Urban Jungle s’associe à l’artiste Sneak pour transformer un terrain de Basketball à Alger 21 Novembre 2021 Société Algérienne § Culture § économie
La marque Urban Jungle, concept international de magasins de sport pour les amoureux de Sneakers, s’est associé à l’artiste SNEAK afin de complétement rénover et transformer le terrain de basketball du JFK Kouba à Alger. L’artiste a pu laisser libre cours à sa créativité tout en gardant les couleurs iconiques de Urban Jungle et ainsi créer une œuvre unique avec une calligraphie originale.
Urban Jungle est fier d’avoir pu mener à bien ce projet, une première en Algérie, qui permet de développer une bonne pratique du sport dans le pays et qui s’inscrit dans l’objectif de la marque de promouvoir les projets durables et la protection de notre environnement. A propos de Urban Jungle : Urban Jungle est un concept de magasins de sport multi-marques qui est destiné aux ‘’Sneakers Addicts’’ et à une population jeune, urbaine et connectée. Urban Jungle est présent en Algérie dans le Mall Garden City à Cheraga mais aussi en Italie, Malte, Maroc et Nigeria et compte aujourd’hui une vingtaine de magasins dans le monde.
A propos de l’artiste Sneak :
Sneak est un artiste urbain, designer et graffeur algérien. Il a réalisé plusieurs œuvres uniques de rue et professionnelles. Il est connu par sa signature (tag) "Sneak" qu'il laisse partout où il passe.
CP
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La 1re édition du Festival environnement et culture s’est ouvert, hier, à l’auberge de jeunes du village Arbi relevant de la daïra de Tigzirt (Tizi Ouzou). Organisée par l’association Jlahem écolo-culture (Ajec) en collaboration avec le comité de village, la manifestation s’est fixé pour objectif la sensibilisation des citoyens sur l’importance de la protection de l’environnement à travers une gestion rationnelle des déchets, ainsi que la préservation des sites archéologiques et historiques qui existent à Arbi. Outre les expositions, animées par une dizaine d’artisans de la wilaya, des auteurs et des artistes, le festival est marqué par des conférences sur l’environnement et l’héritage patrimonial de la région animées par des associations écologiques et culturelles, à l’instar de Tigzirt environnement et d’Iguersafen Alma vert.
source : journal liberté
Dans une lettre ouverte signée par une dizaine d’associations féministes (dont le Face, Réseau Wassila, Fard, Aef, Rachida, Sos femmes en détresse), ces dernières rappellent l’ampleur des drames survenus cette année.
A la veille de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes (25 novembre), les associations féministes s’élèvent, dans un nouveau cri de détresse, contre le cycle infernal de la violence à l’égard des femmes, rejetant «l’indignation sans lendemain» et appelant à l’application de mesures concrètes pour mettre fin aux drames.
Ce sera aussi l’occasion de rendre hommage à toutes les femmes victimes de violences et de s’incliner à la mémoire de celles qui ont été sauvagement assassinées. Depuis le début de l’année, 45 féminicides ont été enregistrés. Un chiffre bien en deçà de la réalité, selon les mêmes associations.
Dans une lettre ouverte signée par une dizaine d’associations féministes (dont le Face, Réseau Wassila, Fard, Aef, Rachida, Sos femmes en détresse), ces dernières rappellent l’ampleur des drames survenus cette année.
«La vague d’émotion qui a submergé notre pays, écrivent-elles, la tempête médiatique provoquée par le martyre de Chaima, l’ampleur du mouvement d’effroi, répercuté par les réseaux sociaux, nous ont rappelé chacun de ces assassinats rivalisant de brutalité et d’horreur, qui sont commis en Algérie comme dans le reste du monde.»
Et de poursuivre : «Le hashtag ‘‘nous avons encore perdu l’une des nôtres’’ n’était plus seulement scandé par une poignée de femmes solidaires des victimes de la barbarie, mais par des milliers d’anonymes. Allons-nous continuer à inscrire chacune des victimes dans un décompte macabre ? Allons-nous nous contenter d’inscrire leurs prénoms pour leur redonner leur humanité et leur rendre un nécessaire hommage ?»
Elles soulignent qu’aucune violence n’est acceptable. «Le cycle infernal de la violence peut commencer par l’insulte, le crachat, la ‘‘petite gifle’’, en mode crescendo et répétitif et conduire au meurtre», disent-elles. Aussi est-il important, selon elles, de «traquer toutes les formes de violence quels qu’en soient le type et la gravité, les dénoncer et veiller à ce que leurs auteurs soient punis».
Les associations féministes se méfient toutefois des «surenchères» concernant les sanctions à infliger aux criminels, rejetant «la peine de mort», réclamée parfois par les proches des victimes. «Comme si, argumentent-elles, les lois pénales n’avaient pas été inventées pour punir ceux qui se donnent le droit de vie et de mort sur autrui, comme si l’exécution capitale pouvait dédouaner les sociétés de leur responsabilité collective !
Comme si, enfin, un Etat de droit qui se respecte ne devait pas s’honorer, au nom de l’éthique humaniste, d’abolir la peine de mort, seule manière de refuser d’imiter le meurtrier pour lequel ‘‘une vie ne vaut rien’’.»
Elles adressent ainsi une série de propositions aux autorités publiques afin de mettre fin à ces violences. Parmi elles, figurent notamment la mise en place de centres d’appel téléphonique accessibles gratuitement 24 heures sur 24, à partir de fixes et de portables, pour appeler au secours, la mise en œuvre de protocoles d’intervention rapide des services de sécurité, sensibilisés et formés à cette mission, l’interpellation des agresseurs et protection immédiate des victimes avec ou sans certificat de médecine légale ainsi que la réquisition d’hôtels pour abriter les femmes et leurs enfants en danger.
Pour venir en aide aux femmes et enfants victimes de violences, elles insistent sur la construction de centres d’hébergement partout dans le pays, où l’accès des femmes victimes de violences est garanti, quel que soit leur statut matrimonial, avec ou sans enfants ainsi que le financement pour la gestion et l’encadrement de ces centres en médecins, psychologues, aidant-e-s…
Pour assurer la qualité de l’accueil des victimes, elles proposent le développement de programmes de formation des professionnels de la police, de la justice, des services sociaux, d’éloigner l’agresseur, enregistrer la plainte, orienter ces victimes vers des structures dédiées ainsi que des dotations financières aux associations d’aide aux femmes victimes de violences et le droit de se porter partie civile auprès des tribunaux dans les affaires judiciaires liées à ces violences.
Dans le cadre du dispositif de lois efficace contre les violences faites aux femmes, elles suggèrent le transfert de la disposition pénale qui consacre l’infraction de harcèlement sexuel (article 341 bis), qui figure dans le chapitre II «crimes et délits contre la famille et les bonnes mœurs», dans le chapitre I «crimes et délits contre les personnes», car le harcèlement s’attaque à l’intégrité physique et psychologique des personnes et non forcément aux familles, la traduction de cette disposition de l’article 341 bis, dans la législation du travail, l’inscription de dispositions qui protègent les témoins contre le risque de représailles au niveau professionnel ainsi que l’abrogation de l’article 326 du code pénal qui permet à l’auteur d’un viol d’échapper aux poursuites s’il épouse sa victime, laquelle est, alors, exposée à un mariage forcé. Le Maroc l’a retiré en 2014 et la Tunisie en 2017.
A cela s’ajoutent les demandes d’introduction du crime de «féminicide» dans le code pénal, l’abrogation du code de la famille et la promulgation de la loi-cadre contre les violences faites aux femmes.
Elles suggèrent aussi pour prévenir cette violence extrême, qu’est le féminicide, de lutter contre les mécanismes qui rendent la violence possible : la culture de la violence au sein de la famille, à l’école, dans la rue, au travail.
«Il nous faut également combattre l’ordre mondial basé sur les inégalités, l’injustice et travailler à transformer les réalités qui infériorisent les femmes», soulignent-elles.
Parmi les signataires figurent notamment le FACE ou Femmes algériennes pour un changement pour l’égalité, L’AEF (Agir pour l’émancipation des femmes), le Réseau Wassila, la Collective féministe d’Alger, Sawt Nssa – Constantine –, Femmes algériennes revendiquant leurs droits (FARD) d’Oran, La Fondation pour l’Egalité/Ciddef, Femmes en communication (FEC), SOS femmes en détresse, l’Association nationale Rachida, l’Association nationale Femmes Action Développement (AFAD) ainsi que le Collectif des femmes libres de Bouira.
Source : elwatan.com
La moutarde est le nom d’une famille de plantes qui produisent des petites graines de couleurs différentes. On trouve notamment la moutarde brune, des champs, noire, et blanche. C’est cette moutarde qui entre dans la composition du condiment du même nom.
On utilise principalement la moutarde sous cette forme condimentaire. On peut toutefois utiliser ses graines pour
assaisonner une soupe, une sauce, ou des légumes en bocaux comme les cornichons.
Propriétés :
peut être utilisée pour atténuer les rhumes et les bronchites
stimule l’appétit et favorise la digestion
utilisée en gargarismes, elle peut apaiser les maux de gorge
utilisée en bain de pieds, elle soulage les pieds fatigués
Utilisation :
En usage interne : utilisée pour sa richesse en vitamine C. Elle est
donc particulièrement indiquée dans le cadre de cures
tonifiantes et dépuratives. La moutarde est également utilisée
depuis des générations pour traiter le scorbut, causé par un
déficit en vitamine C.
En usage externe : Tonifiant : stimule les capacités de l'organisme.
En cataplasmes : contre les rhumes, bronchites, névralgies,
rhumatismes, maux de tête et douleurs menstruelles, nécroses.
Soulage les raideurs des épaules et de la nuque en stimulant la circulation sanguine.
Dr Messaoud Walid Docteur en pharmacie
Hanches larges, cuisses épaisses, fessier rebondi et courbes voluptueuses... Les conseils morpho du site femmeactuelle.com pour choisir le denim qui sublimera vos atouts. Le passage dans la cabine d’essayage peut être un véritable calvaire pour un grand nombre de modeuses, surtout quand il est question d’un nouveau jean. Il faut bien se l’avouer, trouver le bon jean devient un véritable casse-tête surtout quand nous avons quelques rondeurs. Trop serré ou bien trop large, vous n’arrivez pas à trouver le jean tendance et confortable qui mettra KO vos complexes.Suivez le guide !Jeans : les bonnes coupes pour sublimer vos formes
Le jean bootcut : ce modèle légèrement évasé dans le bas est parfait pour dissimuler les mollets un peu forts. Ce jean aussi appelé "flare" d’inspiration pattes d’éph’ affinera votre silhouette et vous fera gagner quelques centimètres. Attention de ne pas tomber dans le kitch en adoptant le look cow-girl. Pour être chic et tendance avec cette pièce, associez-la avec une blouse fluide, un blouson style Perfecto et une paire de boots.
Le jean droit : si vous avez des hanches assez larges, ce modèle est fait pour vous. Par sa coupe classique, le jean droit harmonisera vos formes en créant une silhouette affinée. Avec un pull et une paire de low-boots, vous saurez jouer de vos atouts et faire tourner les têtes.
Le jean taille haute : ce modèle est votre meilleur allié pour camoufler votre petit ventre et galber vos cuisses. Avec un joli chemisier rentré et une ceinture large en cuir, ce jean marquera et affinera votre taille. Accompagné d’une paire d’escarpins en verni ou en daim, vous aurez une silhouette élancée. Et si le postérieur de la bomba latina Jennifer Lopez vous fait rêver, le jean taille haute mettra également en valeur votre joli fessier rebondi.
Le slim : pour sublimer vos courbes sans les accentuer, optez pour ce jean. Aujourd’hui, de nombreuses marques ont décidé de lancer des lignes de slim Stretch afin de vous apporter un maximum de confort. Avec cette pièce, vous pouvez opter pour un look de ville casual. Tee-shirt uni, bombers et paire de baskets, cette tenue vous donnera des allures décontractées. Et si vous souhaitez gagner quelques centimètres, n’hésitez pas à retrousser le bas de votre slim. Enfin si vous êtes davantage à la recherche de confort, pensez au jegging. Par son aspect jean, vous vous sentirez à l’aise comme dans un legging. Ce dernier apportera une petite touche sportswear à vos ensembles.
Jeans : les pièges à éviter lorsqu’on est ronde
Le skinny : même s’il est l’un des modèles les plus tendances, le jean skinny n’est pas adapté à toutes les morphologies. Très près du corps et moulant, le skinny est bien souvent conseillé aux silhouettes filiformes. Ce jean mettrait en avant certaines parties de votre corps que vous souhaiteriez dévoiler avec subtilité et classe. Car n’oublions pas, le jean est une pièce fétiche de votre armoire adoptée pour son confort. Vous devez alors vous y sentir à l’aise, comme dans vos baskets.
Eviter les jeans trop larges : mesdames, arrêtez de cacher vos formes. Bien souvent complexées, vous optez pour les jeans larges style boyfriend ou baggy. Or ces derniers ne sculptent pas votre corps. Au contraire, les jeans trop larges vont avoir tendance à vous donner du volume.
Les imprimés et les couleurs flashy : qu'ils soient petits, gros, géométriques ou originaux, les imprimés sur les jeans sont plutôt des faux-amis. Peu flatteurs, ces derniers viennent étoffer votre silhouette au lieu de l’affiner. Cependant, si vous craquez pour un jean aux rayures verticales, vous pouvez vous jetez dessus sans aucune hésitation. Ces lignes allongeront vos formes. Vous pouvez également vous amuser en optant pour un jean aux motifs fleuris brodés qui apporteront un peu de modernité à votre ensemble. Quant aux couleurs, optez pour la sobriété. Jean brut, noir, gris ou marron, ces coloris épouseront parfaitement vos formes pour vous donner une allure plus élancée.
Les marques défendent le body positive
Qu’on se le dise, la mode n’est plus une question de taille. De plus en plus de marques souhaitent mettre un terme au diktat du 36. Dans cette idée, le site internet Asos a lancé sa ligne « curve ». De la taille 46 à 56, les fashionistas peuvent trouver le jean qui leur plaît et qui leur convient. Et afin de répondre aux demandes de toutes les modeuses, certains sites ont fait de la mode spéciale ronde leur marque de fabrique à l’instar de Balsamik, Paprika et Yours. Et si vous préférez essayer votre jean avant de l’acheter, certaines grandes enseignes ont également lancé leurs collections spéciales grandes tailles. H&M, Kiabi et Mango offrent une gamme variée de vêtements adaptés à toutes les morphologies allant jusqu’au 54. Un large choix qui vous permettra de trouver le jean qui sublimera vos atouts.
Un citoyen de Chlef a trouvé, jeudi, un martinet noir (Apus apus), une espèce d’oiseau de la famille des apodidés, également appelé oiseau Ababil, qu’il a remis aux services de la Conservation des forêts de la wilaya.
Selon le chargé de l’information auprès de ces services, Mohamed Boughalia, « un citoyen a remis à la Conservation des forêts un martinet noir, qui a été examiné et placé sous protection, car il s’agit d’une espèce rare digne d’intérêt », a-t-il indiqué à l’APS.
« Un expert en protection des oiseaux a examiné l’oiseau qui se trouve en très bon état », a-t-il ajouté. « Nous ignorons, néanmoins, les raisons de sa chute sur terre, car il s’agit d’un excellent voilier vivant généralement dans les airs, et sur les hauteurs », a précisé le même responsable.
Après avoir loué la « conscience environnementale » de ce citoyen, qui n’a pas hésité à prendre contact avec la direction des forêts pour lui remettre cet oiseau, il a exprimé son souhait pour la « fédération des efforts de tous, en vue de protéger ce type d’oiseaux rares, et contribuer, par la même, à la sauvegarde de la biodiversité », a-t-il souligné.
Selon le chef du service de la protection de la faune et de la flore, Mohamed Arrous, il s’agit d’un « oiseau mâle, de 16 cm de long. Cette espèce se distingue par ses ailes en forme de faucille, corps effilé et une coloration foncée. Excellent voilier, le martinet vit généralement dans les airs et ne descend que très rarement sur terre », a-t-il observé.
« Cet accident est le 2eme du genre à Chlef, car ce type d’oiseau a déjà été observé précédemment dans la région de Ténés (55 km au nord de la wilaya) », a-t-il souligné.
« Le sort de cet oiseau sera décidé après consultation avec des experts du Centre cynégétique de Zéralda (CCZ). Soit il sera relâché sur les hauteurs, après avoir bénéficié de soins bien sûr, ou alors il sera remis au CCZ, pour des examens plus poussés et sa prise en charge », a informé le même responsable.
Les Ababil sont une espèce d’oiseaux, mentionnés dans le Coran. Ils ont protégé La Mecque de l’armée d’Abraha, roi himyarite, en jetant des pierres sur les éléphants des ennemis qui s’approchaient de la ville. Cet événement, prenant place dans le contexte de la Campagne de l’Eléphant, a eu lieu en 552. « Ababil » est le pluriel d’« ibbil ». Ce mot proviendrait de l’akkadien « ibbiltu », désignant le martinet ou l’hirondelle.
Plusieurs médias arabes dont la chaîne Saoudienne Al Arabiya a repris l’information diffusée par l’APS. La vidéo de l’agence algérienne a été également reprise par la chaîne russe RT.
dia-algerie.com
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