
Une centaine de personnes venues d’Arzew, de Bejaia, Tizi-Ouzou, de Blida, de Tipaza et d’ailleurs se sont rassemblées, samedi, au niveau de la Grande Poste à Alger pour déposer un hommage à Razika Chérif, tuée le 7 novembre dernier de sang-froid à Magra (Wilaya de M’Sila) par un automobiliste à qui elle a refusé ses avances.
Ceux et surtout celles qui étaient là, ce 14 novembre, au niveau du jardin Mohamed Khmissti près de la Grande Poste avaient de la tristesse et de la colère. Razika Cherif a perdu la vie et toutes les possibilités qui peuvent s’offrir encore pour une femme de 40 ans. Juste pour avoir refusé de céder à un dragueur qui s’est transformé en meurtrier.
Celles qui étaient-là pensaient à Razika Cherif mais aussi à d’autres femmes dont la vie s’est arrêtée dans des conditions similaires. La famille de Razika, en manifestant et en demandant justice, a parlé pour celles qui partent en silence.
Une jeune fille portant une pancarte résumait parfaitement l’ampleur de la violence subie au quotidien par les femmes en rappelant cette évidence oubliée par les machistes violents et haineux : « la rue est publique mais mon corps non ».
Et ceux qui étaient présents ont tenu à le rappeler avec force de youyous et des chants patriotiques retentissent. Pour réclamer justice et protection contre la violence. Pour dénoncer aussi ce qu’ils considèrent la matrice du crime : le statut de mineur de la femme et la perception dominante des hommes à leur égard.
Nous qui marchons chaque jour en étant sur nos gardes..
Iman Chiban, jeune architecte de 23 ans, initiatrice de ce rassemblement, souligne que ce crime interpelle toutes les femmes. « Cela nous pousse à réagir, nous qui marchons chaque jour en étant sur nos gardes, nous «qui avons peur de circuler dans la rue dès que la nuit commence à tomber. »
Elle souligne l’ampleur du phénomène du harcèlement sexuel. « Les violences et le harcèlement sont partout. C’est pour cela que j’ai lancé cet appel et je suis contente que cela se soit déroulé dans le calme, sans débordement aucun ».
El Hassen Mostafaoui, un étudiant en médecine vétérinaire de 21ans, a réagi spontanément à l’annonce de la nouvelle en allant dans la rue, à Hadjout, en parler aux gens. Il avait rédigé des tacts portant comportant un texte faisant le récit du meurtre.
"Je suis sortie le 17/11/2015 et j’ai remarqué qu’un homme dans une voiture me guettait. il me suivait parfois, me parlait aussi. Il voulait que je monte avec lui, j’ai poursuivi mon chemin, il n’est pas dans mes habitudes de parler à des inconnus. Son insolence s’est répétée, j’ai eu beaucoup peur. J’ai hâté le pas sans accorder d’importance à ce qu’il disait. Il s’est allumé de colère car je suis une femme et qu’il est homme. Il a vu dans mon refus de lui parler un mépris. En un instant ma vie s’est arrêtée, mon rêve perdu…"
Ce tract, il l’a imprimé et distribué sur l’autoroute Alger- Tipaza. Lui et d’autres jeunes, sont venus pour afficher leur volonté d’agir contre le harcèlement et les violences que subissent quotidiennement les femmes.
« L’acceptes-tu pour ta mère ou pour ta sœur ? L’assassinat fait de toi un criminel maudit, l’amour fait de toi un homme. Alors sois un homme » lit-on a la fin du tract qui inclut des versets coraniques réprouvant et prohibant la violence.
Ce sentiment d’urgence à agir contre le harcèlement est partagé. Des passants rejoignent le rassemblement pour des débats improvisés autour de l’arbre ou des fleurs et des lettres d’hommage ont été posées.
Un petit rassemblement pour dire la colère, pour rendre hommage à celle qui a été arrachée violemment à la vie. Une alerte. Un mouvement à étendre…
source et crédit photo : huffpostmaghreb.com

Ne pas sauter de repas, dormir une heure de plus, marcher 30 minutes...Les spécialistes nous pressent de booster nos défenses immunitaires. conseil du site : leparisien.fr
Pas de remède miracle, mais de petits plis à prendre pour mieux affronter l'épidémie...De la même manière, il est impossible de prévenir totalement le risque d'être contaminé, en dépit de l'importance des « gestes barrières ».
Dans ce contexte, les spécialistes nous pressent de prendre de bonnes habitudes pour booster nos défenses immunitaires. Sommeil, alimentation, exercice physique… Autant de paramètres qui permettent, de manière générale, de tomber moins souvent malade. Et nous donnent des chances de nous remettre plus vite sur pied en cas d'infection.
Pas de remède miracle, mais de petits plis à prendre pour mieux affronter l'épidémie. Malgré des pistes de traitement prometteuses, le coronavirus Covid-19 ne se soigne pas encore. De la même manière, il est impossible de prévenir totalement le risque d'être contaminé, en dépit de l'importance des « gestes barrières ».
Dans ce contexte, les spécialistes nous pressent de prendre de bonnes habitudes pour booster nos défenses immunitaires. Sommeil, alimentation, exercice physique… Autant de paramètres qui permettent, de manière générale, de tomber moins souvent malade. Et nous donnent des chances de nous remettre plus vite sur pied en cas d'infection.
Dormir plus de sept heures
La meilleure façon de s'armer face aux microbes est… de se coucher tôt ! « La nuit, nous nous régénérons, expose le cardiologue Frédéric Saldmann. Dormir moins de sept heures, c'est deux fois plus de risque d'attraper un virus comme la grippe. »
Pour l'auteur du livre « On n'est jamais mieux soigné que par soi-même » (Plon), les conditions du sommeil sont elles aussi capitales : on dort de préférence nu, dans une pièce fraîche plongée dans le noir complet.
Bouger 30 minutes par jour
Pour maximiser ses chances de s'endormir rapidement, le sport est prohibé avant d'aller se coucher. Mais entretenir son corps au cours de la journée reste très important. « Il n'existe pas de médicament pour booster son système immunitaire, rappelle le Frédéric Saldmann. Avec 30 minutes d'exercice quotidien, on libère des molécules protectrices, comme l'irisine qui diminue jusqu'à 40 % les risques de maladies cardiovasculaires, de maladie neurodégénératives et de nombreux cancers. »
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Ces molécules disposent d'une durée de vie de 24 heures. D'où la nécessité de pratiquer une activité tous les jours. Il peut s'agir de marche active, de vélo d'appartement, ou encore de petits exercices comme des squats, des abdos ou des pompes.
Repousser les régimes à plus tard
Manger « gourmand », mais « utile ». Tout comme il est hors de question de se ruer sur les bonbons, biscuits et pâtisseries, entamer un régime drastique en pleine épidémie est une option à écarter de toute urgence. On se débarrassera des kilos en trop plus tard !
« Nous avons besoin de gras dans notre corps pour communiquer avec nos cellules immunitaires, assure la nutritionniste Laurence Plumey. Il faut manger varié, équilibré et en quantité suffisante. » L'autrice du « Monde merveilleux du gras. Tout sur ces rondeurs qui nous habitent » (Eyrolles) recommande notamment de ne jamais sauter de repas. « Au petit déjeuner, un simple verre de jus d'orange remplit 60 % de nos besoins quotidiens en vitamine C », souligne la médecin.
Gâteau yaourt très facile :
1 pot de yaourt
2 pots de farine
2 pots de sucre
1 pot d'huile
3 œufs
1 sachet d levure
1peu de beure pour le moule.
Mélanger tous les ingrédients dans un récipient.
Beurrez le moule et enfourner dans le four chaud à 170°C.
Remarques
Metttre une coupelle d'eau dans le four pour garder de l'humidité et éviter la cuisson trop rapide...
source : 750g.com
Sous le parrainage de madame la ministre de la culture et des arts docteur Soraya Mouloudji
Le directeur du palais de la culture à le plaisir de vous convier au vernissage de l'exposition de la céramique d’Art algérienne le
Samedi 14 mai 2022 a 15h00
jusqu'au 18 mai 2022
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