Société générale a organisé le jeudi 7 janvier à l'institut français d'Alger, une cérémonie de remise des prix aux lauréats de la troisième édition de son concours « Jeunes Artistes Peintres », présidée par Mr Eric Wormser, Président du Directoire.
La Société Générale se veut un tremplin pour l’émergence des talents prometteurs algériens dans l’Art contemporain .Le concours a vu la participation d’une centaine d’artistes, entre amateurs et professionnels.
Les œuvres d’enfants en difficulté issus des associations Chems , Anit, Alif et AEPF, ont été exposées durant cette soirée. Société Générale œuvre à soutenir les efforts louables de ces enfants et à réussir leur insertion , notamment dans le monde artistique.
Le magazine ZEINELLE et l’ensemble de l’assemblée présente ont été unanimes pour reconnaitre le talent certains de ces enfants.
Le jury composé de personnalités et d’experts du monde artistique, a rendu son verdict en dédiant le premier prix à Lamine Sakri, d’El Tarf, le second à Djamel Talbi de Sidi-Idir ( petite kaylie) et le troisième à Ahmed Mebarki de Tizi –Ouzou.
Les enfants lauréats ont également reçu leurs prix et des cadeaux de félicitations.
Une cérémonie conviviale et réussie, avec en fin de soirée le partage du gâteau d’anniversaire, célébrant la 15 éme année de Société Générale en Algérie.
Le magazine ZEINELLE souhaite bonne chance aux lauréats pour d’éventuelles représentations de notre Art contemporain, notamment à l’étranger.
Bessaha Nadia

Omra : 32 pèlerins algériens ont perdu la vie depuis janvier 2014
Source : algerie-focus.com
Le nombre de pèlerins algériens, qui ont trouvé la mort sur les Lieux saints depuis janvier 2014, est en augmentation par rapport à l’an dernier.
“32 décès ont été enregistrés parmi les pèlerins algériens effectuant la Omra aux Lieux saints en Arabie saoudite durant cette saison”, a indiqué jeudi Cheikh Berbara, le directeur de l’Office national du Hadj et de la Omra (ONHO), en marge de la journée d’étude organisée au profit des agences de voyages agréées par l’organisation du Hadj et de la Omra 2014. C’est plus qu’en 2013, où 23 voyageurs algériens avaient perdu la vie.
Encadrement défaillant : 7 agences mises en cause
En cause : sept agences de voyage qui ont “commis des défaillances en matière d’encadrement des Algériens dans les Lieux saints de l’Islam durant la saison 2014″, soutient le directeur de l’ONHO. Le “manque” d’encadrement par les agences de voyage des pèlerins algériens à Médine et à la Mecque sont “à l’origine des décès et des maladies enregistrés à Djeddah, à la Mecque et à Médine”, a-t-il ainsi affirmé.
97 passeports perdus
Ces manquements ne resteront pas impunis, assure l’Office national du Hadj et de la Omra, qui dit avoir reçu le feu vert du Premier ministre pour mettre fin à cette incompétence. “Des mesures seront prises contre ces sept agences pour non respect du contrat conclu avec l’ONHO”, garantit son directeur, qui estime qu’il est “inadmissible de rester impassible face à ces comportements irresponsables et inhumains”.
Concernant les 97 algériens restés coincés en Arabie Saoudite en raison de la perte de leurs passeports, Cheikh Berbara a indiqué que le Consul général avait mis beaucoup de temps pour connaître les noms de ces personnes et celui de l’agence qui avait organisé leur séjour, regrattant au passage que l’encadrement des pèlerins soit “devenu une opération purement commerciale”. Il a toutefois rassuré les pèlerins concernés : leurs passeports “seront récupérés prochainement par voie diplomatique”.
Malgré une organisation défaillante, quelques 8.800 pèlerins algériens ont effectué la Omra jusqu’à présent cette année, ce qui fait de l’Algérie le 2ème contingent en nombre de pèlerins pour la Omra 2014, précise Cheikh Berbara.
Avec APS
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Le café, une boisson si mystérieuse, noir comme les plus froides nuits d’hiver. Aussi bien utilisé pour la divination que pour se réchauffer. Un focus sur la découverte de la boisson la plus consommée au monde après l’eau. L’histoire du café si mystérieuse et remplie de légende, est bien probablement encore méconnue de nos jours, puisqu’avec le temps maintenant les mythes et les histoires vraies sont totalement mêlés.
Si bien que même les historiens hésitent tous pour raconter l’histoire du café tant celle-ci est sinueuse, remplie d’anecdote. Mais aussi comment respecter cette longue et merveilleuse histoire du café.
Ici nous nous attarderons plus particulièrement sur la découverte du café en tant que tel et non pas à son expansion à travers le monde. ( cafesmiguel.fr )
Le berger Kaldi
C’est une histoire racontée depuis la nuit des temps, autrefois dans les petits cafés d’Orient dans des grandes cités comme Istanbul, Damas ou La Mecque. C’est la fabuleuse histoire du berger Yéménite Kaldi. C’est une légende qui sans doute tire une partie de son histoire de fait réel. Déclinée en plusieurs versions cette vieille légende se trouve dans un conte des Mille et Une Nuits.
Ce berger Kaldi laissait paître ses nombreuses chèvres dans les montagnes entourant sa propriété. Mais il s’aperçut peu de temps après que ses bêtes gambadaient et sautaient avec joie toute la journée, mais aussi la nuit ! Elles l’empêchaient de dormir et de se reposer.
Il alla donc voir quelques santons d’une confrérie religieuse pour leur raconter son problème. Ceux-ci décidèrent d’observer ces fameuses chèvres sauteuses. Ils constatèrent très rapidement que les chèvres semblaient se régaler de petits fruits rouges ressemblant à des cerises, provenant d’un arbuste poussant masse dans la région.
Ils en goutèrent tel quel et se sentirent tous emplis aussitôt d’une énergie débordante. Ces cerises dorénavant les soutiendraient lors des longues sessions de prières et d’exercices pieux.
C’est une des dizaines d’histoires contant la naissance de notre breuvage noir, mais sans doute la plus connue. Certainement fausse puisque les historiens, et autres personnes du métier s’accordent tous à dire que la naissance du café est à situer en Ethiopie le berceau de la première espèce de caféier cultivé (Arabica – Ethiopian) ainsi que l’origine de café comme on le connaît.
Pourtant c’est bien au Yémen qu’il connut son essor. Comment ? C’est grâce à un personnage illustre du café, la première personne importante du café.
Ali ben Omar al-Shadili
La plus grande des croyances arabiques veut que ce soit le grand maître d’un ordre mystique : les Soufis. C’est le maître Ali ben Omar al-Shadili, qui fut surnommé un peu plus tard le « saint de Moka ».
D’abord il vécut de nombreuses année en Ethiopie (c’est là qu’il connut sans aucun doute notre café), ensuite il s’exila prêt d’un port yéménite pour fonder sa communauté ou très peu de temps après s’éleva la fameuse ville de Moka.
C’est à ce point que nous faisons des analogies avec l’histoire du berger Kaldi. Le breuvage l’aida lors de ces longs exercices pieux pour rester éveiller. Le plus grand exemple fut lors de la cérémonie du « DHIKR », qui – celui-ci – devait le mener à force de nombreuses incantation et prière à une nouvelle forme de mysticisme et de puissance spirituelle.
Un jour lors d’une rencontre fortuite avec un capitaine d’un navire indien, notre saint homme de Moka, offrit un café à celui-ci qui était atteint de langueur et de fatigue. Le capitaine ressenti instantanément les effets, mais aussi reconnue le breuvage comme un met délicieux. La machine était lancée et la réputation du liquide s’étendit très rapidement en orient.

L’Institut français d’Algérie, dans le cadre de sa politique de coopération et d’action culturelle, apporte son soutien aux doctorants algériens par le biais du programme de bourses algéro-français Profas B’’, a indiqué un communiqué de l’ambassade de France à Alger. L’appel à projets est ouvert du 1er au 31 mai 2015 au titre de l’année universitaire 2015-2016.
Le programme Profas B+ «apporte un appui à la formation et à la recherche par l’octroi de bourses de 7 à 12 mois sur l’année universitaire 2015-2016, financées à parité par la France et l’Algérie, destinées aux enseignants et aux jeunes doctorants en co-encadrement ou en cotutelle de thèse», précise le communiqué. Seront privilégiées cette année les candidatures qui proposent une recherche innovante et celles qui s’inscrivent dans l’une ou plusieurs thématiques relatives au développement du numérique, à la protection de l’environnement et au développement durable (lutte contre le réchauffement climatique, énergies renouvelables, protection du milieu marin et du littoral, risques naturels, etc.) .
Source Algérie Patriotique.

Les droits des femmes ne sont pas seulement une cause ; c'est aussi une affaire personnelle, chacune de nous a un rôle à jouer dans la société.
Afin de célébrer cette journée, le Sofitel organise une expo/vente du 07 au 08 Mars, intitulée « L’artisanat facteur d’émancipation », le but et de promouvoir l’entreprenariat féminin dans le secteur de l’artisanat.
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