Randonnée et tir à l'arc au niveau du barrage Keddara 15 Janvier 2022 Sorties été § Randonnées § activités diverses
Le CSG ( Club des sports de glisse ) vous propose une sortie randonnée et Tir à l'arc au niveau du barrage de Keddara
Départ à Samedi 22 Janvier 08h00 par bus au niveau de la cité AADL de bab ezzouar.
Au programme de la journée randonnée entre 12 et 15 km et Tir à l’arc.
Retour à Alger vers 17h00.
Le club assure le transport, l'encadrement et l'activité.
Le déjeuner est à la charge du participant.
Prix de la journée : 1500DA (1000DA pour les adhérents).05 49 89 29 97
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Synopsis et détails
A partir de 6 ans
Lorsque Flynn Rider, le bandit le plus recherché du royaume, se réfugie dans une mystérieuse tour, il se retrouve pris en otage par Raiponce, une belle et téméraire jeune fille à l’impressionnante chevelure de 20 mètres de long, gardée prisonnière par Mère Gothel. L’étonnante geôlière de Flynn cherche un moyen de sortir de cette tour où elle est enfermée depuis des années. Elle passe alors un accord avec le séduisant brigand… C’est le début d’une aventure délirante bourrée d’action, d’humour et d'émotion, au cours de laquelle l’improbable duo va rencontrer un cheval super-flic, un caméléon à l’instinct de protection surdéveloppé, et une drôle de bande de malfaiteurs
(Source allocine.fr)
Vendredi 16 janvier, samedi 17 janvier 2015 de 15h à 17h
Cinéma cosmos Riad el Feth
Prix du ticket: 200 Da
*L'entrée est gratuite pour les parents qui accompagnent leurs enfants.
Dès que les températures baissent, on a tendance à se jeter sur les bons plats traditionnels ! Sauf que, si jadis nos aïeuls avaient imaginé ces plats en sauces, plus riches et plus gras, c’était pour les aider à combattre le froid et gagner en énergie. Aujourd’hui, regardons la réalité en face : radiateurs, escalators, ascenseurs… on continue ? Nous n’avons plus besoin de combattre le froid comme avant. Résultat, on prend du poids. Découvrez tous les conseils du magazine mariefrance.fr pour dire bye bye aux kilos hivernaux.
1 Faites attention aux produits laitiers et à la viande
Oui, ça veut bien dire, moins de tartiflettes, raclettes et de fondues savoyardes. Si vraiment, vous ne pouvez pas vous en passer, essayez de ne pas dépasser un plat traditionnel par semaine. Idem pour la viande, le boeuf bourguignon une fois de temps en temps. Et évitez à tout prix la charcuterie. Privilégiez toujours les légumes comme vous le faites le reste de l’année.
2 Optez pour des légumineuses
c' est parfait si vous avez besoin de consistance. Idem avec les féculents (pâtes complètes s’il vous plait !). Ces familles d’aliments remplissent l’estomac et apportent beaucoup d’énergie grâce à leur forte valeur nutritionnel.
3 Dinez léger
On en revient à la raclette. Oui, c’est super les soirées entre amis, mais essayez autant que possible de faire un brunch raclette ou un lunch tartiflette. Le soir, on mange léger. C’est meilleur pour la ligne mais aussi pour le sommeil.
4 Mangez de la soupe aussi souvent que possible
C’est LE plat d’hiver que vous devez mettre à l’honneur. Il existe tellement de possibilités que vous pouvez varier les soupes chaque jour. Le soir ou en entrée (lors d’un repas plus officiel), la soupe est votre meilleure alliée. Si vous l’achetez toute faite, attention à la composition.
5 Buvez des tisanes et des infusions
Vous avez du mal à boire de l’eau fraîche avec la chute des températures ? Préférez alors les tisanes et les infusions. Tièdes, elles réconfortent et réchauffent tout en étant savoureuses. N’oubliez pas que ce n’est pas parce qu’il fait froid dehors que votre corps a moins besoin d’être hydratée.
6 Ne vous resservez pas
Attention aux quantités. Si vous avez l’impression d’avoir encore faim, ce n’est pas à cause du froid, vous vous trouvez dans une pièce chauffée. Identifiez d’abord d’où vient cette faim. Ce qui se trouve dans votre assiette n’est peut-être pas assez nutritif. Mieux vaut manger peu mais bien.
7 N’oubliez pas les fruits
Vous avez dit aurevoir aux fraises, aux framboises, aux melons, aux pastèques avec un peu de tristesse ? Vous trouverez forcément des fruits à votre goût pendant la saison froide. Pomme, poire, mandarine, clémentine, orange, kiwi, banane, litchi, pamplemousse… Faites le plein de fruits et donc de vitamines. Vous connaissez le dicton ? One apple a day keeps the doctor away (une pomme par jour garde le médecin à distance).
8 Sortez et bougez
Il est tentant de ne plus mettre le nez dehors quand il fait froid. On prend le bus ou la voiture plutôt que le vélo pour aller travailler, on passe son dimanche au coin du feu ou avec un plaid sur le canapé devant ses séries préférées. Forcez-vous à garder vos bonnes habitudes : c’est le moment d’explorer la forêt, de sortir les chiens, de profiter de l’air pur et frais. C’est bon pour le teint !
Les bienfaits du rire ne sont plus à démontrer, véritable antidépresseur naturel, le rire favorise la production d’endorphines, de sérotonine, de dopamine et de noradrénaline.
Une moyenne de 15 min de rire par jour aide à la détente et diminue l’anxiété, mais happé par les préoccupations du quotidien nous nous privons souvent de cet analgésique naturel.
Afin de pallier ce manque, nous vous proposons de découvrir le yoga du rire, cette appellation qui fait déjà sourire a été créée en 1995 par le docteur Madan Kataria à Mumbai en Inde, loin d’être une simple thérapie du rire, le yoga du rire est une approche innovante qui combine la respiration et le rire sous forme d’exercices physique, respiratoire et émotionnel !
Le premier club du yoga du rire a été lancé en Algérie grâce à Mme Nadia Ouamrane, le 8 mars 2017, Mme Ouamrane véritable passionnée de yoga a bénéficié de l’expertise de l'Ecole Internationale et Université Mondiale du Yoga du Rire à BANGALORE, (INDE) et a également été formée à l'Institut Français et International du Yoga du Rire et du Rire-Santé de la ville de Rennes !
Professeur/Formateur/Animateur International certifiée diplômée et agréée en yoga du rire thérapeutique, une expertise internationale qui lui a valu la distinction de la première « ambassadrice du yoga du rire en Algérie » décernée à la ville de Francfort en Allemagne, une réelle consécration pour Mme Ouamrane qui ne cesse de se perfectionner dans ce domaine, en ajoutant chaque année à son palmarès des diplômes et certifications, pour ne citer que quelques-uns : diplôme en Hatha yoga, yoga Nitra, yoga pour la femme enceinte, ou encore yoga pour les séniors.
Autant dire que c’est entre les mains d’une vraie experte dans le domaine que vous pratiquerez une thérapie de yoga du rire !
Pour plus d’informations sur le parcours de Mme Ouamrane Nadia et les inscriptions au club de yoga cliquez sur le lien suivant :
Esma Djigouadi
Des scientifiques de l'université de Columbia à New York ont examiné les journaux alimentaires de plus de 50 000 femmes.
Ils ont constaté que celles qui suivaient un régime avec un indice glycémique plus élevé (IG) étaient plus susceptibles d’avoir du mal à dormir. indique le site yahoo.fr
L'indice glycémique (IG) permet de mesurer l’impact des aliments riches en glucides sur le taux de glucose dans le sang. Les aliments à indice glycémique élevé, comme le pain blanc, les pâtes ou le riz, sont à l’origine de pics de glycémie.
« Lorsque la glycémie augmente rapidement, le corps réagit en libérant de l'insuline, et la baisse de sucre dans le sang qui suit peut entraîner la libération d'hormones, comme l'adrénaline et le cortisol, interférant potentiellement avec le sommeil », a déclaré l'auteur de l'étude, le Dr James Gangwisch.
L'insomnie touche un tiers des habitants au Royaume-Uni, d'après les statistiques de Bupa.
Aux États-Unis, 30 % des adultes ont du mal à s’endormir, et 10 % souffrent d’insomnie chronique, d'après l'American Sleep Association.
Des conditions médicales comme l'asthme, les maux de dos et la dépression peuvent être responsables, tout comme les horaires de travail particuliers, la sieste et certains médicaments, d'après la National Sleep Foundation.
En matière d’alimentation, l'alcool, la caféine et les repas copieux sont tous des déclencheurs reconnus.
D’autres études suggéraient déjà que les glucides raffinés pouvaient être à l’origine d'insomnie, mais les résultats étaient mitigés.
La plupart des essais étant de courte durée, on ignorait si les glucides raffinés déclenchaient ce trouble ou si les personnes qui avaient du mal à dormir mangeaient davantage d’aliments sucrées pour « rester éveillées toute la journée ».
Des scientifiques ont donc décidé de se pencher sur les habitudes alimentaires de dizaines de milliers de femmes ménopausées qui avaient participé à la « Women’s Health Initiative ».
Les résultats, publiés dans l’American Journal of Clinical Nutrition, suggèrent qu’une consommation supérieure de glucides raffinés avec un indice glycémique élevé stimule le risque d'insomnie.
En effet, les femmes qui consommaient le plus d’aliments à indice glycémique élevé étaient 11 % plus susceptibles de souffrir de troubles du sommeil par rapport à celles qui en consommaient moins.
Les sucres ajoutés et les céréales transformées se sont avérés particulièrement néfastes, tandis que les légumes et les fruits entiers (et non les jus) limitaient le risque.
« Les fruits entiers sont riches en sucre, mais les fibres qu'ils contiennent ralentissent le taux d'absorption et permettent d’empêcher les pics de glycémie », a déclaré le Dr Gangwisch.
« Cela suggère que les aliments fortement transformés qui contiennent de plus grandes quantités de sucres raffinés qu’on ne trouve pas dans les aliments naturels sont bien en cause ».
Les scientifiques espèrent ainsi aider les insomniaques à surmonter ce trouble sans avoir recours à des traitements.
« L'insomnie est souvent traitée à l’aide de la thérapie cognitivo-comportementale ou la prise de médicaments, mais ces solutions peuvent être coûteuses ou entraîner des effets secondaires », a déclaré le Dr Gangwisch.
« En identifiant d'autres facteurs à l’origine de l'insomnie, nous pourrions être en mesure de trouver des interventions simples et peu coûteuses associées à moins d'effets secondaires potentiels ».
« D’après nos résultats, il serait nécessaire de mener des essais cliniques randomisés afin de déterminer si une intervention diététique, axée sur l'augmentation de la consommation d'aliments entiers et de glucides complexes, pourrait permettre de prévenir et de traiter l'insomnie ».
Les scientifiques se sont uniquement penchés sur les habitudes alimentaires de femmes ménopausées, mais considèrent que les résultats s'appliquent également à d'autres populations.
Vous voulez la 3G ? Il faudra que vous changiez de numéro de téléphone
Les Algériens qui voudront s’abonner à la 3G devront changer de numéro. Ou, du moins, opter pour une autre puce avec deux numéros (l’ancien et le nouveau 3G. C’est ce qu’a indiqué, aujourd’hui à l’APS, Mohamed Toufik Bessai, président du Conseil de l’Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT).
«L’ARPT a décidé de dédier une numérotation spéciale à la 3G+, conformément au cadre juridique algérien en vigueur, qui prescrit qu’il ne peut y avoir qu’une licence par segment ou technologie. Il n’y aura, donc, pas de numérotation 2G-3G commune», a-t-il précisé. Ce changement n’est pas dû à des contraintes techniques, mais d’après Bessai, ce choix est motivé par le souci d’éviter «des comptabilités opaques». Comme si tous les autres pays où le les numéros 2G compatibles avec la 3G étaient laxistes en matière de comptabilité.
Le patron de l’ARPT a annoncé de son côté que le lancement de la 3G s’est fait en se basant sur «l’arsenal législatif et réglementaire actuel». Et c’est là où se pose le problème. Comme les trois opérateurs ne couvriront pas tous le territoire national – chacun des opérateurs devra couvrir séparément un nombre de wilayas – les citoyens seront, dans bien des cas, dans l’obligation d’opter pour un autre opérateur, d’autant plus que la portabilité (changer d’opérateur sans changer de numéro) n’est pas autorisée en Algérie.
Cette contrainte n’est pas du goût de tout le monde, notamment des opérateurs comme Nedjma Ooredoo. Son directeur général Joseph Ged, a estimé que le changement était inutile, voire handicapant, et a même expliqué jeudi soir à Maghreb Emergent qu’il s’y opposait. “Des informations circulent que l’Autorité de régulation (ARPT) a décidé d’aller vers un deuxième numéro pour la 3G. Si ces informations venaient à se confirmer, Ooredoo s’oppose à cette démarche. Nous ne voyons aucune raison logique derrière cela, ni aucun avantage pour les usagers algériens dans cette décision d’avoir deux numéros séparés. Parce que cela va engendrer une puce et un abonnement additionnels, ainsi qu’un coût de téléphone supplémentaire. Finalement cela occasionnera des coûts d’acquisition et des coûts de services pour les Algériens. C’est contre toute la logique de démocratisation du haut débit” a-t-il confié au média économique.
Ce dernier a également expliqué que l’excuse de la comptabilité n’était pas solide. « Ce que j’aimerais vous préciser, c’est que l’existence de deux numéros distincts, l’un pour la 2G et l’autre pour la 3G, n’a rien à avoir avec la séparation des chiffres d’affaires. Je vous donne un exemple : si un appel est lancé dans une zone de couverture 3G et qu’il est poursuivi dans une zone 2G, l’obligation pour les opérateurs, et là je parle de Ooredoo, est de ne pas faire tomber l’appel, et de permettre à l’usager de continuer son appel sans interruption en le balançant sur le réseau 2G. La comptabilité analytique nous impose de faire la distinction entre les deux chiffres d’affaires des communications passées en 2G et celles effectuées en 3G », précise la même source. Et d’ajouter : “Donc, quand un numéro 3G sort de la zone 3G couverte par un opérateur, il va basculer systématiquement sur le réseau 2G. Nous avons expliqué cela (à l’ARPT, ndlr) à plusieurs reprises, que deux numéros distincts (2G et 3G) cela ne donne pas une comptabilité analytique. Alors pourquoi on veut compliquer la vie aux abonnés, je ne sais pas… “
En somme, le pays a opté pour la 3G sans pour autant faire évoluer sa législation. Par ailleurs, celui-ci, tous comme d’ailleurs la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Mme Zohra Derdouri, a confirmé que le lancement de la 3G ne se fera pas ce 1er décembre, mais la fin du mois, pour étre en adéquation avec la réglementation des télécoms. La raison est liée au retard mis dans l’officialisation, par le biais d’un décret, de l’attribution des licences aux trois opérateurs. «La téléphonie mobile 3G+ ne pourra être lancée qu’une fois le décret exécutif d’octroi de la licence signé et notifié aux trois opérateurs (Mobilis, Ooredoo et Djezzy)», a déclaré, de son côté Derdouri dans un entretien à l’APS. En tout cas, elle promet que cela ne saurait tarder et que la 3G sera disponible avant la fin de l’année.
www.algerie-focus.com
source phot : alger-info.com
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