
Le film « PAPICHA » représentera l’Algérie aux Oscars 2020. Pour le prix du Film International (Anciennement Film en Langue Étrangère)
Ce premier long-métrage de la réalisatrice Mounia Meddour (Fille du défunt Cinéaste Azzedine Meddour) a été présenté au festival de Cannes dans la section "Un Certain Regard"
Pour rappel le film PAPICHA, coproduit entre l’Algérie et la France par Belkacem Hadjadj et Xavier Gans retrace la vie de quatre jeunes étudiantes algériennes qui souhaitaient organiser un défilé de mode en haik en plein période de terrorisme. Mounia Meddour apporte un regard « insoumis, libre et résistant ». Mais surtout un regard courageux de cette Algérie des années 90.

Allez vers la découverte florale : Flowers By Saida B. organise une séance où vous façonnerez vous- même votre bouquet tout en découvrant les différentes fleurs dont il sera composé et comment mieux l’entretenir.
Durée : 2h
Prix : 4 500 DZD
Nombre de participants : 6 personnes (Respect des mesures préventives 2019-nCoV)
Lieu : El biar

German Festival Algeria organise une soirée caritative OKTOBERFEST 2019 le 31 octobre 2019 au niveau du chapiteau de l'hotel Mercure (Bab Ezzouar)
Cet évènement sera l'occasion de découvrir le groupe LADIES LIVE BAND qui viennent directement d'Allemagne.
Un grand diner/buffet avec boissons a volonté sont inclus lors de cet évènement caritatif.
Vous pouvez récupérer vos billets d’accès au niveau de:
l’agence Lufthansa à Sidi Yahia.
AHK Chambre Algéro-Allemande
Rue Rabah Bourbia, El-Biar (023389102)
Prix : 5000 Da
Pour toute information contactez-nous par mail: events.algerie@dlh.de ou par téléphone au 0770608618.

Les déboires des passagers d’Air Algérie se suivent et se ressemblent sans qu’aucune initiative ne semble avoir été prise pour améliorer la situation. Hier encore, des dizaines de passagers à destination des Lieux Saints pour effectuer leur «Omra» ont vécu un véritable calvaire.
Les passagers du vol d’Air Algérie AH 4628 Oran-Médine en Arabie Saoudite, n’oublieront pas de sitôt les dernières 24 heures. Initialement prévu le lundi à 18h, leur avion ne décollera, finalement, que le lendemain mardi à 7h avec plus 12 heures de retard. Selon des témoignages qui nous sont parvenus de passagers, le vol direct Oran-Médine devait en principe décoller le lundi à 18h.
«Finalement nous avons été informés que le vol a été retardé à 21h, puis à 23 h», assure notre source. Et d’ajouter : «on croyait que notre calvaire allait prendre fin à 23 h, malheureusement ce ne fut pas le cas». Sans aucune information, les passagers, dont de nombreuses personnes âgées, ont dû passer une nuit d’angoisse, parfois à même le sol de l’aéroport, à attendre la fin de leur souffrance.
La mésaventure a été, d’autant plus mal vécue que les passagers n’ont pas eu les informations nécessaires pour expliquer la situation et encore moins bénéficié d’une prise en charge, en attendant la confirmation définitive du départ, témoigne notre source.
Le lendemain, à 7h, les passagers ont pu, enfin, embarquer. « Alors que nous nous attendions de rallier directement Médine, nous avons été informés que l’avion effectuera une escale technique à Alger.
Après l’atterrissage à Alger, nous avons été retenus plus d’une demi- heure pour permettre aux techniciens d’effectuer une inspection alors que nous étions, toujours, à bord de l’avion», ajoute notre interlocuteur.
Le supplice des passagers ne s’arrêtera pas là, puisque au moment où l’avion allait décoller, les passagers ont constaté qu’ «une fumée noire se dégageait d’on ne sait où, ce qui a obligé le pilote à mobiliser l’avion sur la piste». «Je vous laisse imaginer la panique à bord», indique notre interlocuteur. Outrés par ce qu’ils qualifient d’épisode «scandaleux», les passagers ont refusé de quitter l’avion sans au préalable avoir des assurances quant à leur prise en charge sérieuse. Jusqu’aux environs de 13h (mardi) les passagers étaient toujours à bord de l’avion. Ce qui devait être un simple vol, entre Oran et Médine s’est transformé en véritable cauchemar.
source : lequotidien-oran.com

Quatorze (14) projets d’investissement dans le domaine d’exploitation des bassins du « poisson docteur » ont été concrétisés dans plusieurs wilayas, ont indiqué samedi à Guelma les participants à une rencontre d’étude sur les « avantages thérapeutiques des poissons des eaux douces ».
Les participants aux travaux de la troisième édition de cette rencontre nationale organisée au complexe de Hamam Ouled Ali dans la commune d’Héliopolis en collaboration avec la direction locale de la pêche des ressources halieutiques et plusieurs instances et activant dans le domaine, ont précisé que ces projets ont été concrétisés dans les salons de beauté, dans les hôtels et les cliniques médicales des wilayas de Guelma, Annaba, Oran, Alger, Blida, Sétif, Batna, Chlef et Mostaganem.
Dans une déclaration à l’APS, le gérant d’une entreprise privée spécialisée dans l’élevage des poissons Garra Rufa appelé « poisson docteur » et le montage des équipements des bassins, M. Yazid Meskini a déclaré que cette entité était la « seule » qui fait l’élevage local de ce type de poissons, autrefois importé , ajoutant que cette entreprise reçoit plusieurs demandes de la part d’investisseurs depuis plusieurs régions du pays désireux d’intégrer le service « ’poisson médecin » dans leurs cliniques, leurs hôtels ou encore leurs salons de beauté.
De sa part M. Salah Eddine Oudayniya, vétérinaire auprès de la direction locale de la pêche a précisé dans son intervention relative « aux poissons aux vertus thérapeutiques » qu’il existe « des catégories de petits poissons dont le volume oscille entre 7cm et 15cm s’adaptant avec le caractéristiques naturelles dont disposent les complexes thermaux de l’Algérie pouvant vivre dans des températures d’eau avoisinant les 40 degrés ».
Les « Garra Rufa » et « l’Oreochromis niloticus » figurent parmi les « principales catégories de poissons vivant dans des eaux tièdes à chaudes et s’alimentent des cellules cutanées sèches et mortes », a -t-il détaillé, ajoutant que la méthode de traitement avec des poissons est connue depuis les années soixante (1960) dans plusieurs pays du monde à l’instar de la Turquie, la Thaïlande et le Royaume Uni.
De son côté, la présidente de l’association de protection de l’environnement « La planète bleue », Mme Mounira Seridi a considéré que l’idée de ce type de bassins peut être concrétisée dans plusieurs régions touristiques du pays notamment Guelma réputée par ses stations thermales, ajoutant que cette initiative constitue « une occasion pour promouvoir le tourisme thérapeutique et diversifier les ressources de ces complexes ».
Selon le directeur local de la Pêche, Djamel Tabarkoukt, cette initiative a pour but de développer l’aquaculture aux vertus thérapeutiques comme un nouveau créneau d’investissement en vue de sa généralisation à travers les quatre coins du pays, précisant que cette troisième édition a été marquée par la participation de chercheurs, investisseurs et instances administratives, économiques et scientifiques des wilayas de Tipasa, Blida, Alger, Tizi Ouzou, Sétif, Annaba et Skikda.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.