
Il est non seulement Imam, il est aussi le Président du Syndicat des Imams. Son nom est Cheikh Djelloul Hadjimi, imam de la mosquée El-Ouartilani du Télemly (Alger).
Ainsi, selon ce Monsieur, le Choléra est “un don de dieu, car Dieu quand il aime un peuple, il l’accable”. Un genre de bénédiction dirons-nous.
C’est ce que nous rapporte la célèbre blogueuse Taous Ait Mesghat. Il se trouve que Taous vit à Telemly et cette phrase fait partie d’un prêche de cet Imam prononcé, vendredi 24 août.
A peine 24h après la révélation sur l’épidémie de Choléra qui frappe pas moins de 6 wilayas et dont le dernier bilan (joint) du ministère de la Santé révélé samedi 25 août, indique que la situation s’est aggravée : 139 cas dont 70 confirmés.
L’éminent homme de religion ne s’est évidemment pas arrêté en si bon chemin puisque comme tout bon imam, ses compétences vont de la biomécanique aux mécanismes de reproduction des céphalées, en passant par la fusion nucléaire.
Et à l’occasion de cette épidémie hautement contagieuse et mortelle, ce Monsieur, en bon connaisseur de l’épidémiologie a expliqué à ses fidèles ce qu’il faut faire en cas de contamination :
- 7 dattes le matin.
- Les deux derniers versets de sourate “El Baqara”.
- Et beaucoup de “Douâas” (invocation) avant le crépuscule.
Il poursuit, indiquant que le “Traitement” doit se faire “selon les directives de la médecine prophétique”. Soit, beaucoup d’eau bénite avec une “Roqia”.
Et il chute enfin, sa brillante intervention, en recommandant qu’en cas de décès, il faut juste remercier dieu en disant : « El Hamdoulah ».
La Bédouinisation, le Choléra, le Moyen-âge, en fait, l’Algérie est en plein dedans !
marevuedepressedz.com

Les avis des partis de l’opposition sont partagés sur la proposition faite, hier, par le vice-ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, quant à l’application de l’article 102 de la Constitution pour faire partir le président Bouteflika. Si certains d’entre eux qualifient cela d’avancée tout en réclamant des mesures complémentaires, d’autres crient carrément au coup d’état.
RCD : “Un coup d’État contre le peuple”
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie a qualifié hier de “coup d’État” la suggestion du chef d’état-major des forces armées, Ahmed Gaïd Salah, d’appliquer l’article 102 de la Constitution pour dénouer la crise profonde qui secoue le pays. Pour cette formation, l’appel de Gaïd Salah, qui a jugé “nécessaire, voire impératif d’adopter une solution (…) stipulée dans la Constitution dans son article 102”, prend les relents d’un coup d’État. “Gaïd Salah tente un coup d’État contre la volonté populaire. Cet homme est partie prenante de nos malheurs, il ne peut aucunement être la solution”, souligne Yacine Aissiouane dans une déclaration publiée sur sa page facebook. Selon lui, le recours à l’article 102 vise à “sauver le régiment”. “Il ne s’agit plus pour eux de sauver le soldat Bouteflika, mais d’organiser le sauvetage du régiment.” “Ceux qui se sont rendus complices, par leur trahison légendaire, auront à répondre de leurs actes ignobles devant le tribunal de l’histoire. Ils veulent une passation de consignes à l’intérieur du même système”, soutient-il encore, avant de rappeler l’exigence du parti qui fait écho aux aspirations du peuple algérien qui manifeste en masse depuis le 22 février dernier. “Nous exigeons une transition démocratique qui pose les fondations de l’Algérie nouvelle”, rappelle-t-il. À noter que le président du parti, Mohcine Belabbas, organise, aujourd’hui mercredi, une conférence de presse au siège du parti à El-Biar.
K. K.
Soufiane Djilali, président de Jil Jadid : “C’est un acquis, mais ce n’est pas la fin du parcours”
Réagissant à la proposition du chef d’état-major, vice-ministre de la Défense nationale, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, a estimé qu’avec l’appel à l’application de l’article 102 de la Constitution, “nous sommes dans une nouvelle phase de la crise que nous vivons”. Il a rappelé que “les revendications du peuple étaient non au 5e mandat, pour le départ du système, mais aussi pour une Algérie libre et démocratique, soit une 2e République qui reconnaîtra la souveraineté du peuple”. “Le 5e mandat a été abandonné, le gouvernement d’Ouyahia est tombé, et de ce fait, les cercles du système sont tombés dans une crise. Aujourd’hui, c’est l’isolement du Président. C’est un pas, mais ce n’est pas la fin du parcours”, a encore dit M. Djilali, ajoutant que “les Algériens commencent à arracher des acquis” parce qu’ils “sont unis”. “La pression exercée sur le pouvoir commence à porter ses fruits”, a-t-il encore soutenu, indiquant qu’aujourd’hui, “nous sommes dans une nouvelle phase”. “Si la Constitution est appliquée à travers son article 102, c’est le président du Sénat qui prendra les rênes, avec le maintien du gouvernement et les institutions actuelles, et ils vont tenir des élections présidentielles sous leur houlette”, a dénoncé M. Djilali, estimant que ni le peuple et, encore moins, l’opposition n’accepteront cet état de fait. “Nous avançons pas à pas et nous devons maintenir la mobilisation et la pression sur le système”, appelle-t-il, soutenant que “vendredi sera un autre jour de mobilisation, donc soyons au rendez-vous pour assurer d’autres victoires”.
Mohamed Mouloudj
Hakim Belahcel, Premier secrétaire du FFS : “Un coup de force contre la volonté populaire”
Le tout nouveau premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), le Dr Hakim Belahcel, a qualifié l’appel lancé par le chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, à l’application de l’article 102 de la Constitution contre le président Bouteflika, de “grave atteinte à la dignité du citoyen” et de “coup de force contre la volonté populaire”. “C’est encore un coup de force contre la volonté populaire, sur la légitimité des revendications du peuple, à savoir le départ du système et de ses hommes, et pas seulement du chef de l’État”, dénonce le Dr Belahcel dans un communiqué. Et d’enchaîner : “L’option de l’application de l’article 102 de la Constitution n’est pas la solution demandée par le peuple algérien, l’armée vise à étouffer le mouvement populaire et à permettre au système de se pérenniser. L’article 102 ne répond plus aux revendications du peuple algérien, le peuple veut contrôler son destin, prendre en charge son avenir, un avenir de libertés, de justice sociale, de dignité.” Pour le premier secrétaire du FFS, la décision de Gaïd Salah est la preuve que “l’institution militaire ne s’est pas retirée du politique” et “s’ingère, encore une fois, dans le processus constitutionnel, et ne répond pas aux revendications du peuple algérien qui demande le changement du système, et non un changement dans le système”. Un changement qui, de l’avis du Dr Belahcel, “ne peut se faire en maintenant les instruments et les hommes qui incarnent le système”.
A. CHIH
Ali Benflis, président de Talaie el-Houriat : “Pour la satisfaction de toutes les revendications légitimes du peuple”
Premièrement, je saisis cette occasion pour saluer le peuple algérien dont la révolution pacifique a permis que souffle sur le pays le vent de la liberté et que l’Algérie prenne le chemin de l’édification d’une République démocratique et moderne et d’un État de droit respectueux de la souveraineté populaire, de la citoyenneté, des droits et des libertés. Deuxièmement, je retiens l’intention de l’ANP d’assumer son devoir patriotique en apportant sa contribution à une sortie de la crise actuelle, devenue d’une urgence extrême et de nature à épargner au pays une instabilité croissante porteuse de tous les dangers. Troisièmement, je prends note de l’engagement de l’ANP — selon sa propre déclaration — à apporter son soutien à un règlement “qui garantisse la satisfaction de toutes les revendications légitimes” du peuple algérien et “acceptable” pour tous. Quatrièmement, compte tenu de la situation exceptionnelle que vit notre pays, la mise en œuvre de l’article 102 de la Constitution n’est pas susceptible de constituer à elle seule une base — toute la base — pour le règlement de la crise. De ce point de vue, l’application de l’article 102 devra impérativement être adaptée de manière que soient respectées les conditions de transparence, de régularité et d’intégrité que le peuple réclame, afin de pouvoir exprimer son choix librement et sans contrainte et sans tutelle. Cinquièmement, je forme, de toutes mes forces, le vœu que le règlement de la crise actuelle fournira des bases saines et solides à la refondation future de notre système politique que notre peuple demande.
R. N.
Mouvement de la société pour la paix : “D’autres mesures doivent intervenir”
à l’issue de la réunion de son bureau exécutif, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a estimé que l’application de l’article 102 de la Constitution est une “proposition de solution”, mais celle-ci ne garantit pas “la réalisation des réformes, la transition politique et l’organisation d’un scrutin présidentiel honnête”. Pour la formation d’Abderrezak Makri, le rôle de l’Armée nationale doit être circonscrit à celui “d’accompagnateur, afin d’arriver à une solution politique et à un consensus national et de préserver le caractère civil de l’État”. Le MSP est d’avis que l’appel du chef de l’état-major de l’armée et vice-ministre de la Défense, Gaïd Salah, doit immédiatement être suivi de mesures qui répondraient aux autres revendications du peuple en prenant aussi en compte les propositions de sortie de crise de l’opposition, et ce, avant la confirmation de l’état d’empêchement par le Conseil constitutionnel. Le MSP cite la nomination d’un chef de gouvernement consensuel, la mise en place d’une commission indépendante d’organisations des élections, la révision de la loi électorale et l’élaboration et la promulgation de décrets garantissant l’indépendance de la justice, la protection des richesses nationales et l’ouverture du champ médiatique. En guise de pression pour atteindre ces objectifs, ce parti appelle à la poursuite de la contestation populaire, tout en préservant son caractère pacifique.
Nissa H.
Lakhdar Benkhellaf, député du FJD-El-Adala : “L’application du seul article 102 de la Constitution n’a pas de sens”
Le parti d’Abdallah Djaballah, le Front de la justice et du développement (FJD)-El-Adala, n’est pas satisfait de l’annonce faite hier par le chef d’état-major, Ahmed Gaïd Salah, appelant à l’application de l’article 102 de la Constitution visant à écarter le président Bouteflika du pouvoir. “C’est un non-sens. Nous ne sommes pas satisfaits car nous ne voulons pas qu’une personne, qui a géré et participé à l’exercice du pouvoir, puisse gérer la période de transition”, lance le député d’El-Adala, Lakhdar Benkhellaf. Pour lui, l’actuel président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, ne peut assurer l’intérim présidentiel pour deux raisons : la première est d’ordre juridique. “Le président de la 2e Chambre du Parlement n’a pu obtenir sa nationalité algérienne qu’en 1965.” La deuxième raison tient au fait que “le peuple refuse que les gens qui nous ont menés à l’impasse dans laquelle se trouve le pays aujourd’hui puissent gérer la période de transition”. La solution ? “Il faut appliquer les articles 102 et 07 de la Constitution qui donneront de larges prérogatives au peuple algérien pour choisir librement ses dirigeants”, propose M. Benkhellaf, qui a mis sur la table une autre proposition : la mise en place d’une instance constituée de personnalités propres pour gérer la période de transition.
source : Liberte-algerie.com

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Du mardi 01 juin au samedi 31 juilletà la médiathèque de l'Institut français d'Alger La médiathèque met en lumière le travail de ses jeunes artistes adhérents et leur propose un espace d’exposition et d’ateliers durant tout le mois de juin et se prolonge jusqu’au mois de juillet pour faire connaitre leur talent.
EXPOSITIONS « MÉDIATH’ART » :
Depuis 2018, La médiathèque de l’Institut français d’Alger a mis en place une parenthèse d’art plastique, une bulle d’expression libre au profit d’artistes professionnels ou amateurs souhaitant partager leurs créations avec les adhérents de la médiathèque.
A l’occasion de l’événement « LE MOIS DE L’ARTISTE » la médiathèque accueille 2 artistes peintres :
Ségolène GOSSET, graphiste de formation, peintre, illustrateur, photographe et spécialiste dans la communication d’entreprise, propose une exposition de tableaux de peinture intitulée : « REGARDS SUR L’ALGERIE ; 3ANS DE NOUS », à la médiathèque l’Institut français d’Alger, du mardi 1er juin au mercredi 30 juin 2021.
Meriem AOUES MOHLI, artiste peintre autodidacte, depuis sa tendre enfance propose une exposition de tableaux de peinture intitulée : « L’ART DE L’ABSTRAIT AU FIGURATIF », à la médiathèque l’Institut français d’Alger, du jeudi 1er au samedi 31 juillet 2021.
ATELIERS :
• PEINDRE UNE FRESQUE AVEC L’ARTISTE SEGOLENE GOSSET (Atelier jeune public)
Ségolène vous propose une découverte de l’Algérie, ses personnages et ses monuments à travers une grande fresque (coloriage XXL) qui sera installée sur un mur au niveau du jardin de l’IFA, suivie d’un jeu avec les enfants (Jeu de cartes : Les 7 familles).
Atelier adressé aux enfants âgés de 5 ans et plus.
Date : Mardi 8 juin 2021 à partir de 14h00 au niveau du jardin de l’IFA.
Sur réservation à partir de la page Facebook de la médiathèque (20 personnes maximum)
• PEINDRE AVEC L’ARTISTE SEGOLENE GOSSET (Atelier grand public)
Ségolène vous propose un atelier de 2 jours pour apprendre à peindre. Elle vous donnera les techniques de base et indispensable pour la peinture à l'huile et à l'acrylique et elle vous aidera à réaliser une belle œuvre.
Atelier adressé aux adultes (à partir de 17 ans).
Date : Dimanche 13 et lundi 14 juin 2021 à partir 10H00 (espace France contemporaine)
Sur réservation à partir de la page Facebook de la médiathèque (6 personnes maximum)
• PEINDRE « LE PETIT BERNOUSE BLANC » AVEC L’ARTISTE MATHILDE Gizon (Atelier jeune public)
Mathilde vous propose une découverte de l’Algérie à travers les illustrations de son livre « Le petit bernouse blanc ». Les enfants seront invités à peindre à leur manière le personnage principale «Amira ».
Atelier adressé aux enfants âgés de 4 à 10 ans.
Date : Mardi 8 juin 2021 à partir de 14h00 au niveau de la médiathèque.
Sur réservation à partir de la page Facebook de la médiathèque (8 personnes maximum)
Une vente dédicace du livre « le petit bernouse blanc » sera programmée à 13h00 au niveau de la médiathèque de l’IFA.
• PEINDRE AVEC l’ARTISTE MERIEM AOUES MOHLI (Atelier grand public)
Meriem vous donnera, à travers cet atelier, les techniques de base et vous aidera à peindre facilement à l'acrylique pour réaliser une belle œuvre.
Atelier adressé aux adultes (à partir de 17 ans).
Date : Mardi 06 juillet 2021 à partir de 09h00 (espace France contemporaine)
Sur réservation à partir de la page Facebook de la médiathèque (6 personnes maximum)
06 Mars 2022 à 18:18:53