
ALGER - Des artistes et travailleurs de la Santé bénévoles ont lancé une initiative de bienfaisance pour contribuer à l'opération de prise en charge psychologique des personnes traumatisées par les incendies de forêts, les enfants notamment, dans différentes wilayas du pays.
L'initiative consiste en la collecte de dons de fournitures et matériel de dessin, ainsi que de jouets pour enfants, explique, le sculpteur sur métal, Abdelghani Chebbouche, un des organisateurs de cette action de solidarité, ajoutant qu'un appel est lancé aux artistes de toutes les disciplines (dessin, musique, danse, théâtre ...) pour participer à cet effort de reconstruction, à travers la prise en charge de ces enfants dans des ateliers d'art thérapie.
Le but d'une telle initiative est d'"apporter une aide psychologique, aux enfants notamment, afin d'exorciser les traumatismes causés par les incendies de forêts et reconstruire à nouveau les régions sinistrées", poursuit le sculpteur, qui encourage la "généralisation de cette initiative, avec d'autres bénévoles, à travers toutes les wilayas touchées par ces incendies.
L'artiste a également appelé les psychologues à rejoindre cette initiative, ajoutant que ce genre d'opération est d'"une importance capitale à court et long termes".
Les modalités de participations, de collecte des dons et les détails de cette initiative sont disponibles sur les pages des réseaux sociaux de Abdelghani Chebbouche ou sur la page "MakeAlgeriaGreenCleanAgain". aps

les automobilistes sont appelés à redoubler d’attention lorsqu’ils verrouillent leur véhicule. Des brouilleurs à seulement 60 euros permettent d'empêcher la fermeture des portes.
La technique est un jeu d'enfant bien connu. Il suffit aux malfaiteurs de guetter un automobiliste et d’activer le brouilleur d’onde radio lorsque celui-ci sort de son véhicule et presse le bouton de verrouillage des portes sur sa télécommande. Croyant son véhicule verrouillé, le propriétaire laisse alors la champ libre aux voleurs qui n’ont plus qu’à s’y introduire pour piller son contenu. Ou pire encore, pour la voler s'ils sont équipés d'un programmateur de cartes et de clés vierges.
Des brouilleurs trop faciles d’accès et pas chers
Ces brouilleurs sont très facilement accessibles sur la toile. De nombreux sites asiatiques en proposent même si, il est vrai, les délais de livraison à rallonge et le risque potentiel d’un contrôle des douanes dissuadent les intéressés.
On trouve également ces brouilleurs (qui peuvent d'ailleurs prendre la forme d'une clé de voiture plus classique) en vente libre sur des sites britanniques qui n'hésitent pas à mettre en place des offres promotionnelles conséquentes. Comptez ainsi une soixantaine d'euros seulement pour un brouilleur standard. Les autorités françaises s’inquiètent également de la prolifération de brouilleurs en région parisienne et dans plusieurs autres grandes villes du pays.
Comment lutter ?
Il est toutefois assez simple d'éviter de se faire avoir. Tout d’abord, il suffit de rester à proximité de la voiture pour s’assurer qu’elle est correctement verrouillée. Par ailleurs, un simple coup d’œil sur les clignotants suffit généralement pour vérifier que la voiture a bien reçu la commande de fermeture. Si un brouilleur actif est à proximité, rien ne se passe au niveau des clignotants.
Notons qu'un changement de technologie est également en cours du côté des constructeurs automobiles, certains ayant modifié le fonctionnement des clés dites « sans contact ». Auparavant, ces clés qu’on gardait dans la poche (ou dans un sac) activaient le verrouillage des portes automatiquement, sitôt que le porteur s’éloignait du véhicule. A l’inverse, elles l'ouvraient à son approche. Le souci est que la distance, parfois trop importante, laissait alors le temps à un voleur de s’y installer. Ainsi, l’essai de la Volkswagen Passat SW, la clé peut toujours rester dans la poche, mais il faut apposer la main sur une zone spécifique de la poignée pour verrouiller ou ouvrir les portes. Plus pénible, mais aussi plus sûr.
Ce qu’on peut craindre
Ce phénomène pourrait prendre une autre tournure. Si les brouilleurs utilisés sur les voitures peuvent visiblement neutraliser les fréquences radio comprises entre 315 et 433 MHz (sur une portée de 30 à 50 mètres), on peut craindre que des boîtiers similaires existent pour pirater nos télécommandes de portails électriques ou encore de volets roulants. De quoi relativiser le discours très rassurant des fabricants de matériel de sécurité pour la maison.
source : radioalgerie.dz
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Le petit Abderrahim Grine, 2 ans et demi, dont le corps décomposé et déchiqueté a été découvert vendredi dernier à Djermane, à 7 km à l’est d’El Eulma, dans la wilaya de Sétif a été tué par son propre père en instance de divorce avec sa femme.
Selon les correspondants locaux des journaux, le père, sur lequel pesaient de très forts soupçons, a avoué avoir « égorgé » son fils et abandonné son corps dans la forêt par vengeance à l’égard de sa femme.
L’homme, indique Ennahar, a été emmené sur les lieux du crime pour une reconstitution où il aurait avoué avoir égorgé de « sang-froid » son fils avec un couteau. L’accusé a indiqué où il avait caché l’arme du crime.
L’affaire qui a suscité une vive émotion et un grand malaise à El Eulma : un père qui tue un enfant pour un différend avec sa mère est une situation qui choque particulièrement.
Selon les informations publiées dans les journaux, le couple, marié en 2011, a connu rapidement des difficultés, l’épouse ne supportant pas de vivre avec la famille de son époux.
Un scénario qui relève du « classique » des cas de divorces en Algérie qui heureusement ne se terminent pas de façon aussi sinistre. Le couple était en instance de divorce et devaient, normalement, assister à une séance de « conciliation » mais l’homme ne s’est pas présenté.
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Développer une plateforme qui capitalise les cours, sujets et exercices des différents cursus universitaires en Algérie, est l’idée de quatre étudiants, qui ont créé le site khbich.com. Lancée en 2017, cette plateforme, accessible à tous les étudiants algériens, compte aujourd’hui plus 7.000 utilisateurs.
Anis Souames est l’initiateur du site khbich.com. Il est étudiant en deuxième année à l’École Polytechnique. Il a lancé son site en avril 2017. Un an plus tard le site est amélioré grâce à une collaboration. En septembre 2018, la nouvelle version est mise en ligne, et génère plus de 70.000 pages vues dès le lancement.
“L’idée de khbich est née d’un constant, dès ma première année à la fac je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup de documentation partagée sur les réseaux sociaux par les étudiants de l’école Polytechnique mais qui était éparpillé et difficile à la retrouver après un certain temps. J’ai donc créé khbich qui rassemble toute cette documentation et je l’ai organisé de telle manière pour une recherche rapide et efficace”, précise Anis Souames.
Dans la première version du site, il y avait les cours, exercices, et sujets des étudiants en première et deuxième année préparatoire de l’École Nationale Polytechnique, précise Anis. L’engouement des étudiants est tel que Anis avec l’aide de son camarade Larbi Abderahmane, décident d’améliorer la plateforme et élargir son contenu à plusieurs autres filières.
D’autres étudiants rejoignent Anis dans ce projet. Nedjma Ines Kherbi est la représentante du laboratoire d’idées “CreatiVum”, qui aide les étudiants à concrétiser leur projet créatif par le biais d’ateliers et formation. Islem Hammoutene, représentant de l’École Noether, et en collaboration avec le laboratoire d’idées, fournit au site Khbich des cours en vidéo qu’il dispense lui-même.
Dans sa nouvelle version, Khbich propose plus de 3500 cours, exercices et sujets en ligne. En accédant au site l’utilisateur trouve plusieurs filières : architecture, médecine, pharmacie, et bien d’autres spécialités. Il peut choisir sa spécialités et l’année universitaire pour une recherche optimisée. En plus des documents un espace est ouvert aux étudiants pour poser des questions autour. Anis souligne que plus de 2500 étudiants sont inscrits au site Khbich, l’utilisateur peut consulter le site sans s’inscrire mais n’aura pas accès à l’espace de discussions.
Il y a quelque jours, ces jeunes étudiants ont lancé l’application Khbich disponible sur android.
Pour l’équipe Khbich le point fort de cette plateforme est la disponibilité des cours de soutien en vidéo. Dispensée par l’étudiant Islem Hammoutene, cette nouvelle méthode d’apprentissage est selon l’équipe très efficace. “L’avantage est que Islem est aussi étudiant donc il sait identifier les soucis que rencontrent les étudiants et leur donne la meilleure méthode d’y remédier en s’inspirant de sa propre expérience” précise l’équipe de ce site.
Ils ajoutent que dans certaines filières les cours diffèrent d’une université à une autre, la disponibilité de ses cours permet aux étudiants de voir ce qui se fait ailleurs.
Aujourd’hui le site Khbich est consulté par des étudiants de tout le territoire national. Une forte consultation des étudiants du sud du pays ravit cette équipe de jeunes.
Ensemble ils aspirent à donner un nouvel élan dans un avenir proche à leur projet. Ces étudiants comptent apporter de l’accompagnement à travers les formations en ligne, les stages et même apporter des informations sur les bourses à l’étranger.
huffpostmaghreb.com
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Une vaste opération d’éradication des parkings sauvages a été lancée depuis quelques jours dans plusieurs quartiers de la capitale, sur instruction du parquet.
A Alger-Centre, Bir Mourad Raïs, El Harrach, Aïn Naâdja, Belouizdad, Zéralda, Bab El Oued ont été totalement nettoyés des gardiens autoproclamés au grand bonheur des automobilistes qui stationnent leurs véhicules en toute quiétude, sans payer un centime. En outre, des gardiens de parkings sauvages ont été présentés devant le procureur de la République de Sidi M’hamed qui a décidé, dans une première audience, de lancer des mises en garde pour ne plus pratiquer cette activité illégale, tout en les informant des risques d’emprisonnement en cas de récidive.
Selon une source judiciaire, pas moins de 186 gardiens ont été interpellés et présentés dont 9 ont été placés sous mandat de dépôt pour squat d’un lieu public et détention d’armes blanches. D’autres ont été interpellés pour détention de psychotropes. Toutefois, certains gardiens ont présenté des autorisations, signées par le P/APC d’Alger-Centre, d’exercer cette activité. « Je suis père de famille, et c’est mon seul revenu et selon le juge, cette autorisation n’est pas valable. Comment vais-je nourrir mes enfants ? », lance le gardien du parking de la rue de la Liberté, à Alger-Centre. Dans la commune d’El Mouradia, les gardiens des parkings sauvages travaillent aujourd’hui dans un cadre légal. « On a déposé des dossiers au niveau de la commune et notre situation a été réglée après enquête de la police. Nous travaillons comme gardiens identifiés avec des gilets et des tickets », a indiqué un jeune. La lutte contre les parkings sauvages a été l’une des directives du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Nouredine Bedoui, jeudi dernier, lors de la cérémonie d’installation des nouveaux walis délégués de la capitale. Bedoui a affirmé que la lutte contre les parkings sauvages au niveau de la wilaya d’Alger sera l’un des grands chantiers de son département.
Le phénomène a pris une tournure dangereuse notamment avec le recours des « gardiens » aux armes blanches pour imposer leur diktat. Des rixes sont signalées dans plusieurs quartiers, dont la dernière à Chéraga entre des gardiens et des habitants du quartier de la cité des 250 logements. Bilan : trois citoyens gravement blessés par arme blanche. Du côté des services de sécurité, on apprend qu’une opération de recensement des parkings a été lancée depuis plusieurs semaines.
source : horizon
crédit photo : tsa-algerie.com
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Voile et turban admis sur les terrains de football :
L’International Football Association Board fait le saut
Par : journal liberté
Le port du voile et du turban dans le football a été officiellement approuvé par l'Ifab (International Football Association Board), l'organe international garant des lois du foot.
Cette décision intervient après vingt mois d'essai. Des footballeuses musulmanes portant le niqab, où jambes, bras, cou, cheveux et pourtour du visage recouverts, ont joué la tête couverte avec des survêtements. La levée de l’interdiction du fichu sur la tête a été exigée par la Confédération asiatique de foot.
Pour le turban, c’est à la demande de la communauté sikhe canadienne. Pour le SG de la Fifa, Jérôme Valcke, c'est l'aspect sportif qui a primé sur le débat autour du symbole religieux. En Italie, la fédération (FIGC) a anticipé la décision de l'Ifab en donnant récemment l'autorisation à une arbitre femme d'officier avec le voile, et à un homme de siffler avec un turban.
source image : directinfo.com
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