
les automobilistes sont appelés à redoubler d’attention lorsqu’ils verrouillent leur véhicule. Des brouilleurs à seulement 60 euros permettent d'empêcher la fermeture des portes.
La technique est un jeu d'enfant bien connu. Il suffit aux malfaiteurs de guetter un automobiliste et d’activer le brouilleur d’onde radio lorsque celui-ci sort de son véhicule et presse le bouton de verrouillage des portes sur sa télécommande. Croyant son véhicule verrouillé, le propriétaire laisse alors la champ libre aux voleurs qui n’ont plus qu’à s’y introduire pour piller son contenu. Ou pire encore, pour la voler s'ils sont équipés d'un programmateur de cartes et de clés vierges.
Des brouilleurs trop faciles d’accès et pas chers
Ces brouilleurs sont très facilement accessibles sur la toile. De nombreux sites asiatiques en proposent même si, il est vrai, les délais de livraison à rallonge et le risque potentiel d’un contrôle des douanes dissuadent les intéressés.
On trouve également ces brouilleurs (qui peuvent d'ailleurs prendre la forme d'une clé de voiture plus classique) en vente libre sur des sites britanniques qui n'hésitent pas à mettre en place des offres promotionnelles conséquentes. Comptez ainsi une soixantaine d'euros seulement pour un brouilleur standard. Les autorités françaises s’inquiètent également de la prolifération de brouilleurs en région parisienne et dans plusieurs autres grandes villes du pays.
Comment lutter ?
Il est toutefois assez simple d'éviter de se faire avoir. Tout d’abord, il suffit de rester à proximité de la voiture pour s’assurer qu’elle est correctement verrouillée. Par ailleurs, un simple coup d’œil sur les clignotants suffit généralement pour vérifier que la voiture a bien reçu la commande de fermeture. Si un brouilleur actif est à proximité, rien ne se passe au niveau des clignotants.
Notons qu'un changement de technologie est également en cours du côté des constructeurs automobiles, certains ayant modifié le fonctionnement des clés dites « sans contact ». Auparavant, ces clés qu’on gardait dans la poche (ou dans un sac) activaient le verrouillage des portes automatiquement, sitôt que le porteur s’éloignait du véhicule. A l’inverse, elles l'ouvraient à son approche. Le souci est que la distance, parfois trop importante, laissait alors le temps à un voleur de s’y installer. Ainsi, l’essai de la Volkswagen Passat SW, la clé peut toujours rester dans la poche, mais il faut apposer la main sur une zone spécifique de la poignée pour verrouiller ou ouvrir les portes. Plus pénible, mais aussi plus sûr.
Ce qu’on peut craindre
Ce phénomène pourrait prendre une autre tournure. Si les brouilleurs utilisés sur les voitures peuvent visiblement neutraliser les fréquences radio comprises entre 315 et 433 MHz (sur une portée de 30 à 50 mètres), on peut craindre que des boîtiers similaires existent pour pirater nos télécommandes de portails électriques ou encore de volets roulants. De quoi relativiser le discours très rassurant des fabricants de matériel de sécurité pour la maison.
source : radioalgerie.dz

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Le ministère de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville a mis en place une commission d’enquête pour définir les causes de l’effondrement, vendredi, d’une bâtisse en construction à El-Achour (hauteurs d’Alger), a annoncé samedi un communiqué du ministère relayé par l’Agence de presse algérienne (APS).
La commission est composée du directeur général de la construction et des moyens de réalisation, du directeur général de l’urbanisme et de l’architecture, et du directeur de l’habitat de la wilaya d’Alger, ainsi que du directeur de l’urbanisme et de l’architecture de la wilaya d’Alger, du directeur général du centre national de recherche appliquée en génie parasismique, du directeur du centre national d’études et de recherches intégrées du bâtiment et du directeur du laboratoire national de l’habitat et de la construction.
La commission s’est rendue sur place pour constater les dysfonctionnements au niveau de cette bâtisse et mettre la lumière sur les véritables raisons à l’origine de l’effondrement de cette construction pour établir les responsabilités,
« en proposant les mesures à prendre à l’égard des acteurs, après l’établissement des responsabilités », ajoute le communiqué.
source : huffpostmaghreb.com

Le gouvernement a maintes fois fait la promesse sans jamais la tenir par le passé. Il disait lutter contre la bureaucratie, tout en la renforçant.
Cependant, ces derniers mois, force est de constater que quelques promesses n’ont pas été vaines. Sitôt prises par le ministre de l’Intérieur, d’importantes décisions en rapport avec les services publics sont mises en oeuvre au grand bonheur des citoyens. La délivrance au niveau des APC du passeport biométrique, de la carte grise, de la carte d’identité nationale, dont on promet son passage à la biométrie dans moins de deux semaines, constitue une avancée notable, fortement appréciée par le citoyen. Il y a également l’allègement de nombre de dossiers administratifs. Bref, l’on a l’impression que le gouvernement a fini par réussir sa «mutation bureaucratique», avec plusieurs années de retard, mais c’est fait. Et c’est l’essentiel.
L’on aura appris, dans la foulée, que cette «petite» révolution contre la bureaucratie a été rendue possible grâce à la numérisation de l’administration centrale et locale, qui a fait de grandes avancées à la faveur d’une réelle volonté de donner au concept de e-gouverment tout son sens. L’Algérie est donc enfin, parvenue à une étape importante de son parcours pour une modernité véritable. Aujourd’hui, les Algériens savent que la fibre optique, l’Internet et l’Intranet ont des applications concrètes sur le terrain.
Cette étape devrait en appeler d’autres. En attendant, les citoyens applaudissent certes, mais demeurent quelque peu vigilants.
Combien de fois, ils ont vu la bureaucratie reculer pour mieux sauter. C’est un peu le sentiment général que nos reporters aux quatre coins du pays nous rapportent dans ce dossier.
Béjaïa : Les habitudes ont la peau dure
La complexité des procédures administratives et les parcours pénibles imposés au citoyen investisseur ou lambda font encore parler d’eux en cette période d’actions tous azimuts que la nouvelle autorité de wilaya affiche sur tous les plans.
De toutes les rencontres tenues aussi bien avec les investisseurs que les opérateurs économiques, les lenteurs administratives apparaissent aux premières loges dans la liste des contraintes évoquées. En dépit des mesures prises par les pouvoirs publics pour alléger toutes les procédures administratives, force est de constater que la réalité n’a pas suivi. Dans la wilaya de Béjaïa, le mal est profond. Entre les accusations des investisseurs et des citoyens, les bureaucrates ne se laissent pas intimider, évoquant la nécessité d’appliquer la loi dans toute sa rigueur. «Notre responsabilité nous impose de veiller scrupuleusement au respect des textes de loi, pour toute démarche d’investissement», indique ce fonctionnaire des domaines quant aux lenteurs, beaucoup de fonctionnaires mettent en cause le manque de personnel, qui fait l’étude et l’examen des dossiers de quelque nature que ce soit lesquels prennent plus de temps qu’il n’en faut.
«A certaine période nous sommes submergés de dossiers qu’il faut examiner minutieusement pour éviter des erreurs qui peuvent être préjudiciables aussi bien pour le citoyen que pour nous les fonctionnaires et lorsque vous ne disposez pas de personnel suffisant, il va de soi que les délais vont être plus longs», ajoute ce fonctionnaire de la wilaya qui précisera que souvent la lenteur ne relève pas de leur responsabilité. «Il arrive que ce sont les citoyens qui prennent énormément de temps pour compléter leurs dossiers pour ensuite nous accuser de blocage», souligne un employé chargé de l’étude des dossiers liés à l’habitat rural. «Parfois, les demandeurs mettent jusqu’à un mois et souvent plus que ça pour fournir une pièce nécessaire pour la validation de leurs dossiers, vous imaginez-vous tout le temps perdu?», souligne encore ce fonctionnaire. A Béjaïa, le parcours du combattant imposé aux citoyens, vécu et dénoncé journellement, commence, par les va-et-vient qui sont contraignants, surtout pour les villageois qui souffrent de l’éloignement de l’administration.
Le problème est aussi celui de la dépendance de certaines administrations de directions régionales qui se trouvent en dehors du territoire de la wilaya, soit dans la wilaya de Sétif.Les erreurs de transcription, comme ce fut le cas depuis l’arabisation de l’état civil dans notre pays sont décriées par le citoyen qui doit saisir la justice pour toute mesure de rectification, conformément à la loi, il se voit contraint à une attente très lente au point d’abandonner son propre projet.
Si depuis la numérisation de l’état civil et l’annulation de la légalisation des copies de documents administratifs, la situation s’est nettement améliorée, elle demeure cependant une réalité dans le domaine cependant d’investissements et de réalisations. Que dire d’un dossier d’investissement déposé depuis huit ans qui ne reçoit de réponse que la semaine dernière et quelle réponse puisque ce n’est ni plus ni moins qu’un ajournement. Pratiquement, aucun ne s’est félicité des facilitations de l’administration, bien au contraire, tous sont venus porter à la connaissance du premier responsable de la wilaya les embûches dressées sur leurs parcours respectifs.
source : l'expression

Pains aux raisins
Ingrédients (pour 8 personnes) :
Pour la pâte :
- 350 g de farine
- 1 sachet de levure de boulangerie
- 1 pincée de sel
- 50 g de sucre
- 1 sachet de sucre vanillé
- 50 g de beurre ramolli
- 12.5 cl de lait tiède
- 1 oeuf
Pour la garniture :
- 50 cl de crème pâtissière
- 100 g de noisettes moulues
- 100 g de raisins lavés et séchés
- 50 g d'amandes mondées et effilées.
Préparation de la recette :
Mélangez dans une terrine la farine tamisée avec la levure de boulangerie. Ajoutez le sel, le sucre, le sucre vanillé, le beurre, l'oeuf, le lait et mélangez le tout au batteur électrique (fouets pâte) jusqu'à ce que la pâte se décolle de la paroi de la terrine (6 minutes environ).
Couvrez avec un linge. Placez la terrine dans un endroit tiède et laissez lever la pâte pendant environ 50 minutes.
Pendant ce temps, préparez la crème pâtissière.
Laissez refroidir en remuant de temps en temps pour éviter la formation d'une peau. Quand le volume de la pâte a doublé, abaissez la pâte en forme d'un rectangle de 35 x 45 cm environ.
Recouvrez de crème pâtissière, puis répartissez les raisins secs et les noisettes. Enroulez la pâte dans le sens de la largeur et coupez des morceaux de 1 cm d'épaisseur. Disposez les pains aux raisins sur une plaque beurrée saupoudrez d'amandes et laissez à nouveau lever pendant 30 à 40 minutes.
Faites cuire à four moyen pendant 25 à 30 minutes.
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