
Shirine Boutella se retrouve sous le feu des critiques à la sortie de la série Netflix « Christmas flow », où elle joue le rôle de Lila, dans une comédie romantique française, inspirée des films « rom-com » américains qui tournent autour de la thématique de l'amour et de Noël, et qui sont diffusés pendant cette période de l'année.
L'actrice franco-algérienne de 31 ans y joue le rôle de Lila, une journaliste avec un fort caractère qui ne croit pas à l'amour et qui rencontre un rappeur très connu, jouée par Julien Bouadjie, plus connu sous le nom de Tayc. La série est réalisée par Nadège Loiseau, une réalisatrice française. La mini série est disponible depuis le 17 novembre sur Netflix.
« Christmas Flow » : Critiques du public algérien et réponse de Boutella
Shirine Boutella, comme chaque personnalité connue qui a des origines algériennes a un grand public algérien qui la suit sur les réseaux sociaux, et après la sortie de « Christmas Flow », l'actrice et influenceuse a dû faire face à un flux de critiques, pour avoir joué un rôle « osé ». Les Algériens lui reprochent d'ailleurs des scènes « contraintes aux valeurs de notre société ». Il va s'en dire que l'actrice a répondu à ces critiques et a déclaré que « les Algériens ne sont ni exemplaires ni sacrés. J'ai honte que mon nom soit lié à des personnes qui pensent de la sorte ».
Il faut dire qu'il est aberrant que des Algériens reprochent à une série française de « contredire les valeurs » de la société algérienne, d'autant que l'actrice Shirine Boutella est Franco-algérienne, et évolue dans une culture complètement différente de ce qui est vécu au pays. Mais les critiques et le harcèlement en ligne ne sont pas nouveaux pour Boutella. Il suffit de visiter son profile Instagram pour s'apercevoir du nombre ahurissant de commentaires déplacés, et insultants, qu'elle reçoit sur ses publications, et ce même avant l'annonce de la série « Christmas Flow ».
Il importe aussi de souligner que les Algériens sont de grands consommateurs de séries étrangères, particulièrement sur la plateforme Netflix, à laquelle ils accèdent en usant de VPN pour « débloquer » le contenu restreint à une poignée de pays occidentaux, dont la France.
source : infos-algerie.com
Les chiffres des expulsions des ressortissants algériens, marocains et tunisiens n’ont jamais été aussi mauvais. Selon le tableau de bord interne de l’exécutif qu'a pu consulter Europe 1 sur les expulsions et la délivrance de visas, la France a durci le ton envers ces pays en réduisant drastiquement le nombre de visas délivrés.
La France durcit le ton envers l'Algérie, le Maroc et la Tunisie. Selon une information Europe 1, elle a fortement réduit le nombre de visas accordés à ces pays qui refusent de reprendre leurs ressortissants en situation irrégulière.
Une division par deux du nombre de visas délivrés
Dans le cas de l’Algérie, entre janvier et juillet 2021, la justice française a en effet ordonné 7731 obligations de quitter le territoire français et seulement 22 sont repartis chez eux, soit à peine plus de 0.2%. Et ce constat s'explique notamment par le fait que l’Algérie refuse de délivrer des laissez-passer consulaires, un document sans quoi une expulsion ne peut pas être exécutée. Cette année sur les 8000 demandes faites par Paris seule une vingtaine a été obtenue. Un chiffre qui a fait bondir Emmanuel Macron à plusieurs conseils de défense cet été.
Après avoir tenté plusieurs approches, le dialogue, le conditionnement des aides au développement, et enfin les menaces, l’exécutif est finalement passé aux sanctions. Une décision prise secrètement il y a tout juste un mois, à bas bruit. Le chef de l'Etat a décidé de diviser par deux le nombre de visas délivrés pour l’Algérie et le Maroc, et de 30% pour la Tunisie, en prenant 2020 comme année de référence. Car ces trois pays ne jouent pas le jeu et refusent en réalité ce qu'ils considèrent être un chantage de Paris.
Mesure de rétorsion
Sur les 6 premiers mois de l’année 2020, environ 63.000 visas ont été délivrés, pour 96.000 demandes, soit un taux de délivrance de 65%. Un chiffre qui s’est empiré sur les 6 premiers mois de l’année 2021 pendant lesquels plus de deux demandes de visas sur trois émanant de l’Algérie ont été satisfaites par la France. Emmanuel Macron a donc demandé aux services consulaires du Quai d’Orsay de délivrer pour les 6 prochains mois, 31.500 visas maximum, soit une division par deux. L'année 2019 avait d'ailleurs atteint des records avec 275. 000 visas accordés à l’Algérie.
La France a donc choisi d'appliquer une mesure de rétorsion rendue possible par le code communautaire de Schengen. Alors que l’immigration occupe le devant de la scène politique, le chef de l'Etat le sait, il n’a plus beaucoup de temps avant la présidentielle. Et s’il veut corriger son bilan migratoire, il n’a pas d’autres choix que de prendre des décisions radicales.
Chiffres de l'Algérie de janvier à juillet 2021
Obligations de quitter le territoire français : 7.731
Laissez-passer consulaires délivrés : 31
Expulsions effectives : 22 (exécution des expulsions : 0.2%)
Visas demandés : 11.815
Visas accordés : 8.726 (taux de délivrance =74%).

Par personne :
3 dattes
2 ou 3 c à s de fromage blanc
Quelques noisettes ou amandes concassées
Facultatif, + ou – selon les goûts :
1 c à c de miel très parfumé
1 c à c d’eau de fleur d’oranger
Chauffer une poêle, à feu moyen, avec un peu d’huile d’olive.
Ajouter les dattes et les cuire 4 ou 5 minutes en les retournant régulièrement. Attention, la peau brule assez vite ! Surveillez bien.
Mélanger le fromage blanc et l’eau de fleur d’oranger.
Dans une assiette ou un ramequin, repartir le fromage blanc.
Ajouter les dattes encore chaudes, parsemer des noisettes concassées et arroser d’un peu de miel.
Servir immédiatement.

la chanteur Lila Borsali se produira le 24 mars 2018 à l'opéra Boualam Bessaih
Les tickets sont disponibles au guichet de l'Opéra.
Heure : 19h
#lila_borsali, #concert_andalou, #concert_opéra_alger
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