Musées nationaux gratuits d'accès pour les parents et leurs enfants 02 Juin 2021 Art § Culture § Artisanat
À l'occasion de la journée internationale de l'enfant, l'ensemble des musées nationaux sont gratuits d'accès pour les parents et leurs enfant du 01 au 08 Juin.
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Dans une lettre ouverte signée par une dizaine d’associations féministes (dont le Face, Réseau Wassila, Fard, Aef, Rachida, Sos femmes en détresse), ces dernières rappellent l’ampleur des drames survenus cette année.
A la veille de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes (25 novembre), les associations féministes s’élèvent, dans un nouveau cri de détresse, contre le cycle infernal de la violence à l’égard des femmes, rejetant «l’indignation sans lendemain» et appelant à l’application de mesures concrètes pour mettre fin aux drames.
Ce sera aussi l’occasion de rendre hommage à toutes les femmes victimes de violences et de s’incliner à la mémoire de celles qui ont été sauvagement assassinées. Depuis le début de l’année, 45 féminicides ont été enregistrés. Un chiffre bien en deçà de la réalité, selon les mêmes associations.
Dans une lettre ouverte signée par une dizaine d’associations féministes (dont le Face, Réseau Wassila, Fard, Aef, Rachida, Sos femmes en détresse), ces dernières rappellent l’ampleur des drames survenus cette année.
«La vague d’émotion qui a submergé notre pays, écrivent-elles, la tempête médiatique provoquée par le martyre de Chaima, l’ampleur du mouvement d’effroi, répercuté par les réseaux sociaux, nous ont rappelé chacun de ces assassinats rivalisant de brutalité et d’horreur, qui sont commis en Algérie comme dans le reste du monde.»
Et de poursuivre : «Le hashtag ‘‘nous avons encore perdu l’une des nôtres’’ n’était plus seulement scandé par une poignée de femmes solidaires des victimes de la barbarie, mais par des milliers d’anonymes. Allons-nous continuer à inscrire chacune des victimes dans un décompte macabre ? Allons-nous nous contenter d’inscrire leurs prénoms pour leur redonner leur humanité et leur rendre un nécessaire hommage ?»
Elles soulignent qu’aucune violence n’est acceptable. «Le cycle infernal de la violence peut commencer par l’insulte, le crachat, la ‘‘petite gifle’’, en mode crescendo et répétitif et conduire au meurtre», disent-elles. Aussi est-il important, selon elles, de «traquer toutes les formes de violence quels qu’en soient le type et la gravité, les dénoncer et veiller à ce que leurs auteurs soient punis».
Les associations féministes se méfient toutefois des «surenchères» concernant les sanctions à infliger aux criminels, rejetant «la peine de mort», réclamée parfois par les proches des victimes. «Comme si, argumentent-elles, les lois pénales n’avaient pas été inventées pour punir ceux qui se donnent le droit de vie et de mort sur autrui, comme si l’exécution capitale pouvait dédouaner les sociétés de leur responsabilité collective !
Comme si, enfin, un Etat de droit qui se respecte ne devait pas s’honorer, au nom de l’éthique humaniste, d’abolir la peine de mort, seule manière de refuser d’imiter le meurtrier pour lequel ‘‘une vie ne vaut rien’’.»
Elles adressent ainsi une série de propositions aux autorités publiques afin de mettre fin à ces violences. Parmi elles, figurent notamment la mise en place de centres d’appel téléphonique accessibles gratuitement 24 heures sur 24, à partir de fixes et de portables, pour appeler au secours, la mise en œuvre de protocoles d’intervention rapide des services de sécurité, sensibilisés et formés à cette mission, l’interpellation des agresseurs et protection immédiate des victimes avec ou sans certificat de médecine légale ainsi que la réquisition d’hôtels pour abriter les femmes et leurs enfants en danger.
Pour venir en aide aux femmes et enfants victimes de violences, elles insistent sur la construction de centres d’hébergement partout dans le pays, où l’accès des femmes victimes de violences est garanti, quel que soit leur statut matrimonial, avec ou sans enfants ainsi que le financement pour la gestion et l’encadrement de ces centres en médecins, psychologues, aidant-e-s…
Pour assurer la qualité de l’accueil des victimes, elles proposent le développement de programmes de formation des professionnels de la police, de la justice, des services sociaux, d’éloigner l’agresseur, enregistrer la plainte, orienter ces victimes vers des structures dédiées ainsi que des dotations financières aux associations d’aide aux femmes victimes de violences et le droit de se porter partie civile auprès des tribunaux dans les affaires judiciaires liées à ces violences.
Dans le cadre du dispositif de lois efficace contre les violences faites aux femmes, elles suggèrent le transfert de la disposition pénale qui consacre l’infraction de harcèlement sexuel (article 341 bis), qui figure dans le chapitre II «crimes et délits contre la famille et les bonnes mœurs», dans le chapitre I «crimes et délits contre les personnes», car le harcèlement s’attaque à l’intégrité physique et psychologique des personnes et non forcément aux familles, la traduction de cette disposition de l’article 341 bis, dans la législation du travail, l’inscription de dispositions qui protègent les témoins contre le risque de représailles au niveau professionnel ainsi que l’abrogation de l’article 326 du code pénal qui permet à l’auteur d’un viol d’échapper aux poursuites s’il épouse sa victime, laquelle est, alors, exposée à un mariage forcé. Le Maroc l’a retiré en 2014 et la Tunisie en 2017.
A cela s’ajoutent les demandes d’introduction du crime de «féminicide» dans le code pénal, l’abrogation du code de la famille et la promulgation de la loi-cadre contre les violences faites aux femmes.
Elles suggèrent aussi pour prévenir cette violence extrême, qu’est le féminicide, de lutter contre les mécanismes qui rendent la violence possible : la culture de la violence au sein de la famille, à l’école, dans la rue, au travail.
«Il nous faut également combattre l’ordre mondial basé sur les inégalités, l’injustice et travailler à transformer les réalités qui infériorisent les femmes», soulignent-elles.
Parmi les signataires figurent notamment le FACE ou Femmes algériennes pour un changement pour l’égalité, L’AEF (Agir pour l’émancipation des femmes), le Réseau Wassila, la Collective féministe d’Alger, Sawt Nssa – Constantine –, Femmes algériennes revendiquant leurs droits (FARD) d’Oran, La Fondation pour l’Egalité/Ciddef, Femmes en communication (FEC), SOS femmes en détresse, l’Association nationale Rachida, l’Association nationale Femmes Action Développement (AFAD) ainsi que le Collectif des femmes libres de Bouira.
Source : elwatan.com
«La protection de l’enfance, une question cruciale qui concerne l’ensemble des citoyens, des institutions et les médias ont un important rôle à jouer», a indiqué, la déléguée nationale à la Protection de l’enfance, Mme Meriem Cheurfi.
S’exprimant jeudi en marge de la cérémonie de clôture d’une session de formation organisé au profit des membres du Réseau des journalistes pour le renforcement des droits de l’enfant, Mme Cheurfi a relevé l’importance de conjuguer les efforts en vue d’assurer une meilleure protection aux enfants contre la violence, l’exploitation et contre toute autre forme d’abus.
La présidente de l’organe national pour la protection des enfants a, dans ce contexte, annoncé la mise en service du numéro vert 1111 pour le signalement de toute forme de violence ou de maltraitance faites aux enfants. Elle a fait savoir que l’ONPPE a déjà commencé à recevoir les signalements sur son numéro vert sur la ligne mobile «Mobilis» dans le cadre d’un accord signé entre les deux parties, en attendant l’élargissement de l’opération à d’autres opérateurs de téléphonie mobile. «Une cellule composée d’équipes pluridisciplinaires formés de psychologues et de sociologues, veille à la réception des signalements concernant les atteintes aux droits de l’enfant» a-t-elle noté. Soulignant l’intérêt des pouvoir publics pour la protection de l’enfance, Mme Cheurfi a exprimé sa satisfaction quant à l’engagement des membres du Réseau de journalistes algériens à apporter leur précieuse contribution, à l’effet, d’assurer une meilleure protection aux enfants de l’Algérie. «Des progrès notables en matière de protection de l’enfance ont été accomplis en Algérie, tant sur le plan législatif que sur le plan institutionnel» a-t-elle expliqué, ajoutant que la loi sur la protection de l’enfance, promulguée en 2015 en est une preuve concrète.
La présidente de l’Organe qui a mis l’accent sur la nécessité de préserver cet acquis, a indiqué que le développement et l’épanouissement des enfants ne peuvent être assurés sans la garantie de leur protection contre toute forme de violence.
Organisée à l’initiative de l’Organe national de la protection et de la promotion de l’enfance (ONPPE), la formation de trois jours a été initiée en collaboration avec le bureau de l’Organisation internationale de la réforme pénale (PRI), pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) et en coordination avec le ministère de la Communication. Encadrée par des experts algériens et étrangers, la formation a pour objectif de renforcer davantage les connaissances des journalistes, membres du réseau «ami de l’enfance», issus de différents supports médiatiques (presse écrite et de l’audiovisuel), sur les questions relatives aux droits de l’enfant. C’est également, une occasion de s’imprégner sur les modalités susceptibles d’assurer à cette frange de la société une protection effective, en se dotant des compétences en la matière.
Pour sa part, le directeur des projets au bureau de la PRI pour la région MENA, Mohamed Chabana, a indiqué que cette session de formation s’inscrivait dans le cadre de la convention de coopération conclue avec l’ONPPE à Alger en 2017, portant sur l’échange des expériences et l’accompagnement technique, notamment à travers les cycles de formation. M. Chabana a également salué les réalisations accomplies par l’Algérie dans le domaine de la promotion et de la protection des droits de l’enfant en se dotant d’importants moyens pour garantir à ses enfants cette protection. Selon le responsable, l’Algérie est le premier pays dans le monde arabe à avoir instauré une loi relative à la protection des droits de l’enfant (la loi 12-15), précisant que cette loi s’aligne parfaitement avec les principes de la convention internationale des doits des enfants. Et d’ajouter que la création de l’Organe national pour la protection et la promotion des enfants qui est placée sous la tutelle du premier ministre, est premier du genre dans le monde Arabe est une preuve concrète de l’intérêt qu’accorde l’Algérie pour l’enfance en général et ceux en situation de détresse en particulier.
De son côté, M. Madjid Hamdane, expert et membre de l’Organisation internationale de la réforme pénale, a mis l’accent sur la nécessité de former une presse spécialisée dans les questions liées à l’enfance, en s’orientant sur le préventif au lieu du curatif. «Les médias doivent avoir un rôle de prévention contre les dangers auxquelles sont confrontés les enfants», a-t-il signalé.
Pour sa part, Mme M’Barka Sakhri, expert juridique et conseillère à l’ONPPE a mis la lumière sur les modalités de prise en charge des enfants en situation de danger, en évoquant la protection judiciaire et sociale de ces derniers représenté par les services du milieu ouvert (SMO) implantés dans les 48 wilayas.
Il faut noter que le Réseau de journalistes algériens s’est fixé comme objectif de placer l’intérêt supérieur de l’enfant au-dessus de toute considération et à véhiculer la culture des droits de l’enfant dans la société.
source : elmoudjahid.com
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Une formation animée par Radia Hadj Mohamed, se tiendra pour le 19 Janvier 2018 de 9h00 à 15h00
au niveau de la maison de jeune de Bni mered en face la gare de Bni Mered
Le tarif étudiant: 1000 da
Le tarif non-étudiant: 1500 da
Si vous êtes intéressés, veuillez inscrire sur le lien suivant car les places sont limitées :
https://radiaradia.typeform.com/to/BAi8hV
A partir du 24 février et jusqu’au 15 mars, la galerie Ezzou’art abrite une exposition de la jeune artiste plasticienne Hassiba Tareb Mebarki, une exposition de peinture avec une installation intitulé “Amezw’Art ”.
Tareb Hassiba Mebarki, biologiste de formation et diplômée de l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts d’Alger (major de promotion 2016).
Artiste peintre, active et dynamique, elle a participé à des expositions collectives et à des workshops en Algérie et à l’étranger, notamment l’Asie du sud-est. Depuis mars 2017, elle anime des workshops artistiques en faveur des enfants trisomiques au sein de l’association TRIA (Trisomie-Aldjazair).
Sa démarche artistique l’amène à s’intéresser à la représentation picturale abstraite, mêlant ce qui est de l’ordre du ressenti et de la transcription émotionnelle à l’ambiance chromatique du milieu naturel. En outre la peinture, elle est aussi adepte de l’enrichissement des moyens et outils d’expression afin de présenter la nouvelle pensée environnementale.
Elle peint d’après des images remémorées qu’elle garde de ses explorations de la nature et le souvenir des sentiments qu’elles lui ont inspirées. De ce fait, elle engage une conversation avec la toile vierge en commençant par appliquer la matière pour lui donner vie. L’étape suivante consiste à rechercher une stratégie pour résoudre le travail pictural par différents moyens techniques (matière, couleur, geste).
Elle joue avec les formes et les couleurs acceptant la fantaisie du hasard. La magie advient de manière inconsciente. Ainsi une nouvelle œuvre apparaît dans le prolongement de la précédente.
Son parcours l’a conduite tout naturellement au désir d’explorer un nouveau processus : vivre un mode de création en continuité avec ses réflexions sur la nature. Passer de la représentation à la présentation de la nature.
Le vernissage aura lieu le samedi 24 février 2018 à partir de 15h à EZZOU’ART Galerie du Centre Commercial et de Loisirs Bab Ezzouar
La COVID-19 circule toujours là ... Et le port du masque s'impose dans bien des situations. Ce n'est déjà pas très agréable, mais avec la chaleur c'est encore pire ! Alors avec les températures qui montent, comment porter le masque sans étouffer ? voici les conseils lus sur le site comment-economise :
1. Choisissez une couleur claire Le noir attire la chaleur, c'est bien connu. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'on a tendance à porter des vêtements clairs quand il fait chaud. L'été, les vêtements sombres ont tendance à rester dans les placards ! "Les couleurs sombres deviennent plus chaudes plus rapidement et attirent le soleil vers vous", confirme la Dr Anne Rimoin, professeur des maladies infectieuses. Eh bien, il en va de même avec les masques. Quand il fait chaud, il est préférable de porter un masque de couleur claire (blanc, bleu...). Ceux qui sont en tissus sombres attendront que les températures baissent pour sortir du placard.
2. Préférez du coton Vous hésitez entre un masque en tissu synthétique (en polyester par exemple) ou un masque en coton ? Choisissez le masque en coton ! Le masque en coton facilite la respiration. Et en plus, il est plus confortable même s'il n'évacue pas l'humidité. Autant de détails qui ont leur importance quand il faut le porter de longues minutes, voire des heures, par 35°C ! Pour la Dr Anne Rimoin, "la façon dont vous respirez à travers un matériau est aussi importante que la façon dont il arrête" le virus. Il est certain qu'on ne va pas porter un masque très longtemps si on a du mal à respirer avec. A fortiori quand il fait chaud !
3. Hydratez-vous bien la peau Porter un masque quand il fait très chaud peut provoquer de petits boutons sur le visage. C'est une petite réaction courante. Ce n'est pas grave, mais ce n'est pas très esthétique. Pour éviter cela, il est conseillé de bien hydrater la peau de son visage. Vous pouvez ainsi utiliser une crème faite maison qui hydrate la peau en profondeur. Encore plus simple, utilisez du gel d'aloe vera dont les bienfaits pour la peau sont nombreux ! Il va hydrater et apaiser votre peau naturellement. En plus, sa texture de gel est très rafraîchissante quand il fait chaud ! Et si votre peau ne supporte pas le contact du masque quand il fait chaud, mettez un mouchoir sous un masque grand public.
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