
Les services de contrôle de la qualité dépendants de la direction du commerce de la wilaya d’Oran mettent en garde contre les effets dangereux de certains produits contrefaits utilisés dans les salons de coiffure pour hommes et pour femmes. Parmi ces produits, il y a la kératine, un produit à la mode chez les deux sexes ces dernières années.
Ce produit, selon les mêmes services, devient source de danger pour la santé des populations, notamment lorsqu’il est d’origine douteuse ou quand les coiffeurs et les coiffeuses ne respectent les doses nécessaires.
L’utilisation de produits non identifiés ou l’excès de la matière formaldéhyde, contenue dans la Kératine, provoque des maladies de la peau qui risquent de se développer pour provoquer le cancer de la peau. Pour prévenir contre ces dangers et lutter contre le trafic qui s’est généralisé dans la wilaya, les services de contrôle mènent, depuis quelques jours, une campagne d’inspection dans les salons de coiffure d’Oran.
Lors de ces opérations, des produits d’origine douteuse et des potions traditionnelles utilisées à la place de la kératine ont été découverts et saisies. Des échantillons ont été envoyés aux laboratoires spécialisés en vue de les analyser. Outre les maladies de la peau, ces produits risquent aussi de provoquer des problèmes respiratoires chez les coiffeurs et les clients qui les inhalent.
algeriemondeinfos.com

La place de l’implant dans la contraception a fait l’objet d’un débat organisé à l’occasion du 8e congrès de l’Association des gynécologues obstétriciens privés d’Oran (Agopo) qui s’est déroulé dimanche dernier.
Au cours du 8e congrès de gynécologie obstétrique qui s’est déroulé à Oran, le professeur Aubert Agostini, chirurgien gynécologue à l’hôpital de la Conception de Marseille, a présenté une communication portant sur la « place de l’implant dans la contraception ».
Il a expliqué que l’implant en question présente 4 critères essentiels pour assurer une bonne contraception en termes d’efficacité, de réversibilité, d’acceptabilité et de tolérance.
Le professeur Agostini a affirmé que l’implant est efficace à 99,9% avec une observance de 100%. Sa durée d’action, dira-t-il, est de 3 ans et présente un avantage attractif. Le spécialiste a expliqué que cet implant de la taille d’une allumette, s’insère en sous-cutané et permet la libération en continu de l’actif contraceptif soulignant la facilité de la pose et le retrait du dispositif. Le praticien a précisé que dès le retrait de l’implant, la femme retrouvait un cycle normal avec possibilité de tomber enceinte dès le mois d’après l’interruption de la contraception.
Avec peu de contre-indications, l’implant représente une méthode contraceptive judicieuse et efficace. L’exemple des femmes en surpoids ou obèses chez qui l’implant sera remplacé plus tôt pour assurer une efficacité optimale a été soulevé. « Les femmes en surpoids sont considérées à risque quand il s’agit de déterminer une solution contraceptive », a-t-il signalé. Raison pour laquelle, le professeur a indiqué que l’implant est une bonne solution pour cette catégorie de femmes. Il a été relevé que le nombre d’Algériennes sous contraception est de l’ordre de 60%, un chiffre considérable comparativement aux années 70 où la contraception ne concernait que 7% de la population féminine.
Les spécialistes ayant participé à cette rencontre ont conclu que le recul de l’âge de mariage pour les Algériennes, qui est passé de 22 ans en moyenne dans les années 70 à 32 ans actuellement, est l’un des facteurs qui a contribué à ce taux. Ils ont appelé, dans ce sens, à lever les tabous autour de la contraception pour éviter les drames sociaux (grossesse non désirée, avortement clandestin, complications après un avortement douteux et autres).
source : Horizons-dz.com
Salade de pois chiches pour diabétiques :
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 0 minutes
Ingrédients (pour 4 personnes) : - 400 g de pois chiches
- 1 poivron rouge
- 1/2 citron (son jus)
- huile d'olive
- sel
- poivre
- coriandre fraîche
- 2 gousses d'ail écrasées
- 1 concombre (facultatif)
Préparation de la recette :
Égoutter les pois chiches et les rincer.
Couper le poivron en petits dés et le mélanger aux pois chiches.
Assaisonner avec le citron, l'huile d'olive, l'ail écrasé,
le sel, beaucoup de poivre et la
coriandre fraîche (ou du
persil plat).
Ajouter éventuellement le concombre, coupé en petits dés.
Remarques :
Pour ceux qui aiment le poivre, n'hésitez pas à mettre la dose car le poivre et les pois chiches se marient très bien.
source : marmiton.org

Plusieurs années après l’adoption de la numérisation dans le secteur de l’éducation nationale, il semble que son utilisation n’est toujours pas maîtrisée.
En effet, les parents ont éprouvé moult difficultés pour obtenir les bulletins de notes de leurs enfants.
“Il semblerait que c’est le dernier souci des chefs d’établissement et des responsables de la numérisation au niveau des directions de l’éducation. J’ai plusieurs fois signalé le problème au chef d’établissement, mais rien n’a été fait. À l’heure où je vous parle, les comptes de mes enfants ne sont toujours pas activés et l’accès aux résultats relève de l’utopie. J’ai été contraint de me déplacer pour récupérer les bulletins”, nous confie un parent d’élève.
Ainsi, l’espace dédié aux parents n’a pas d’utilité. Le département d’Abdelhakim Belabed doit revoir sa copie pour rentabiliser l’investissement, du moins pour ce volet, car d’autres espaces réservés aux enseignants ne sont pas encore activés.
Source : liberte-algerie.com
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