Chasse aux trésors pour enfants à la ferme ' Djnane Hamid ' 07 Juin 2021 Sorties pour enfants
Permakidz, entreprise sociale et environnementale dédiée aux enfants organise le vendredi 11/06/2021, un après-midi spécial ou exploration découverte et jeu ne feront qu’un.
Permakids propose une chasse aux trésors sous le thème « Des Oiseaux et des Arbres », au niveau de la ferme « Djnane Hamid » au milieu des vergers de Meftah
Programme :
- Accueil des familles à 14h00 au niveau de « Djnane Hamid ».
- Visite guidée de la ferme
- jeux et quiz
- Gouter
- Chasse aux trésors
- Mhadjya (conte et histoire)
Et d’autres surprises vous y seront réservées
* évènement pour enfant à partir de 4 ans
Pour découvrir le programme de la sortie et reserver : 0792 21 21 61/0558 51 52 72.
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Besoin d'idées?d'un bon plan pour le Réveillon 2016???!!!
Ceci dit, un conseil ....n'attendez pas pour réserver, les bons plans sont dejà chez HAPPY TOURS qui vous propose cette fois encore un Réveillon Original pour acceuillir la nouvelle année comme il se doit :)
Voyage Organisé Tunisie , HAMMAMET
-- Hôtel MENARA 4****
-- 05 Jours/ 04 Nuits
-- Demi Pension " Petit Déjeuner + Diner "
-- Un Succulent Diner Gala pour la soirée du 31 /12/2015
-- Une Méga Soirée ou le thème FIESTA est conjugué en temps réel
-- Transport Par Bus De Tourisme, Doté d'un Haut Confort
-- Plusieurs Sorties Au Programme
***visite de la ville de sousse,
***Sortie en bateau pirate "EN OPTION"
***Sortie vers parc Friguia, spectacle des Dauphins "EN OPTION"
***Sortie vers le parc Carthage Land Hammamet yasmine "EN OPTION"
§§ Départ le : 28/12/2015 14h
§§ Arrivée a l’hôtel le : 29/12/2015
§§ Retour le : 02/01/2016
§§ Arrivée en Algérie le : 03/01/2016
AU PRIX DE 27 999 DA / PERSONNE
Info & Resa : 021 36 34 44 / 0557 26 83 13 / 0791 40 64 96
Nous restons a votre entière disposition pour plus de détails, réservation ou renseignements, n’hésitez pas a nous contacter
Les avis des partis de l’opposition sont partagés sur la proposition faite, hier, par le vice-ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, quant à l’application de l’article 102 de la Constitution pour faire partir le président Bouteflika. Si certains d’entre eux qualifient cela d’avancée tout en réclamant des mesures complémentaires, d’autres crient carrément au coup d’état.
RCD : “Un coup d’État contre le peuple”
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie a qualifié hier de “coup d’État” la suggestion du chef d’état-major des forces armées, Ahmed Gaïd Salah, d’appliquer l’article 102 de la Constitution pour dénouer la crise profonde qui secoue le pays. Pour cette formation, l’appel de Gaïd Salah, qui a jugé “nécessaire, voire impératif d’adopter une solution (…) stipulée dans la Constitution dans son article 102”, prend les relents d’un coup d’État. “Gaïd Salah tente un coup d’État contre la volonté populaire. Cet homme est partie prenante de nos malheurs, il ne peut aucunement être la solution”, souligne Yacine Aissiouane dans une déclaration publiée sur sa page facebook. Selon lui, le recours à l’article 102 vise à “sauver le régiment”. “Il ne s’agit plus pour eux de sauver le soldat Bouteflika, mais d’organiser le sauvetage du régiment.” “Ceux qui se sont rendus complices, par leur trahison légendaire, auront à répondre de leurs actes ignobles devant le tribunal de l’histoire. Ils veulent une passation de consignes à l’intérieur du même système”, soutient-il encore, avant de rappeler l’exigence du parti qui fait écho aux aspirations du peuple algérien qui manifeste en masse depuis le 22 février dernier. “Nous exigeons une transition démocratique qui pose les fondations de l’Algérie nouvelle”, rappelle-t-il. À noter que le président du parti, Mohcine Belabbas, organise, aujourd’hui mercredi, une conférence de presse au siège du parti à El-Biar.
K. K.
Soufiane Djilali, président de Jil Jadid : “C’est un acquis, mais ce n’est pas la fin du parcours”
Réagissant à la proposition du chef d’état-major, vice-ministre de la Défense nationale, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, a estimé qu’avec l’appel à l’application de l’article 102 de la Constitution, “nous sommes dans une nouvelle phase de la crise que nous vivons”. Il a rappelé que “les revendications du peuple étaient non au 5e mandat, pour le départ du système, mais aussi pour une Algérie libre et démocratique, soit une 2e République qui reconnaîtra la souveraineté du peuple”. “Le 5e mandat a été abandonné, le gouvernement d’Ouyahia est tombé, et de ce fait, les cercles du système sont tombés dans une crise. Aujourd’hui, c’est l’isolement du Président. C’est un pas, mais ce n’est pas la fin du parcours”, a encore dit M. Djilali, ajoutant que “les Algériens commencent à arracher des acquis” parce qu’ils “sont unis”. “La pression exercée sur le pouvoir commence à porter ses fruits”, a-t-il encore soutenu, indiquant qu’aujourd’hui, “nous sommes dans une nouvelle phase”. “Si la Constitution est appliquée à travers son article 102, c’est le président du Sénat qui prendra les rênes, avec le maintien du gouvernement et les institutions actuelles, et ils vont tenir des élections présidentielles sous leur houlette”, a dénoncé M. Djilali, estimant que ni le peuple et, encore moins, l’opposition n’accepteront cet état de fait. “Nous avançons pas à pas et nous devons maintenir la mobilisation et la pression sur le système”, appelle-t-il, soutenant que “vendredi sera un autre jour de mobilisation, donc soyons au rendez-vous pour assurer d’autres victoires”.
Mohamed Mouloudj
Hakim Belahcel, Premier secrétaire du FFS : “Un coup de force contre la volonté populaire”
Le tout nouveau premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), le Dr Hakim Belahcel, a qualifié l’appel lancé par le chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, à l’application de l’article 102 de la Constitution contre le président Bouteflika, de “grave atteinte à la dignité du citoyen” et de “coup de force contre la volonté populaire”. “C’est encore un coup de force contre la volonté populaire, sur la légitimité des revendications du peuple, à savoir le départ du système et de ses hommes, et pas seulement du chef de l’État”, dénonce le Dr Belahcel dans un communiqué. Et d’enchaîner : “L’option de l’application de l’article 102 de la Constitution n’est pas la solution demandée par le peuple algérien, l’armée vise à étouffer le mouvement populaire et à permettre au système de se pérenniser. L’article 102 ne répond plus aux revendications du peuple algérien, le peuple veut contrôler son destin, prendre en charge son avenir, un avenir de libertés, de justice sociale, de dignité.” Pour le premier secrétaire du FFS, la décision de Gaïd Salah est la preuve que “l’institution militaire ne s’est pas retirée du politique” et “s’ingère, encore une fois, dans le processus constitutionnel, et ne répond pas aux revendications du peuple algérien qui demande le changement du système, et non un changement dans le système”. Un changement qui, de l’avis du Dr Belahcel, “ne peut se faire en maintenant les instruments et les hommes qui incarnent le système”.
A. CHIH
Ali Benflis, président de Talaie el-Houriat : “Pour la satisfaction de toutes les revendications légitimes du peuple”
Premièrement, je saisis cette occasion pour saluer le peuple algérien dont la révolution pacifique a permis que souffle sur le pays le vent de la liberté et que l’Algérie prenne le chemin de l’édification d’une République démocratique et moderne et d’un État de droit respectueux de la souveraineté populaire, de la citoyenneté, des droits et des libertés. Deuxièmement, je retiens l’intention de l’ANP d’assumer son devoir patriotique en apportant sa contribution à une sortie de la crise actuelle, devenue d’une urgence extrême et de nature à épargner au pays une instabilité croissante porteuse de tous les dangers. Troisièmement, je prends note de l’engagement de l’ANP — selon sa propre déclaration — à apporter son soutien à un règlement “qui garantisse la satisfaction de toutes les revendications légitimes” du peuple algérien et “acceptable” pour tous. Quatrièmement, compte tenu de la situation exceptionnelle que vit notre pays, la mise en œuvre de l’article 102 de la Constitution n’est pas susceptible de constituer à elle seule une base — toute la base — pour le règlement de la crise. De ce point de vue, l’application de l’article 102 devra impérativement être adaptée de manière que soient respectées les conditions de transparence, de régularité et d’intégrité que le peuple réclame, afin de pouvoir exprimer son choix librement et sans contrainte et sans tutelle. Cinquièmement, je forme, de toutes mes forces, le vœu que le règlement de la crise actuelle fournira des bases saines et solides à la refondation future de notre système politique que notre peuple demande.
R. N.
Mouvement de la société pour la paix : “D’autres mesures doivent intervenir”
à l’issue de la réunion de son bureau exécutif, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a estimé que l’application de l’article 102 de la Constitution est une “proposition de solution”, mais celle-ci ne garantit pas “la réalisation des réformes, la transition politique et l’organisation d’un scrutin présidentiel honnête”. Pour la formation d’Abderrezak Makri, le rôle de l’Armée nationale doit être circonscrit à celui “d’accompagnateur, afin d’arriver à une solution politique et à un consensus national et de préserver le caractère civil de l’État”. Le MSP est d’avis que l’appel du chef de l’état-major de l’armée et vice-ministre de la Défense, Gaïd Salah, doit immédiatement être suivi de mesures qui répondraient aux autres revendications du peuple en prenant aussi en compte les propositions de sortie de crise de l’opposition, et ce, avant la confirmation de l’état d’empêchement par le Conseil constitutionnel. Le MSP cite la nomination d’un chef de gouvernement consensuel, la mise en place d’une commission indépendante d’organisations des élections, la révision de la loi électorale et l’élaboration et la promulgation de décrets garantissant l’indépendance de la justice, la protection des richesses nationales et l’ouverture du champ médiatique. En guise de pression pour atteindre ces objectifs, ce parti appelle à la poursuite de la contestation populaire, tout en préservant son caractère pacifique.
Nissa H.
Lakhdar Benkhellaf, député du FJD-El-Adala : “L’application du seul article 102 de la Constitution n’a pas de sens”
Le parti d’Abdallah Djaballah, le Front de la justice et du développement (FJD)-El-Adala, n’est pas satisfait de l’annonce faite hier par le chef d’état-major, Ahmed Gaïd Salah, appelant à l’application de l’article 102 de la Constitution visant à écarter le président Bouteflika du pouvoir. “C’est un non-sens. Nous ne sommes pas satisfaits car nous ne voulons pas qu’une personne, qui a géré et participé à l’exercice du pouvoir, puisse gérer la période de transition”, lance le député d’El-Adala, Lakhdar Benkhellaf. Pour lui, l’actuel président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, ne peut assurer l’intérim présidentiel pour deux raisons : la première est d’ordre juridique. “Le président de la 2e Chambre du Parlement n’a pu obtenir sa nationalité algérienne qu’en 1965.” La deuxième raison tient au fait que “le peuple refuse que les gens qui nous ont menés à l’impasse dans laquelle se trouve le pays aujourd’hui puissent gérer la période de transition”. La solution ? “Il faut appliquer les articles 102 et 07 de la Constitution qui donneront de larges prérogatives au peuple algérien pour choisir librement ses dirigeants”, propose M. Benkhellaf, qui a mis sur la table une autre proposition : la mise en place d’une instance constituée de personnalités propres pour gérer la période de transition.
source : Liberte-algerie.com
Dans cette équation à plusieurs inconnues, les parents jouent aux équilibristes pour rester dans leur budget et offrir à leurs enfants scolarisés des produits qui ne nuisent pas à leur santé. Oui, les temps ont changé, il faut regarder l’étiquette du produit avant d’acheter. Ces produits peuvent contenir des produits toxiques. C’est l’association de protection et orientation du consommateur et son environnement de la wilaya d’Alger (APOCE) qui tire la sonnette d’alarme sur le danger qui guette les enfants scolarisés à travers des produits ne répondant pas aux normes.
Le marché est inondé ces jours-ci avec des articles scolaires de différentes marques et provenances et à des prix défiant toute concurrence pour certains d’entre eux. C’est pourquoi l’APOCE met en garde les parents contre cette tentation de vouloir faire des économies en optant pour des articles pas chers et qui peuvent s’avérer dangereux pour la santé de leurs enfants. Des tabliers contenant des produits chimiques inflammables, des protège-cahiers comportant du plomb, des gommes et des pâtes à modeler ainsi que de la colle faits avec des produits toxiques ou des métaux lourds et des effaceurs qui peuvent provoquer des allergies. Voilà ce qui est exposé sur les étals à des prix très abordables mais qui peuvent avoir des conséquences graves sur la santé de l’enfant.
Le président de l’APOCE, Zebdi Mustapha, contacté hier, a expliqué qu’il y a des normes internationales à respecter et qui doivent être appliquées en Algérie afin d’éviter l’importation de produits non conformes. Il a ajouté que plusieurs parents se sont plaints à l’association à propos d’articles scolaires dangereux vendus sur le marché. L’association recommande de ce fait d’opter pour l’achat de produits de qualité dans des magasins contrôlés. M. Zebdi souligne dans ce sens que les articles scolaires doivent être soumis à des contrôles de laboratoires afin d’identifier la provenance du produit et s’il est nuisible ou non. Mais le plus grand problème demeure l’attribution des autorisations de commercialisation de ces produits, selon le président de l’APOCE, ce qui donne libre champ à l’introduction à travers les frontières de marchandises ne répondant pas aux normes au détriment de la santé des enfants.
Comme moyen de prévention, la direction de la santé d’Oran avait lancé l’année dernière une campagne de sensibilisation à travers la radio locale sur le danger de certains articles scolaires tels que la colle, les effaceurs, les crayons noirs, la pâte à modeler dont des composants chimiques étaient néfastes pour la santé. Quant à l’association, elle a mené une campagne de sensibilisation à travers les réseaux sociaux et estime que la meilleure prévention est entre les mains des parents qui doivent vérifier chaque article avant d’acheter et ne pas céder à la tentation des prix choc.
source : Lequotidien-oran.com
Pr Meriem Merad, immunologiste algérienne établie à New York sur la côte Est des Etats-Unis, sacrée, le 27 du mois d’avril 2020, membre de la prestigieuse académie des sciences d’Amérique, National Academy of Sciences (NAS).
Meriem Merad, professeur d’immunologie, chef de service du centre d’immunologie du cancer et directrice de l’institut d’immunologie à l’hôpital du Mont Sinaï de New York; vient d’être élue vers fin avril à la National Academy of Sciences (NAS).
La NAS, ou l’académie des sciences d’Amérique créée par le président Abraham Lincoln en 1863 en plein guerre civile américaine. Elle englobe aujourd’hui, en tout, 31 sections couvrant les sciences technologiques; l’engineering, la médecine et tant d’autres disciplines scientifiques.
Meriem a vu le jour à Alger en 1969 d’un père cardiologue, Pr Kheir Eddine Merad et d’une mère toxicologue Pr Rachida Chiali. Tous deux à la retraite. Elle a fait sa scolarité et sa médecine à Alger.
Après son concours de résidanat, elle a émigré vers l’Hexagone et a passé son internat là-bas avec franc succès à Paris; puis a obtenu son PhD d’immunologie de l’autre côté de l’Atlantique; à l’université de Stanford aux USA. Mariée, elle s’est installée à New York où elle a créé son laboratoire d’immuno-hémato-oncologie.
La chercheuse nouvellement élue à la NAS est détentrice de plusieurs brevets de traitements médicaux, elle a été honorée par des dizaines de prix (honors/awards) à travers le monde, elle est membre de nombreuses sociétés savantes et de comités de lecture de revues scientifiques de renom à l’exemple de Nature, Cell, Science, Immunology, etc. Elle dirige plusieurs essais cliniques en cours sur des molécules de biotechnologie et des vaccins.
Sur les pas de Yasmine Belkaid, déjà élue en 2019
L’académie ayant élu Meriem Merad honore les chercheurs du monde entier; sans distinction aucune en rapport avec des considérations d’appartenance à telle ou telle nationalité; qui font avancer les connaissances, et font propulser vers l’avant le savoir humain. Cette année, 2020 en l’occurrence, 120 scientifiques ont été élus dont une vingtaine complètement en dehors du territoire des Etats-Unis.
Il convient de rappeler que l’année 2019, avait été témoin de la consécration d’une chercheuse et scientifique Algérienne Yasmine Belkaid; spécialiste en biologie, qui avait fait sa graduation à l’USTHB de Bab Ezzouar; dans la banlieu Est d’Alger, membre de l’académie des sciences d’Amérique.
Pareilles distinctions de chercheuses talentueuses reconnues dans les milieux scientifiques internationaux, honorent la femme algérienne qui, en cas de désinhibition; explose son potentiel et accomplit des merveilles rendant l’Algérie fière de l’avoir enfantée. Cela enthousiasment les réseaux sociaux et les médias nationaux qui relaient l’heureuse nouvelle.
dzairdaily.com
Article associé : L'EXPOSITION : LE COSTUME NUPTIAL EN ALGERIE
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.