Flan pâtissier aux abricots moelleux 30 Juin 2021 Minceur
Ingrédients / pour 6 personnes
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100 g d'abricots moelleux
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150 g de sucre en poudre ou sucre de fructose
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1 litre de lait entier
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6 oeufs
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1 gousse de vanille
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4 cuillère à soupe de fécule
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Fendre la gousse de vanille en deux. Dans une casserole verser le lait, ajouter la vanille. Porter à ébullition, puis retirer du feu. Laisser infuser la vanille. Dans un saladier battre les oeufs et le sucre, au fouet électrique pendant 4 min.
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Ajouter la fécule et le lait bouillant, sans cesser de remuer. Retirer la gousse de vanille et verser le tout dans une casserole. Porter à ébullition et prolonger la cuisson en remuant avec un fouet à main, le flan va s'épaissir, retirer.
Pour finir
Beurrer un moule à gâteau. Verser la préparation puis ajouter les abricots. Mettre au four à 180°c pendant 30 minutes. Le dessus va croûter. Retirer du four. Laisser refroidir, puis mettre au frais 4 heures ou mieux toute la nuit.
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Elle interviendra en janvier 2015, Augmentation du snmg : qui sera concerné ?
L’abrogation du 87 bis, qui induira la hausse des salaires de centaines de milliers de travailleurs à partir de janvier prochain, constitue un retour à l’avant-ajustement structurel.
On le sait aujourd’hui, les injonctions du FMI sont à l’origine de la réduction des salaires des smicards via l’institution en 1997 de l’article 87 bis. Sa suppression prévue par la loi de finances 2015 a été tardive.
On a mis plus de dix ans pour y remédier en dépit de l’aisance financière des années 2000. Le tassement des salaires a donc longtemps duré. Mais en mettant fin à cette injustice sociale, on n’aura pas pour autant réglé le problème de la cohérence de la grille des salaires de la Fonction publique où le nivellement par le bas est consacré. En effet, la grande majorité des fonctionnaires touchent des salaires de misère. Un effet d’un système salarial et d’une économie guère orientée fondamentalement sur la productivité et la performance.
D’abord, l’abrogation du 87 bis ouvre un chantier, des négociations âpres pour redéfinir le SNMG, déterminer les primes et indemnités entre le gouvernement, l’UGTA et le patronat. Tous les chiffres étalés sur la presse sur le niveau de la hausse des salaires, son champ d’application et son impact financier restent des supputations. Tant qu’un accord global n’est pas trouvé entre les trois parties. L’automne 2015 sera donc une saison chaude en Algérie.
En ce sens, différents experts et plusieurs représentants du patronat appellent à une réflexion globale. En un mot, il convient de ne pas limiter le débat à uniquement une redéfinition du SNMG, à une hausse des salaires des travailleurs. Mais à une politique des ressources humaines qui placent la formation continue, le mérite, la compétence, la productivité au centre de l’évolution des carrières. L’Algérie récoltera les fruits de cette orientation par un meilleur niveau de croissance, un rythme soutenu d’investissements et une meilleure qualité de services.
On servirait alors dans notre pays des salaires décents à la grande majorité des travailleurs. Tout cela invite à repenser la grille des salaires de la Fonction publique en liant les rémunérations aux résultats individuels et collectifs à travers des objectifs de performance mesurables. Pour le secteur économique, les salaires, primes et indemnités devraient être le fruit de négociations entre l’employeur et le syndicat d’entreprise. Mais là également pour garantir l’essor des entreprises et partant du développement du pays, le calcul du salaire devrait être lié à la performance individuelle et à la réalisation des objectifs. L’évolution de carrière devrait être rapide pour favoriser l’émulation, la motivation et le sens de l’initiative. Au final, les pays et les entreprises qui appliquent ces politiques réalisent les meilleurs résultats.
L’Algérie, à l’exception de quelques grandes entreprises, une minorité de PME, et une partie des compagnies étrangères qui y sont implantées, est loin de ces pratiques de gestion performante des ressources humaines. La hausse des salaires induite par l’abrogation du 87 bis touchera à partir de janvier prochain une grande partie des fonctionnaires. L’UGTA estime l’augmentation entre 5 et 10%. Plus précisément, le relèvement des rémunérations ne concernera pas les hauts salaires. Elle bénéficiera aux fonctionnaires qui sont classés dans les basses catégories et qui touchent moins ou autour de 18 000 dinars.
En d’autres termes, l’augmentation des salaires de janvier prochain touchera les salariés sans qualifications professionnelles (femmes de ménage, appariteurs et autres simples agents). Ils sont au nombre de 500 000 dans la Fonction publique à toucher moins 18 000 dinars net par mois. Ils sont près d’ 1 million de fonctionnaires au total à bénéficier de la mesure dans un scénario minimaliste. Ils seront beaucoup moins nombreux à bénéficier de la mesure dans les entreprises publiques ou privées du secteur économique. Mais l’UGTA, pour ne pas ajouter de nouvelles incohérences dans la grille des salaires de la Fonction publique, veut pousser les pouvoirs publics à généraliser la hausse des salaires à des catégories supérieures pour éviter qu’un smicard et un travailleur dans une catégorie supérieure aient le même salaire. C’est ce qu’on appelle l’effet domino.
Appliqué aux tranches supérieures, ce principe pourrait justifier les 2 400 milliards de dinars ou les 4 à 5 milliards de dollars correspondant à l’impact financier d’une telle mesure estimée respectivement par l’UGTA et l’organisation patronale CGEA. Du coup, on pourrait parvenir à un chiffre de 2 millions de fonctionnaires touchés par la mesure. Mais le gouvernement pourra brandir comme argument pour s’y opposer le lourd impact financier que devra supporter le budget de l’État.
Ces questions feront l’objet sans doute l’objet d’âpres négociations entre le gouvernement, l’UGTA et le patronat lors de la prochaine tripartite prévue le 18 septembre prochain. Réunion qui portera essentiellement sur la redéfinition du SNMG. En ce sens, l’un des meilleurs spécialistes algériens du dossier salaires, l’ancien haut fonctionnaire de l’État, Rachid Hadj Lazib, contacté, souligne qu’ à ce stade personne ne peut dire aujourd’hui combien sera la hausse des salaires, combien de fonctionnaires seront touchés et quel sera de façon précise l’impact financier d’une telle mesure. Tout cela fera l’objet de négociations entre le gouvernement, l’UGTA et le patronat. Tant qu’un accord n’est pas encore trouvé entre les trois parties, on ne peut répondre aujourd’hui de manière précise à ces interrogations. Même topo pour l’effet domino.
Dans la foulée, l’ancien haut fonctionnaire relève une aberration. Le projet de texte de loi qui accompagne l’abrogation de l’article 87 bis stipule que les primes et indemnités seront fixées par voie réglementaire. Allusion notamment aux primes d’ancienneté, de nuisance, de travail posté. Si pour la Fonction publique, l’État est en droit de fixer le montant du SNMG et les primes et indemnités après négociations avec les représentants syndicaux et le patronat, en revanche, il est aberrant qu’il fixe les primes et indemnités pour le secteur économique. Depuis les réformes, l’État ne fixe plus les salaires du secteur économique, d’autant moins les primes et indemnités des entreprises publiques et privées.
Or, le projet de texte de loi laisse entendre que les primes et indemnités du secteur économique seront fixées par l’État. Insensé selon lui. Tout simplement parce que la détermination du salaire ainsi que les primes et indemnités dans le secteur économique relève de négociations entre l’employeur et le syndicat d’entreprise. Supposez qu’une entreprise soit en difficulté financière, pour éviter les licenciements ou empêcher sa fermeture, un accord peut être trouvé entre la direction et le syndicat d’entreprise pour réduire les salaires ou supprimer certaines primes afin de sauver la société. Dans la mouture actuelle du projet de loi, l’entreprise précitée n’a pas d’autre choix que de fermer ou de voir sa situation financière se détériorer.
K. R.
Le SNMG dans l’actuel code du travail
Le Salaire national minimum garanti (SNMG) applicable dans les secteurs d’activité est fixé par décret, après consultation des associations syndicales de travailleurs et d’employeurs les plus représentatives. Pour la détermination du SNMG, il est tenu compte de l’évolution de la productivité moyenne nationale enregistrée, de l’indice des prix à la consommation, de la conjonction économique générale. Art. 87 bis : le salaire national minimum garanti, prévu à l’article 87, comprend le salaire de base, les indemnités et primes de toute nature à l’exclusion des indemnités versées au titre de remboursement de frais engagés par le travailleur.
source : journal liberté
Toilettes publiques : on y pense enfin ! Elles seront installées dans toutes les villes
Par : journal liberté
Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales qui effectuait, hier, une visite marathon dans la wilaya d’Oran pour superviser plusieurs projets relevant de différents secteurs, a insisté, lors d’une conférence de presse, sur la nécessité de doter les villes algériennes de toilettes publiques. Pour lui, “il est inconcevable que les grandes villes ne soient pas dotées de toilettes publiques”.
À cet effet, il a demandé au wali d’Oran de lancer un projet de construction de 70 toilettes publiques dans la wilaya d’Oran, laissant entendre qu’une pareille opération devrait toucher toutes les autres villes du pays. Le ministre, qui a soulevé ainsi ce qui est vécu comme “un vrai problème national” par les Algériens et qui n’a que trop duré, a évoqué également l’échéance de la généralisation du passeport biométrique attendue depuis longtemps. Tayeb Belaïz s’est empressé d’annoncer, d’ailleurs lors du point de presse, que la date fixée initialement pour novembre 2015, sera finalement avancée, au plus tard, au mois de mai 2015. Cette annonce a été suivie d’une précision quant à l’augmentation du prix du timbre fiscal du passeport qui devrait passer de 2 000 DA à 10 000 DA, sauf en cas de rejet du projet par les parlementaires puisque ce nouveau tarif a été déjà entériné par le gouvernement. Pour Tayeb Belaïz, cette somme n’est pas élevée, précisant que 10 000 DA, “ce n’est rien, quand on sait que dorénavant le passeport a une validité de 10 ans. Les citoyens doivent aussi s’habituer à participer à renflouer les caisses du Trésor public”.
Ensuite, le ministre d’État se livrera à un discours sur les nouvelles priorités de son département ministériel relatives aux collectivités locales et au développement local, évoquant à cet effet le nouvel organigramme qui prévoit la création d’une direction générale du développement local. En enjoignant les élus et les walis à agir pour répondre aux besoins des citoyens, notamment au niveau des APC, le ministre évoquera la mise en place d’un fonds de soutien pour voler au secours des APC en difficulté. Ce fonds sera doté de 100 milliards de dinars, pour renforcer celles ayant des difficultés financières ou celles ayant des recettes limitées.
Tayeb Belaïz fera le bilan de la visite l’ayant mené à découvrir plusieurs projets dans la ville d’Oran. C’est surtout au quartier populaire les Planteurs que le ministre se verra confronté à la réalité du vécu des citoyens, qui n’ont pas manqué de l’interpeller sur l’opération de relogement qui est toujours en cours. En effet, les Planteurs ont bénéficié d’un programme spécial de 11 000 logements qui est appliqué en plusieurs phases. On sait que la population des Planteurs est de 20 000... L’équation est simple, d’où les nombreuses réclamations et mécontentements qui lui ont été signifiés bruyamment sur place, avec un cordon sécuritaire très vigilant intervenant rapidement pour bloquer les rares habitants qui réussissent à franchir les barrières de sécurité.
À cet instant, le ministre de l’Intérieur fera face aux citoyens, qui dénoncent la lenteur des relogements et comme souvent l’absence de transparence dans la confection des listes des bénéficiaires. À ce propos, Belaïz annoncera le relogement de 500 familles d’ici à octobre 2015, dans l’attente de l’achèvement de 4 000 autres logements. Tayeb Belaïz fera ensuite une halte dans une ferme, une exploitation d’élevage de bovins à l’est d’Oran, Ben Freha, où un point sur l’épidémie de la fièvre aphteuse dans la wilaya (deux foyers signalés jusqu’ici) lui a été présenté.
Là, le ministre constatera de la part d’une vétérinaire qu’à l’heure actuelle, aucune assurance ne pouvait lui être donnée sur la maîtrise de l’épidémie en raison de la nature d’élevages rustiques, notamment des troupeaux vivant en liberté sur les hauteurs et qui ne sont pas contrôlables. Il est à noter, enfin, que le ministre évitera de répondre à une question relative à l’enquête enclenchée sur la mort du joueur camerounais, Albert Ebossé.
le site brick Brac organise : La St-Valentin approche et vous êtes toujours aussi seul(e) ? Vous n'avez pas le temps de rencontrer des personnes intéressantes ? On vous donne l'occasion de respirer de l'air frais, et de casser la croûte avec d'autres célibataires. Mais point de pression de résultats à l'horizon, juste un bon moment à passer dans une ambiance bon enfant.Des jeux pour briser la glace seront proposés.Notez que chaque participant(e) aura à ramener son déjeuner
Samedi 13 février 2016 de 11:00 à 15:00
Parc Dounia, Alger Dely Ibrahim
pour plus d'info : https://www.facebook.com/BrkBrac/photos/gm.170377086666806/1031593496897772/?type=3&theater
Les services météorologiques mettent en garde sur une éventuelle vague de chaleur qui s’annonce sur les wilaya de l’est et du centre algérien avec un pic de 40 degré Celsius, jeudi et vendredi prochains.
En effet, selon les même rapports, les wilayas les plus susceptibles à subir cette canicule sont Constantine, M’Sila, Mila et Souk Ahras, mais d’autres wilayas du centre-est peuvent être touchées, à l’instar de Tizi Ouzou, Béjaia, BBA
et Sétif. les wilayas du Sud connaîtront également une hausse atteignant les 45°.
Kabylie-news.com
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