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La SIH a mis brutalement fin à son contrat de location : Un centre d’équithérapie pour autistes menacé d’expulsion au Parc de Ben Aknoun
C’est une association qui s’appelle El Amel, et elle porte bien son nom, «L’espoir», elle qui a su admirablement rendre l’espoir et le sourire à des centaines d’enfants et à leurs parents. Des enfants autistes et trisomiques, principalement.
Son secret ? Le cheval. Oui, car dans sa démarche thérapeutique, El Amel (appelée aussi «Club espoir») innove en introduisant ce qu’on appelle «l’équithérapie», le cheval se révélant un «excellent médiateur», comme l’explique Mériama Benoufella, psychologue et présidente de l’association. Créée en 2010, l’association El Amel a pris ses quartiers dès 2012 au Parc zoologique et de loisirs de Ben Aknoun, qui dépendait à l’époque du ministère de l’Agriculture avant de passer sous la coupe de la Société d’investissement hôtelier (SIH), qui a été longtemps dirigée par Hamid Melzi, aujourd’hui en détention pour des affaires liées à sa gestion. L’association s’occupe à l’heure actuelle de «200 enfants, dont 60% d’autistes, les autres étant trisomiques», indique sa présidente. Elle dispose de 30 chevaux, érigeant le centre El Amel de Ben Aknoun en une véritable «ferme thérapeutique», selon la formule de Mme Benoufella. Depuis sa création, plus de 2000 enfants ont bénéficié de ses activités équestres, notamment en termes d’équithérapie.
Mise en demeure
Problème : depuis quelques semaines, l’association est en proie à de grandes difficultés en raison d’un contentieux qui l’oppose au nouveau gestionnaire du parc, en l’occurrence la SIH. «Nous avons reçu une mise en demeure de la part de la SIH qui gère le parc, nous obligeant à libérer les lieux dans un délai de 90 jours», déplore Mériama Benoufella, jointe par téléphone. Mériama est persuadée que le but de cette expulsion est de «réaliser une opération commerciale» avec les locaux du centre équestre, une fois libérés. «C’est de la hogra, c’est injuste !» s’indigne la psychologue.
Pour rappel, la Société d’investissement hôtelier a hérité de la gestion du parc de Ben Aknoun, qui s’étale sur 309 hectares, en janvier 2018. Lors d’une conférence de presse organisée le 8 avril 2018, Hamid Melzi avait dévoilé un plan de modernisation très ambitieux pour un montant de 59 milliards de dinars. Le parc, qui comptait jusqu’à une date récente, selon lui, 117 concessionnaires, devait laisser la place à une douzaine de projets d’envergure. L’opération de rénovation prévoit l’aménagement d’un terrain de golf de 18 trous, des centres de loisirs, des restaurants, sans compter une reconfiguration totale du zoo et du parc d’attractions. L’ex-patron de la résidence d’Etat de Club des Pins ne faisait pas mystère de son ambition de transformer le parc en une réplique (ou ersatz, c’est selon) de Disneyland et annonçait même, dans la même conférence de presse, l’arrivée imminente d’une délégation américaine pour discuter du projet.
Le 30 avril dernier, Hamid Melzi est arrêté et placé en détention provisoire. Mais le projet de «disneylandisation» du parc est visiblement maintenu. L’association El Amel l’a en tout cas appris à ses dépens en recevant cet avis d’expulsion. La mise en demeure est datée exactement du 25 juin. La raison évoquée par la SIH est le «non-respect de la surface autorisée à l’exploitation». «Il s’est avéré, selon un rapport d’expertise, que vous exploitez une superficie beaucoup plus grande que la surface convenue dans le contrat», peut-on lire dans le courrier adressé à l’association.
«C’est une ferme thérapeutique»
Le 28 juillet, El Amel répondait en insistant sur le fait qu’elle a toujours «respecté ses engagements contractuels». S’agissant des griefs formulés, l’association soutient qu’elle «n’a jamais transgressé les limites d’aucune surface» et qu’elle n’a «occupé et exploité que les espaces qui lui ont été alloués». Elle affirme par ailleurs qu’elle «n’a jamais reçu la visite d’un quelconque expert alors qu’elle est présente en permanence sur les lieux, à moins que cela n’ait été fait par l’ex-responsable de votre structure de façon illégale». L’association termine en précisant que «la rupture du contrat qui nous lie est du ressort de la justice».
Au téléphone, la présidente de l’association El Amel est pleine de détermination. «Nous avons créé une cellule de crise avec les parents», dit-elle. Mériama Benoufella compte beaucoup, en effet, sur le soutien des familles dont les enfants sont inscrits au centre. «Ils ont proposé d’organiser des sit-in devant la direction du parc et le Premier ministère», glisse-t-elle. Sur la page Facebook de l’association (www.facebook.com/csaespoir/), les messages de solidarité pleuvent. Le centre d’équithérapie n’entend pas en rester là et a l’intention de saisir toutes les autorités concernées : Premier ministère (dont dépend la SIH), ministères de la Solidarité, de la Santé, de l’Agriculture… «De tous les concessionnaires du parc, nous sommes les plus réglos. On est en règle à tous les niveaux : paiement du loyer, respect des horaires, superficie, eau, électricité, normes de sécurité…» plaide Mériama, avant de faire remarquer : «Nous sommes la seule structure à but humanitaire», en parlant des établissements hébergés par le parc. La psychologue avance un autre argument-clé qui plaide pour l’association : elle est l’une des rares, pour ne pas dire la seule, à appliquer l’équithérapie à l’attention des enfants autistes. A ce titre, le cheval occupe une place centrale dans l’activité du centre, et il n’existe pas beaucoup de lieux adaptés qui pourraient l’accueillir. «C’est une ferme thérapeutique, les chevaux ne sont pas à moi. Où est-ce que je vais les mettre ?» se demande Mériama Benoufella.
Pétition
Une pétition a été lancée, en outre, pour alerter l’opinion au sujet de ces pressions et faire réagir les pouvoirs publics. «Notre association El Amel, basée au cœur du parc zoologique de Ben Aknoun, œuvre depuis de nombreuses années pour offrir un lieu et une activité uniques aux enfants souffrant d’autisme en Algérie : l’équithérapie. Le contact avec le cheval apaise l’enfant autiste et lui permet de faire d’incroyables progrès. Plus de 2000 enfants autistes, venus des quatre coins de l’Algérie, ont bénéficié de cette activité. De nombreux parents se sacrifient pour venir à Alger et offrir ce moment unique à leur enfant en souffrance», souligne la pétition. Et de poursuivre : «Nous sommes abasourdis de recevoir une mise en demeure de la direction du parc, via la SIH (Société d’investissement hôtelier) qui nous oblige à quitter les lieux dans un délai de 90 jours ! Les dirigeants souhaitent transformer notre activité caritative en un espace commercial et s’approprier notre lieu ! Notre association est indépendante et ne vit que des adhésions de nos membres et de donateurs sensibles à cette cause. Nous ne bénéficions d’aucune subvention, pour maintenir notre indépendance.»
La pétition termine par cet appel du cœur : «Nous devons tous nous mobiliser pour que cette mise en demeure et cette décision catastrophique cessent immédiatement ! Nous devons tous nous mobiliser pour préserver notre association El Amel pour le bien-être des enfants autistes et de leurs parents ! L’autisme est l’affaire de tous ! Non à cette mise en demeure ! Non à cette décision arbitraire ! Non à ce pillage annoncé ! Oui pour la préservation du Club El Amel et de ses activités d’équithérapie pour les enfants autistes !»
El watan
Le geste du recteur de l’université de Souk-Ahras : Il s’attable et partage le repas de ses étudiants
Par : journal liberté
À la grande satisfaction des étudiants de l’université Mohamed-Chérif-Messaâdia de Souk-Ahras, le professeur Zoubir Bouzebda, premier responsable de cette institution, prend quotidiennement ses repas à la cantine. Une manière de se rapprocher des préoccupations des étudiants et de veiller, par la même occasion, à la bonne marche des services de restauration. Un geste apprécié à sa juste valeur par la communauté estudiantine de Souk-Ahras.
La récupération et le Vintage sont redevenus tendance, nos déchets ménagers à défaut d’être réduits, ils peuvent être triés et réutilisés autrement…dans certains autres pays du monde, ils sont perçus comme de nouvelles ressources, voire de véritables mines d’or.
Et tous les jours, des petites entreprises qui en font leur matière première, naissent un peu partout sur le Globe !
Il est vrai que ça nécessite un peu d’effort, et un peu plus de temps, mais quand on évalue les gains, pour nous, pour de jeunes entrepreneurs, ou pour la planète…surtout en matière d’écologie et d’économie…
On se demande pourquoi on n’a pas encore adopté cette vision des choses, plus que claire et évidente…
Marc de café, épluchures et restes de nourriture ? Qu’est-ce qui nous empêche de les composter ?
Plastique, verre, papier, métal, bois, sont récupérables, et réutilisables…si c’est pas nous, d’autres organismes peuvent s’en occuper, donc qu’est-ce qui nous empêche de trier et recycler ?
Ces questions vous intéressent, vous voulez faire partie de la solution plutôt que du problème, alors cette table ronde est pour vous !
RDV à la Pharmacie Redjati : Hai El Yasmine Bir El-djir Oran
Evénement organisé par le blog écologique Carnet d'exploration
Dans le cadre de l’événement de vivatechnology paris, « ALGERIA DIGITAL CLUSTER » a organisé le Mardi 21/06/2016 l’événement « VIVATECH ALGERIA INITIATIVE » Sous le haut patronage de Monsieur Abdeslam Bouchouareb, Ministre de l’Industrie et des Mines, qui a pour unique but faire participer 10 startups algériennes à fort potentiel de développement à l’évènement mondial www.VIVATECHNOLOGYPARIS.com qui aura lieu du 30 juin au 2 juillet à Paris.
Viva Technology Paris a pour mission de faire connaitre les startups les plus innovantes qui joueront un rôle majeur dans le développement du digital dans le monde,
L’événement s’annonce grandiose : 5000 Start Up des 5 continents, 400 speakers de renom, 300 conférences, débats, 30.000 visiteurs, plus de 100 majors investisseurs, débâteront des transformations et de l’impact des nouvelles technologies sur le monde des affaires et de la société.
VIVATECH ALGERIA INITIATIVE a pour but de faire rencontrer les start up algériennes à des milliers d’autres venues d’autres pays mais aussi a des investisseurs et clients potentiels, l’opération contribuera également à donner de la visibilité à l’Algérie auprès des professionnels du numérique du monde entier.
Les startups seront mises à l’honneur le 30 juin à Paris à l’occasion du 10ème FTOUR Annuel de REAGE en compagnie de plusieurs responsables associatifs et institutionnels (ICE, CEINAF, …) ainsi que quelques personnalités algériennes de France, notamment Mme Tokia Saifi, Député Européenne,
Cette initiative est soutenue par des entreprises engagées : NCA Rouiba, Redmed, Alliance Assurances, Djezzy, EY France et Algérie, Business France, … (d’autres à venir)
La peau des enfants est plus sensible aux rayons U.V du soleil que celle des adultes. Des crèmes solaires spécifiques sont censées leur apporter une protection maximale mais leur prix est bien souvent plus cher qu’une crème solaire classique. Valent-elles vraiment leur coût ? L’association 60 millions de consommateurs a mené l'enquête sur 10 crèmes solaires pour enfant.
Les crèmes “enfants”, pas plus efficaces
Selon l’étude du magazine, ces crèmes solaires n’ont pas une protection plus élevée que les autres. Il n’y aucune différence entre les deux produits concernant la protection UV. Les essais comparatifs démontrent que l’efficacité des crèmes solaire pour enfants et des crèmes classiques affichent toutes un niveau de protection élevé (haute ou très haute protection). Mais, ils prouvent également que certains produits ne sont pas à la hauteur des attentes, dans les deux catégories.
Présence de perturbateurs endocriniens ?
Les tests révèlent également que certaines crèmes pour les enfants contiennent des substances dangereuses et potentiellement nocives. Ce sont particulièrement les filtres solaires qui sont mis en cause : certains seraient susceptibles d’être des perturbateurs endocriniens quand d’autres pourraient provoquer des allergies au soleil. Plutôt absurde non ? Oui, et pourtant ces substances sont présentes dans des produits destinés aux enfants. Et, ce ne sont pas les seuls ingrédients inacceptables. Certaines molécules parfumantes sont elles aussi allergisantes. De plus, la composition des crèmes solaires pour les enfants n’est guère différentes des autres crèmes.
Comment protéger les enfants du soleil ?
Une seule crème pour toute la famille, c’est largement suffisant. Pour les enfants, il faut privilégier une crème haute voir très haute protection (indice 30 à 50) et vérifier que celle-ci protège des UVA et UVB. Une crème approuvée scientifiquement, testée dermatologiquement, certifiée bio pour protéger votre santé et celle de l’écosystème marin, sans filtre chimique, sans perturbateur endocrinien.
Bien que les crèmes solaires soient efficaces, la meilleure protection reste celle le port d’un vêtement et d’un chapeau. Associez-les deux pour une protection optimale, sans oublier d’appliquer la crème sur les parties exposées toutes les deux heures et après chaque baignade.
Vous pouvez désormais passer vos vacances sereinement, vos enfants seront bien protégés !
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.