Signée par neuf acteurs de la scène politique et de la société civile, une « Plateforme pour le changement en Algérie », dont on trouvera ci-dessous le texte intégral, a été lancée depuis vendredi dernier. La présence parmi les premiers signataires de cadres du FIS dissous provoque la polémique sur les réseaux sociaux.
« Cette plateforme est le fruit d’un débat de plusieurs semaines et de réunions entre les jeunes algériens, hommes et femmes de villes et de villages du pays, préoccupés au premier plan de l’avenir de l’Algérie indissociablement lié à leur propre avenir », peut-on lire dans un texte de présentation.
« Elle résume et synthétise les avis et points de vue exprimés par la majorité des participants au débat et prend également en compte les propositions avancées et les points de vue exprimés par d’autres acteurs politiques et de la société civile sans exclusion », ajoutent les initiateurs de la plate-forme.
Neuf personnalités de l’opposition et de la société civile l’ont déjà signée : Zoubida Assoul, Abdelghani Badi, Mohcine Belabes, Ali Benouari, Samir Bouakouir, Mustapha Bouchachi, Mourad Dhina, Kamel Guemazi et Karim Tabou.
« Les signataires de cette plateforme (Zoubida Assoul, Abdelghani Badi, Mohcine Belabes, Ali Benouari, Samir Bouakouir, Mustapha Bouchachi, Mourad Dhina, Kamel Guemazi et Karim Tabou, ndlr) ne revendiquent ni la paternité ni un rôle privilégié dans la Coordination nationale pour le changement », précise-t-on.
« La Coordination est ouverte, sans exclusive, à celles et ceux qui adhèrent à la présente plateforme et c’est en son sein que seront abordées, de manière démocratique et transparente, les questions de représentation de la Coordination ainsi que ses actions concrètes », ajoute-t-on en guise de conclusion.
La liste des premiers signataires fait d’ores et déjà l’objet d’une polémique sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes s’insurgeant contre la présence dans cette liste de cadres du FIS dissous.
M.A.B.
Le texte intégral de la Plateforme
« Plateforme pour le changement en Algérie
En ce début 2019, le Peuple algérien a crié son ras-le-bol d’une manière massive, pacifique et civilisée pour dire non à un régime dévoyé. Dans une ambiance fraternelle, civilisée et en harmonie avec les services de sécurité, il a clamé haut et fort « Algérie république pas monarchie ! », « Non à un pouvoir mafieux ! », « Vous avez consumé le pays, espèce de voleurs ! », « Algérie libre et démocratique !», « Le Peuple veut changer de régime ! », « Non au 5ème mandat ! », « L’armée et le peuple sont des frères ! ».
Fidèle au serment de novembre 1954 et aux sacrifices des chouhadas, il a exprimé sa détermination pour vivre dans une Algérie où seront garantis :
L a souveraineté du pays et le droit de tous ses citoyens d’y vivre libres et dignes ;
Le suffrage universel comme seul moyen de choix des dirigeants et des programmes politiques
Les libertés individuelles et collectives et des droits fondamentaux de la personne humaine ;
Le droit inaliénable à l’action politique, syndicale et associative ;
La justice sociale et la redistribution juste et équitable des richesses ;
Le contrôle démocratique effectif des forces armées et des services de sécurité par les représentants du peuple.
La crise politique majeure que vit notre pays ne peut être réduite au refus du cinquième mandat d’un homme malade. Son annonce, le 11 mars 2019, d’annuler les présidentielles d’avril 2019, suite à la protestation populaire, ainsi que son affirmation qu’« il n’a jamais été question » pour lui de briguer un cinquième mandat, alors que le monde entier est témoin que son dossier de candidature a été déposé le 3 mars 2019, ne laisse aucun doute sur sa politique de mensonge et de fourberie.
Bouteflika vient de piétiner la constitution actuelle, qu’il avait imposée, en annonçant vouloir prolonger son quatrième mandat, ce qui constitue une rupture irréversible entre son régime et le Peuple.
Le Peuple algérien n’acceptera aucune démarche de cercles visant à faire durer le système actuel, que ce soit de l’entourage du « frère », de « l’ami » ou d’autres cercles occultes.
Il y a aujourd’hui urgence et nécessité d’opérer un changement radical du système en place, sur des bases nouvelles, avec des personnes nouvelles et de toute façon non piloté par le régime actuel.
Sur cette base, les citoyens et citoyennes qui se sont mobilisés en masse ces dernières semaines exigent :
Le retrait du Chef de l’Etat à l’issue de son mandat actuel le 27 avril 2019 ;
La démission du gouvernement et la dissolution du parlement et du sénat ;
L’entrée dans une phase de transition qui permettra au Peuple de concrétiser son projet national ;
La mise en place d’une « Présidence collégiale » composée de personnalités nationales dignes de confiance et s’engageant à ne pas rester au pouvoir à la fin de la transition ;
La mise en place d’un « Gouvernement de salut national » nommé par la présidence collégiale, chargé de gérer les affaires courantes de l’Etat ;
Un débat national inclusif qui définira les modalités pratiques d’une révision constitutionnelle ainsi que l’organisation d’élections à l’issue de la phase de transition ;
L’engagement de l’Armée Nationale Populaire et des services de sécurité à assurer leurs missions constitutionnelles sans interférer dans les choix politiques du Peuple.
Les organisations de la société civile, en particulier les étudiants, les syndicats, les journalistes, les travailleurs, les avocats et les juges, ainsi que les partis et les personnalités qui adhèrent à cette démarche, ont décidé de créer une « Coordination Nationale pour le Changement » (CNC) qui sera un espace d’échange, de concertation et de coordination pour mettre en œuvre la présente plateforme. Les entités affiliées à la CNC gardent leur autonomie et liberté d’action tout en s’engagent à être aux côtés du Peuple et à soutenir ses revendications légitimes. Elles s’engagent aussi à se réunir dans les plus brefs délais pour décider d’actions concrètes.
Vive l’Algérie et Gloire à nos martyrs !
Le 15 mars 2019 »
algeriemondeinfos.com

Ce fameux « BABY BLUES » qui n’est rien d’autre que ce moment maussade et déprimant que vivent certaines maman quelques jours après un accouchement, le temps propice est de 3, 4 jours après, cela peut survenir même 1 mois à 2 mois plus tard.
ATTENTION
Un épisode déprimant qui s’éternise n’est pas à prendre à la légère, cela peut basculer en « dépression post-partum »
*post-partum : période juste aprèsl’accouchement.
- A. LES PRINCIPALES CAUSES
- Les fluctuations hormonales : peuvent perturbées certaines femmes.
- Un terrain psychologique déjà fragile.
- B. HYGIENE DE VIE ANTI « BABY BLUES »
- Faire part de ses états d’âmes avant la naissance de bébé (deuil,angoisse,conflits, peurs …).
- Préparer l’arrivée du nouveau-né dans de bonnes conditions
- Travaux
- Achats
- Tâches ménagères
- Factures àrégler
- Soins médicaux (Dentiste….)
- Faire appel à une aide avant d’être fatiguée (amie,cousine,parente ou femme de ménage).
- Osez prendre 30 min ou plus rien que pour vous ! , même si il reste beaucoup à faire (il y’en aura toujours).
- Ne pas hésiterà faire fréquemment des ballades en famille, ou rendre visite à des proches, cela vous fera un grand bien !
- Alimentez-vous et hydratez-vous régulièrement, un déficit de ces deux derniers agira de façon sournoise sur votre santé.
Mme Amel Tamdrari – Ouadfeul
Sage-femme, spécialisée en rééducation périnéale.
Cabinet d’El-Biar.
08, Rue Amar Derahmani El-Biar, Alger.
0555982422

Toute l'équipe d'Articity, arts et produits du terroir, est heureuse de vous retrouver pour cette première édition de 2018.
Comme à notre habitude, notre expo-vente artisanale, se déroulera au sein du première étage de la galerie marchande du centre commercial City Center et ce, le 18, 19 et 20 janvier 2018.
Pour ce qui est des spécialités des arts, nous comptons la création de bijoux, la poterie, la céramique, la peinture sur supports, les savons et soins artisanaux, la confection de pochette et bag...quant aux produits du terroir, vous y trouverez de l'huile d'olive, du miel et dérivés, des figues séches, des confitures, du chocolat artisanale...
Pour plus d'information veuillez me contacter au 0557 777 861
L’initiative est unique et grandiose, mais pas étonnante connaissant les capacités de la femme kabyle. Cela s’est passé dans un beau village de Kabylie, situé dans la daïra de Bouzeguène. Les femmes du village Ahrik viennent de terminer les travaux de construction d’une unité de soins qui couvrira les besoins sanitaires des villageois et des citoyens des villages environnants.
À la cérémonie d’inauguration qui a été organisée samedi, les villageois ont exprimé toute leur admiration pour le courage des femmes du village Ahrik qui ont réalisé cet exploit unique en son genre. Des représentants des pouvoirs publics ont également marqué par leur présence la cérémonie à l’instar des élus locaux ainsi que du chef de daïra de Bouzeguène. Profitant de cette tribune, ces derniers ont exprimé leur disposition à accompagner la mise en place du personnel et les moyens techniques pour le lancement de ce centre.
Au début, les femmes qui ont lancé l’initiative étaient les seules à croire à la faisabilité sur le terrain. C’était un rêve presque impossible à réaliser pour deux raisons. D’abord, construire un centre de soins par ses propres moyens, alors que certaines communes ne peuvent le faire, relevait du défi. Il aura fallu que les initiatrices usent d’arguments pratiques sur le terrain pour que le nombre de personnes qui y croyaient commence à grandir. Mettre le pied dans le tas était nécessaire pour montrer que les femmes étaient décidées à construire ce centre malgré les difficultés.
Autre raison qui a fait que le projet a eu de la peine à convaincre est que l’initiative soit venue de la gent féminine. Le projet commence à convaincre peu à peu et la catégorie masculine commence enfin à mettre du sien et à encourager les femmes à aller de l’avant. Ce fut un véritable atout pour la réussite. De leur côté, les pouvoirs publics ont décidé d’accompagner ce projet grandiose et unique. L’APW a mis une enveloppe financière symbolique pour ce projet d’un coût global de deux milliards de centimes.
En fait, ce projet ne se mesure pas à l’argent qu’il a coûté, mais plutôt à la haute considération des femmes du village Ahrik. Ces femmes ont réalisé quelque chose d’unique et rare dans le monde. En construisant cette unité de soins, les femmes d’Ahrik ont montré de quoi sont capables les femmes kabyles. La réussite dans ce projet ouvrira la voix à d’autres réalisations allant dans le sens du bien de la communauté, mais pas seulement. La réalisation de ce projet grandiose mettra à mal les arguments de ceux qui continuent de considérer la femme comme un être mineur à vie.
Enfin, la réussite des femmes d’Ahrik à construire ce projet est un signe que la société kabyle va toujours bien. Malgré les multiples problèmes sociétaux vécus actuellement, il n’en demeure pas moins que la société garde encore ses repères. Les femmes d’Ahrik viennent de le prouver. Et de quelle manière !
Source : Facebook

Le groupe Jawla vous propose une expérience extraordinaire, une journée d'équitation à ain taya
► Départ : semedi le 15 décembre 08:30 d'Alger
► Retour : semedi le 15 décembre 18:00 à Alger
►Confirmation: à 7h00
[Point de rendez-vous a : (place 1er Mai en face l'UGTA)
Programme
- une journée d'initiation à l'équitation
Transport
Bus confortable
Prix : 2 800 DA
Restauration
la Restauration est à la charge des participants.
• pleins d'autres surprise
# Obligatoire #
Pièce D’identité
Des vêtements adéquates et des Chaussures Adéquates (pas de ballerines / converses / chaussures à talons)
★Pour réserver veuillez envoyer les noms des participants par message SMS au:
☏0776854575/ 0553378133
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