EXPOSITION : BROKKART S'INVITE À L'IF ALGER 23 Décembre 2021 Art § Culture § Artisanat
Après la galerie le Paon déploie ses couleurs et ses talents à l'IF ALGER c'est autour de Princesse Zazou (BROKKART) de broder ses périmètres oniriques à l'IF ALGER Une immersion alléchante dans l'univers particulier de cette artiste qui carbure à l'optimisme.
"La fin de l’année 2021 approche et cette année encore a des allures de fin du monde. Cela fait maintenant deux ans que nous croyons en apprendre plus sur ce nouveau monde et deux années que les seules certitudes qui persistent sont celles de ne plus en avoir ... de certitudes.
Et si ce nouveau monde avait toujours été là, s’il était enfoui en chacun de nous et si chacun de nous était la clé ou la pièce du puzzle ?
Partant de cette hypothèse, Princesse Zazou vous invite en cette fin d’année 2021 à embarquer à l’institut français d’Alger, direction 2022 via le voyage « Co*Errance de Brokk’Art » une construction et déconstruction d’images et de sens, seuls ou à plusieurs pour dévoiler des pistes de lectures de ce nouveau monde.
L’occasion de croiser des regards, des visions, des paroles, des idées … un esprit et refaire ensemble, le monde."
Du dimanche 19 décembre à 18h00 au samedi 15 janvier à 20h00à l'Institut français d'Alger - Centre ville
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"La petite auberge grill" située au cœur du boulevard Sidi Yahia (Hydra) propose un menu riche et varié, de la pizza à l’entrée avec une tranche de foie, il y en a pour tous les goûts. Mais le plat que j’avais hâte de goûter, c’était la pizza au feu de bois, réputée pour être délicieuse, j’avais qu’une envie la tester, moi qui adore le goût du fumé, c’était l’occasion de la découvrir.
Nous allons commencer par le début, c’est-à-dire, mon impression dès que je suis rentrée à la petite Auberge, et énumérer d’abord les points positifs :
- la première impression était bonne. (une jolie décoration)
- Une ambiance chaleureuse
- Le serveur agréable
- Service rapide
- WC propre (mais il n’y avait pas de savon Grrr )
Passons aux points négatifs :
- Le gérant à l’accueil pas très souriant
- La pizza n’avait pas un goût particulier de bois fumé. (Elle était bonne mais sans plus)
- Les menus (600 Da : pizza + boissons) annoncés à l’entrée n’étaient pas disponibles, dommage la crédibilité en prend un coup dès l’entrée.
- La salle un chwiya petite, mieux vaut éviter les week-ends
Si je devais donner une note, je donnerais 12/20, au faites pour le prix, j’ai commandé une pizza viande hachée et une boisson 0 %, résultat des courses : 900 Da, la pizza et 150 Da, la canette, 0 %.
Lieu : La petite Auberge Grill, Boulevard principal Sidi Yahia (Hydra)
ED
L’Agence Matrimoniale Aquarius organise pour vous un évènement de rencontre sur le thème rencontre en altitude qui se déroulera sur les hauteurs du parc national de Tikjda.
Situer à 32 kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Bouira, à 1 478 mètres d'altitude, sur le versant sud du Djurdjura en Kabylie.
L’Agence Matrimoniale Aquarius est leader dans le domaine de la rencontre depuis plus de 5 ans et se présente comme étant moderniste tout en respectant les principes de la société algérienne.
Forts de ses années d’expérience, nous avons permis à travers notre univers de créer des affinités entre les différents membres ; nous sommes fiers d’avoir à notre palmarès plusieurs témoignages de fiançailles et de mariages.
Nous sommes actifs dans le domaine des rencontres organisées (sorties en groupe, Speed dating,…).
Pour ce faire, l’Agence organise une escapade pour la journée du 23 decembre 2016 et ce à partir de 7h00 du matin.
**Programme de la sortie**
Afin de profiter de cet environnement et de finir l'année à deux, nous vous avons programmé un planning riche en activité:
- 7 :00 RDV 1er mai en face siège UGTA.
- 7 :30 Départ vers le parc national de tikjda.
- 9 :30 Arrivé sur site. Café, thé mettons-nous alaise
- 10 :00 6 km a pied sa use vraiment les souliers ?!.
- 12 :00 ohh J’ai faim (pause déjeuné).
- 13 :00 qui retrouvera son chemin !! (Retour).
- 15 :00 ne vise pas ton prétendant (Activité).
- 16 :30 tout a une fin (Retour à Alger).
**Tarif de la sortie** : 2500 DA par personne
**Le tarif comprend** :
-Transport par bus confortable
-Randonné assurée par un guide
-Activité tir à l’arc.
-Déjeuner et collation.
**A prévoir** :
-Sac à dos.
-Chaussure de randonné.
**Condition de participation** :
- Etre âgé d’au moins 25 ans.
- Réservation et paiement à l’avance.
Pour toute information contactez :
- AYMEN au 0553 48 83 98
- KHALIL au 0557 61 39 08
**Point de paiement** :
Kouba : 0557 61 39 08
El biar : 0553 48 83 98
Dely brahim : 0551 02 38 80
**PLACES LIMITEES**
https://www.facebook.com/groups/AMAquarius/
14 meurtres de femmes depuis le début de l’année, selon les associations de défense des femmes
Les associations de défense de la cause féminine s’inquiètent des conséquences du confinement, dont les femmes pourraient payer un lourd tribut.
Samedi 4 avril. Bouzaréah (Alger). Se servant de son arme de service, un policier a tiré cinq balles en direction de son épouse, devant leurs quatre enfants. Elle n’y survivra pas.
Lundi 6 avril. Zahana (Mascara). Un homme agresse sa femme avant de la jeter du deuxième étage de leur immeuble.
Mardi 14 avril. Ouled Aiche (Rélizane). Une femme ayant reçu des coups de couteau de son fils de 25 ans succombe à ses blessures.
Lundi 20 avril. Douar Bouras (Chenoua). Un homme trentenaire, dont les voisins louent le caractère calme et pondéré, agresse son épouse à l’arme blanche. Ils avaient trois enfants.
Ce n’est là qu’un infime échantillon de ce que subissent certaines femmes derrière les alcôves en cette situation exceptionnelle liée à la pandémie.
Récemment, une chanteuse de raï, connue en tant que cheba Nivin, s’est filmée dans un hôpital de Sig, présentant des lésions sur le visage et sur le cou. «Mon mari m’a donné sept coups de couteau, dit-elle, partout sur le corps. Grâce à Dieu, je suis enceinte et je suis toujours vivante. Je ne retournerai pas chez lui, il a voulu me tuer», affirme-t-elle à partir de son lit d’hôpital.
Les associations de défense de la cause féminine s’inquiètent des conséquences du confinement, dont les femmes pourraient payer un lourd tribut. Le collectif Femmes algériennes vers un changement pour l’égalité (Face) a publié un communiqué s’indignant contre aux violences que subissent les femmes dans leurs familles et qui, selon des témoignages, accusent une hausse inquiétante en cette période de confinement.
«Nous exhortons les pouvoirs publics à prendre leurs responsabilités en mettant en place les mesures nécessaires pour que cessent les violences faites aux femmes et aux enfants», peut-on lire dans le communiqué en question. Les associations ont répertorié 14 «féminicides» (mot désignant l’assassinat de femmes parce qu’elles sont des femmes) depuis le début de l’année. Un chiffre qui ne recouvre pas, selon elles, la réalité, puisque nombre de cas ne seraient pas reconnus.
Le fait est, par ailleurs, que les autorités publiques ne communiquent plus les statistiques relatives aux violences contre les femmes depuis 2013. Dans une vidéoconférence ayant regroupé Louisa Aït Hamou, membre du réseau Wassila, et Fatma Boufenik, présidente de l’association Femmes algériennes revendiquant leurs droits (Fard), les militantes déplorent le peu d’information dont elles disposent sur ce sujet. «Nos écoutantes expliquent qu’il n’y a pas particulièrement plus d’appels qu’avant le confinement.
Cela ne veut pas dire que le nombre de violences ait baissé, mais les femmes ont plus de mal à prendre le téléphone car elles sont en permanence en présence de leurs bourreaux», souligne Louisa Aït Hamou.
Les associations ont néanmoins maintenu leurs centres d’écoute en cette période particulière. «Nous avons, au sein du réseau Wassila, une juriste et une psychologue qui travaillent de chez elles», précise Louisa Aït Hamou. Le réseau Wassila enregistre entre 900 et 1000 appels annuellement, dont un tiers de nouveaux cas.
«Pendant la période de confinement, explique la représentante du réseau Wassila, les écoutantes disent qu’elles ont deux à trois appels par jour de nouvelles victimes de violences, mais pour le reste, ce sont les femmes que nous suivons depuis quelques semaines, quelques mois ou, parfois, depuis des années. Au total, il y a près de dix nouveaux appels par semaine, et à peu près le même nombre d’appels des victimes que nous suivons depuis quelque temps.»
A peu près la même tendance est enregistrée par l’association Fard basée à Oran. «Après avoir diffusé les numéros sur les réseaux sociaux, souligne Fatma Boufenik, nous avons deux à trois nouveaux appels par jour. La question qui se pose est de savoir si ces appels sont liés à la crise sanitaire ou si c’est parce que le numéro est devenu public.
Ce qui est sûr, c’est que les femmes qui appellent évoquent la nouvelle situation liée à l’instauration du couvre-feu. Je considère que le plus important ne réside pas dans les statistiques. Les données sont nécessaires pour mettre en place des solutions et des stratégies. Le confinement aggrave la situation déjà existante», détaille-t-elle.
«Cocotte-minute»
Selon les association, c’est une situation complexe à laquelle les femmes violentées sont confrontées. Les femmes victimes de violences sont contraintes de rester, plus que d’ordinaire, en présence de leurs bourreaux. Elles ne peuvent, de ce fait, pas prendre le téléphone pour alerter les associations pour avoir un conseil ou une oreille attentive.
«Il est plus difficile pour les femmes de prendre le téléphone et d’appeler le centre d’écoute car elles sont pratiquement 24h/24 avec leurs bourreaux (qui peut être le mari, le frère, le père…), dit Louisa Aït Hamou. «Lorsqu’elles les rappellent, nos écoutantes sentent à quel moment elles ne peuvent pas parler.» En temps de crise, et c’est un fait démontré partout dans le monde, disent-elles, il est avéré que les violences contre les femmes augmentent presque systématiquement.
«Nous ne voulons pas attendre que des désastres arrivent pour alerter», dit Louisa Aït Hamou. Et d’ajouter, inquiète : «Nous craignons ce que va révéler l’après-confinement : la cocotte-minute va alors éclater et nous allons voir tout ce qui s’est passé.» La situation est d’autant plus complexe que les victimes de violences peinent à déposer plainte. Quand bien même elles réussiraient à le faire, la procédure serait ralentie du fait que le secteur judiciaire travaille à minima.
Souvent, les femmes violentées n’ont d’autre choix que d’accepter leur sort car elles n’ont pas où aller. Aussi est-il nécessaire, insiste Fatma Boufenik, en cette période de confinement, de mettre en place un numéro vert fonctionnel que les victimes peuvent joindre à partir de tous les opérateurs téléphoniques. «Il y a beaucoup à faire en matière de prévention. La mise en place de numéros verts fonctionnels avec des personnes compétentes pour orienter et soutenir les femmes, est l’une des priorités.
C’est un travail que les associations seules ne peuvent pas faire», dit Louisa Aït Hamou. Les défenseuses des droits des femmes réclament également une révision du protocole d’accès dans les centres d’hébergement des femmes victimes de violences. Elles appellent à la prise en charge rapide des victimes par les institutions concernées (services de police, gendarmerie et justice) ainsi que la mise en place temporaire de centres d’accueil des victimes de violences domestiques. Il y en a six sur le territoire national, dont certains ne sont pas opérationnels.
Louisa Aït Hamou s’élève contre les conditions d’accueil des femmes violentées. «Certains ressemblent à de véritables centres de détention, dit-elle. C’est dommage, car ces établissements devraient servir à aider ces femmes à sortir de la violence, à reprendre confiance en elles, devenir autonomes : il est important de les laisser sortir pour chercher du travail et d’accepter leurs enfants…
Or, dans la grande majorité des centres dépendant du ministère de la Solidarité, la présence des enfants est interdite. Que devraient-elles faire ? Laisser leurs enfants à la rue ? C’est intolérable.» La représentante du réseau Wassila rappelle qu’encore aujourd’hui, il est des familles qui ont du mal à accepter leur fille divorcée ou séparée.
Fatma Boufenik détaille quelques dispositions à instaurer immédiatement afin d’éviter les drames : «Il y a des mesures à instaurer immédiatement et qui devraient être inscrites dans une démarche d’intérêt stratégique. Autrement, nous allons être condamnées à faire les pompiers. Nous voulons être reconnues en tant qu’acteurs dans la réflexion pour les politiques publiques qui permettent la promotion des femmes. Nous n’avons aucun pouvoir que celui d’interpeller les pouvoirs publics sur ces situations.»
Au-delà des violences physiques, Louisa Aït Hamou met en garde contre les dommages psychologiques que peuvent subir les femmes en cette période particulière. «La violence n’est pas seulement physique, dit-elle, il y a des violences psychologiques faites d’humiliations diverses. Cela a des conséquences terribles sur les femmes. C’est une destruction progressive.»
Si elle reconnaît qu’il y a eu quelques acquis législatifs depuis 2015, grâce aux combats féministes, elle regrette que peu d’avocats et de magistrats se sont saisis de la question. «Il faut des mesures d’application, préconise-t-elle. Dans cette loi, il y a la clause du pardon, que nous dénonçons.»
Par ailleurs, Louisa Aït Hamou dénonce les vidéos dans lesquelles les hommes se griment avec un tablier, un foulard et un seau, pour faire la parodie des rôles inversés en cette période de confinement. «C’est là une violence symbolique grave, c’est scandaleux, dénonce-t-elle. C’est un appel à la haine qui est révélateur d’une complicité d’une partie de la société.» Et de soupirer, affligée : «Oui, il y a beaucoup de travail à faire.»
Elwatan.com
La commission ministérielle de la fatwa relevant du ministère des Affaires religieuses et des Wakfs s’est exprimé dans un communiqué publié aujourd’hui le 16 juin sur la réouverture des mosquées en Algérie, notamment après avoir entamé la deuxième phase du déconfinement le 14 juin dernier.
En effet, la commission a affirmé qu’elles aspirent à le faire comme tous les autres Algériens, mais nos experts en santé publique et le Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie du Coronavirus qui connaissent la vérité sur la situation de la pandémie en Algérie, confirment que les conditions ne permettent pas encore l’ouverture de toutes les activités, en particulier celles qui reçoivent un grand nombre de personnes et qui se déroulent dans des espaces clos.
Le communiqué à également rappelé l’importance de continuer à observer les recommandations, notamment le port des masques, pour réduire l’ampleur de cette pandémie et pouvoir rouvrir les mosquées.
Algerie360
Sa chanson « Echemaâ » (La bougie), a bercé toute une génération au début des années 1990. Son décès prématuré à l’âge de 37 ans, endeuillera tout Alger.
Originaire du village d’Aït Bouali (commune de Fréha, Tizi-Ouzou), il est né le 30 janvier 1961 à Bouzaréah, sur les hauteurs d’Alger. Il a grandi dans le quartier populeux de Gai Soleil, au sein d’une famille modeste, entassé dans un appartement exigu, niché au douzième étage.
Kamel suit le chemin du frère aîné qui s’adonnait à la musique et choisit la voie artistique.
Ses débuts, il les effectue en 1974, lorsque, membre de l’UNJA, il monte un groupe chaâbi. Sa voix posée et attendrissante le fera vite remarquer, d’abord par les gars du quartier, ses premiers admirateurs. A la tête d’une nouvelle formation, il anime en 1978, fêtes de mariage et de circoncision et son nom circule avec de plus en plus d’insistance. Il lui faudra toutefois attendre 1985 pour tenter un essai discographique qui ne sortira jamais, car le producteur décrétera la mort du chaâbi face à la déferlante raï. Commercialisé sous forme de cassettes en 1990, il n’obtient aucun succès. Deux enregistrements suivront, mais la reconnaissance tarde à venir. En 1991, coup de tonnerre dans un ciel endeuillé par la violence ambiante, une cassette émerge : « Echemaâ » (La bougie), récitée avec conviction sur le mode sika sbania (flamenco), est un succès dans lequel toute une jeunesse se reconnaît.
Subissant l’influence à la fois de cheikh El Hasnaoui et de Dahmane El Harrachi, Kamel Messaoudi commet « Ah ya Dzaïr », un vrai manifeste où le chaâbi renoue avec la réalité sans perdre de sa poésie. Très exigent envers lui-même, il choisit méticuleusement ses sujets. Il préfère des chansons à thèmes et des paroles de choc qui laissent des empreintes.
Le 10 décembre 1998, après avoir participé à une émission télévisée en direct, Kamel Messaoudi décède dans un accident de la circulation survenu à Alger.
Source : Babzman.com
« Dictionnaire encyclopédique de l’Algérie », par Achour Cheurfi. Editions ANEP, 2007.
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