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Cette année le salon revient du 3 au 8 mars 2022 au pavillon U
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« Logement promotionnel public » : la première tranche ramenée à 55 millions de centimes
Par : www.algerie-focus.com
Le gouvernement ne dit jamais non ! Aux souscripteurs au du Logement promotionnel public qui se plaignent de la cherté des premiers apports personnels (1 million de dinars) exigés pour accéder à un logement, le ministère de l’Habitat aurait répondu par un avis favorable : la première tranche à payer ne sera que de 550 000 DA, soit près de la moitié du montant exigé initialement.
Les quelques milliers de citoyens qui ont souscrit au programme de Logement promotionnel public ont de quoi être soulagés. Alors qu’ils se plaignent du montant très élevé de la première tranche qui leur est exigée par l’Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI), ils viennent d’avoir la confirmation que le montant est finalement divisé de moitié. Ils ne vont payer que 550 000 DA (55 millions de centimes) au lieu des 100 millions de centimes exigés dans un premier temps.
Moins d’une année après le versement de la première tranche, l’ENPI exigera le paiement d’une deuxième tranche de 1,5 million de dinars. Mais à partir de cette étape, le souscripteur pourra théoriquement faire recours à un prêt bancaire.
Les prix des logements de type LPP varieront selon les wilayates. Ils oscillent entre 7 et 7,5 millions de dinars. Ces logements ne bénéficient pas d’une aide directe de l’Etat. Les autorités interviennent juste dans les prix du terrain qui seront aidés.


Le pouvoir d’achat en continuelle détérioration, La plupart des Algériens touchent moins de 30 000 DA/mois :
Malgré les récentes augmentations de salaires, la détérioration du pouvoir d’achat est fortement ressentie par les Algériens, dont 70 % touchent moins de 30.000 dinars, souligne la commission nationale consultative de promotion et de la protection des droits de l’Homme (CNCCPDH) dans son dernier rapport annuel (2013).
« A u moment où l’Algérie s’enorgueillit des 190 milliards de dollars de réserves de changes, 70 % de la population algérienne perçoivent moins de 30.000 dinars nets par mois, et sont confrontés à une hausse vertigineuse des prix et à la détérioration de leur pouvoir d’achat « , souligne le rapport dans le volet réservé au » pouvoir d’achat « . S’appuyant sur certaines analyses d’experts algériens, le rapport de la commission présidée par Farouk Ksentini relève que » le processus inflationniste en Algérie a connu une forte accélération en 2013 avec des incidences sur le pouvoir d’achat « .
pour les rédacteurs du document de 275 pages, cette situation constitue » la conséquence de tout un processus historique témoignant selon les dits experts de la maladie du corps social » qui requiert selon la même source » un changement de cap de la politique économique faute de quoi, il y a risque de tensions sociales avec une spirale infernale, augmentation de salaires-inflation, augmentation à nouveau de salaires nécessaire pour éviter la faillite du système financier « . pour la CNCPPDH, l’augmentation des salaires ne représente rien face à l’inflation et à la dépréciation de la monnaie nationale.
S’appuyant également sur les données de l’ONS et même si elle se réjouit de la » tendance baissière » de l’inflation depuis le début de l’année, » une bonne nouvelle » en somme, la commission estime que les effets ne se reflèteront guère sur le pouvoir d’achat des citoyens » à cause de la dépréciation du dinar » opéré récemment par la Banque d’Algérie. » en définitive, toute augmentation de salaire dans un tel environnement ne se reflètera nullement sur le pouvoir d’achat du citoyen « , insiste la CNCPPDH qui fera observer que les citoyens concentrent leur attention sur l’évolution des prix de quelques produits spécifiques seulement (produits alimentaires, loyers, transports…), ne prenant ainsi plus compte par exemple des biens manufacturés dans leur perception de l’évolution du pouvoir d’achat, soulignera encore la commission Ksentini pour qui l’évaluation du pouvoir d’achat demeure « une opération difficile et complexe » à établir d’autant plus, et eu égard à l’indice des prix à la consommation par exemple, qui « ne reflète pas la réalité », l’inflation » n’est pas la même pour tout le monde « , estime la commission qui n’a pas omis également de citer dans son rapport, le fait que la fédération algérienne des consommateurs ait tiré la sonnette d’alarme sur la hausse des prix qu’elle estime inexpliquée et remet ainsi en cause les chiffres de l’ONS.
Ceci étant, la commission a fait part dans le rapport, de son « inquiétude quant à un retour à la période d’avant le rééchelonnement à savoir assimiler le développement aux dépenses monétaires et aux réalisations physiques sans se préoccuper des impacts et des coûts ». aussi, elle appelle à « un dialogue national politique, économique et social privilégiant les intérêts supérieurs de l’Algérie afin de réorienter l’actuelle politique socio-économique conciliant efficacité économique et justice sociale renforcée ».
source : lesdebats.com
Du 26 septembre au 6 octobre, les Semaines de la Diplomatie Climatique sont organisées au niveau de toutes représentations de l'union européenne dans le monde, afin d'encourager le dialogue et la coopération sur la question des changements climatiques.
A cet effet l'union européenne en Algerie a prévu une conférence/débat avec des étudiants de l'Ecole Nationale d'Administration (ENA) ALGER le 1er octobre 2019 sous le thème des feux de forêts et de la gestion durable des espaces forestiers.
https://www.facebook.com/union.europeenne.en.algerie/
L’Algérie aura bientôt son test de dépistage instantané du coronavirus, développé par le Centre de recherche en biotechnologie (CRBT) de Constantine. Les premiers kits devraient être prêts dans deux mois, l’objectif étant de pouvoir procéder à des tests à grande échelle et de permettre à l’Algérie d’être autonome.
L’Algérie devrait bientôt disposer de son propre test de dépistage du Covid-19. Une équipe de chercheurs du Centre de recherche en biotechnologie (CRBT) de Constantine (à 400 km à l’est d’Alger) travaille sur ce projet depuis plusieurs semaines. Contacté par Sputnik, le Dr Ammar Azioune, directeur de ce centre, a indiqué qu’une fois développé, le kit permettra de réaliser un dépistage instantané des personnes infectées par le coronavirus.
«Le kit se présentera sous forme de bandelettes, similaires à celle utilisées par les diabétiques pour surveiller leur glycémie. Il sera beaucoup plus sensible que les bandelettes classiques, car basé sur l’acide ribonucléique (ARN), qui est un acide nucléique présent chez pratiquement tous les êtres vivants ainsi que chez certains virus. Il suffira de réaliser un prélèvement de la muqueuse du nez et de la gorge avec un écouvillon, puis d’extraire l’ARN à partir de cet échantillon et de réaliser le test. L’avantage de la méthode que nous utilisons est de fournir des résultats instantanés et donc de savoir immédiatement si la personne est infectée ou non», explique le Dr Azioune, lui-même biotechnologiste.
Enjeu majeur
Pour une première phase, l’objectif de l’équipe du CRBT est de produire 1.000 tests. «Ils seront prêts dans environ deux mois», souligne Ammar Azioune. Ce premier échantillon de kits devra être testé pour confirmer la fiabilité de la méthode. Il est nécessaire que les résultats soient concluants pour passer ensuite à la phase de production industrielle qui permettra aux autorités algériennes de procéder à une campagne de dépistage de grande envergure de la population.
Le directeur du CRBT souligne que le but final est de permettre à l’Algérie de ne pas être «dépendante de l’extérieur» dans sa lutte contre le coronavirus qui a infecté, jusqu’à présent, 1.572 personnes et provoqué 205 décès. Et dans cette guerre, le dépistage est devenu un enjeu majeur.
«Nous avons estimé qu’il serait difficile de transférer de l’étranger la technologie du dépistage instantané lorsqu’elle sera disponible. Nous avons donc décidé de nous lancer immédiatement dans la recherche. Nous savons aussi qu’il ne sera peut-être pas possible de vendre notre test en dehors d’Algérie. Donc nous nous concentrons sur l’essentiel: mettre nos kits à la disposition notre population. Nous avons le savoir-faire, nous pouvons donc réussir», assure-t-il.
Sur les traces du MIT
Le Dr Ammar Azioune explique que la méthode utilisée pour le développement de ce test est basée sur la technologie CRISPR (de l’anglais Clustered regularly interspaced short palindromic repeats), qui permet de modifier facilement et rapidement le génome des cellules grâce à une enzyme.
Le CRBT a l’avantage de maîtriser cette technologie puisqu’il l’expérimente sur les cellules cancéreuses et les gènes en cause dans la migration de ces cellules. À travers le monde, seul le Massachusetts Institute of Technology (MIT) s’est lancé dans le développement de tests de dépistage pour le Covid-19 basés sur cette technologie CRISPR.
«Les chercheurs américains en sont actuellement à la phase de test, mais leur protocole n’a pas encore été validé par la Food and Drug Administration (FDA, l’agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux). Nous suivons de près ce qui se fait au MIT, nous apporterons cependant une petite innovation. Le CRBT est un jeune centre, avec beaucoup d’ambition. Nous savons que nous sommes sur la bonne voie, même si nous travaillons seuls, sans aucune collaboration dans le cadre de ce projet. Nous avons un plan de travail et un protocole et nous faisons en sorte de les mettre en œuvre», note le directeur du CRBT.
Le Covid-19 booste la recherche scientifique
Opérationnel depuis 2012, le CRBT de Constantine compte 150 chercheurs et ingénieurs engagés au sein de cinq divisions de biotechnologie: santé, alimentaire, agriculture, environnement et industrie. Il est également le point focal national du Centre international de génie génétique et de biotechnologie (CIGGB) de Trieste, en Italie.
En Algérie, le secteur de la recherche scientifique dispose de trente établissements, tous placés sous la tutelle principale du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Peu connu du grand public, ce domaine pourrait profiter de la crise du Covid-19 pour réhabiliter les chercheurs et les activités de recherche. Depuis le début de la crise, le département de l’Enseignement supérieur a lancé une série d’appels aux scientifiques afin qu’ils participent à la réalisation d’équipements et de produits permettant de lutter contre la pandémie.
sputniknews.com
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