvez. Attention à ne pas dépasser 3 tasses par jour.
À la place, vous pouvez aussi prendre 1/2 cuillère à café de teinture-mère diluée dans un verre d’eau, jusqu’à 3 fois par jour.
Précautions et contre-indications
Utilisez toujours du persil cultivé en potager car le persil à l’état sauvage peut être trop facilement confondu avec la ciguë, une plante très toxique.
Il est fortement déconseillé aux femmes enceintes de consommer le persil sous forme médicinale.
Pris en infusion, attention à ne pas dépasser 3 tasses par jour.

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