
Les amateurs de plantes vertes louent autant leur beauté (idéale pour égayer un intérieur) que leurs bienfaits, notamment leurs propriétés dépolluantes pour l’air ambiant. Toutefois, pour que ces jolis végétaux embellissent nos intérieurs longtemps, ils ont besoin d’être un minimum choyés. Sinon, ils peuvent rapidement dépérir ! Et contrairement au mythe, il n’est pas forcément nécessaire d’avoir la main verte pour garder ses plantes en vie. Bien souvent, des pratiques élémentaires suffisent amplement à les entretenir. Amis jardiniers, si vous voulez garder vos plantes d’intérieur en bonne santé, découvrez les erreurs fréquentes à éviter.
Erreur n°1 : Mettre ses plantes d’intérieur vers une source de chaleur
Qu’il s’agisse d’un radiateur ou d’une cheminée, la forte proximité avec une source de chaleur peut tuer une plante non rustique à vitesse grand V. Quant aux plantes tropicales, habituées aux fortes chaleurs, elles n’apprécient pas l’air sec causé par le radiateur. Vous devrez donc brumiser leur feuillage plus souvent pour conserver un taux d’hygrométrie suffisant. Pas très pratique ! Rappelons enfin que la chaleur favorise la prolifération des araignées rouges. Pour toutes ces raisons, choisissez un emplacement éloigné des radiateurs pour vos plantes d’intérieur.
Erreur n°2 : Pratiquer l’arrosage à l’eau froide
Les plantes n’apprécient pas beaucoup les chocs thermiques et les plus délicates pourraient donc rapidement dépérir. Utilisez donc une eau à température ambiante pour un arrosage réussi !
Erreur n°3 : Donner trop d’eau aux plantes d’intérieur (ou pas assez !)
Le trop est souvent l’ennemi du bien, surtout quand on se lance dans le jardinage. Aussi, gare aux eaux stagnantes dans la coupelle ou le cache-pot qui peuvent noyer les racines et asphyxier une plante verte. Avant de sortir l’arrosoir, vérifiez toujours l’état de la terre. Si elle est encore humide, c’est qu’il n’y a pas besoin d’arroser. Au contraire, si la surface du terreau est sèche, il est temps de lui apporter un peu d’eau. Pour un arrosage optimal, soignez par ailleurs également le drainage. Cela aide à l’évacuation de l’eau et à sa bonne répartition. Pour bien drainer la terre, ajoutez des billes d’argile ou de la perlite au fond du pot.
Erreur n°4 : Une exposition mal choisie pour les végétaux
La lumière est essentielle pour la photosynthèse. Toutefois, cela ne veut pas dire pour autant que vos plantes d’intérieur ont besoin de se dorer la pilule toute la journée sous les rayons du soleil. D’ailleurs, un soleil direct peut brûler leurs fleurs et leurs feuilles ! Il faut donc généralement éviter une exposition solaire directe.
Avant “d’adopter” une plante, n’hésitez pas à vérifier la luminosité dont elle a besoin. Plein soleil, mi-ombre, etc. En fonction de la lumière nécessaire, réfléchissez toujours à l’emplacement où vous pourrez les mettre avant de les acheter. Ainsi, vous ne serez jamais pris au dépourvu. Par exemple, pour les orchidées, une fenêtre lumineuse, mais voilée sera idéale.
Erreur n°5 : Arroser les plantes d’intérieur avec une eau calcaire ou chlorée
L’eau du robinet est certes pratique, mais elle n’est pas forcément idéale pour les plantes. Elle est en effet riche en chlore ainsi qu’en calcaire. Cela peut tuer les plantes acidophiles comme les azalées, mais aussi vos autres plantes fragiles. Pour plus de tranquillité d’esprit, préférez récolter l’eau de pluie. C’est gratuit et les plantes adorent ! Sinon, vous pouvez aussi utiliser de l’eau en bouteille. Dernière astuce : vous pouvez laisser reposer l’eau de l’arrosoir deux heures avant de l’utiliser quand elle est très chlorée.
Erreur n°6 : Ne jamais nettoyer les plantes d’intérieur
La poussière ne s’accumule pas que sur les bibelots et les étagères ! Or, sur les plantes, elle peut nuire à leur photosynthèse, et donc à leur état de santé. Heureusement, il existe plusieurs astuces pour dépoussiérer les plantes et en retirer la pollution. S’il ne fait pas trop froid, vous pouvez les mettre dehors pendant une pluie, ce qui va nettoyer les feuilles. Sinon, un petit tour sous la douche avec un jet doux aura le même effet. Enfin, vous pouvez aussi passer un chiffon microfibre imbibé de quelques gouttes de bière ou d’eau additionnée de bicarbonate de soude. Cela va nettoyer et faire briller ces belles feuilles vertes en un rien de temps !
Erreur n°7 : Les exposer à des courants d’air
Que ce soit dans l’entrée ou les zones de forts passages, il y a souvent beaucoup de courants d’air. Cela peut alors fragiliser les plantes qui risquent finalement de dépérir. C’est notamment très dangereux pour les plantes tropicales et les plantes les moins résistantes.
Erreur n°8 : Oublier le rempotage des plantes d’intérieur
Quand avez-vous rempoté vos plantes pour la dernière fois ? Si vous ne vous en souvenez pas (ou pire, si vous ne l’avez jamais fait), il est peut-être temps de vous y atteler. En général, on conseille en effet de le faire tous les ans pour une plante en pleine croissance, puis tous les deux ou trois ans en entretien. Si votre plante ne pousse plus ou très lentement ou encore si les racines commencent à sortir de la terre ou du fond du pot, c’est sûrement que votre végétal se sent à l’étroit. Le plus souvent, on rempote au début du printemps ou à la fin du printemps avec un pot d’une taille supérieure au précédent.
Erreur n°9 : Ne pas détecter les parasites et maladies à temps
Si malgré tous vos bons soins, votre plante est en mauvaise santé et ses feuilles commencent à jaunir, se recroqueviller, flétrir, décolorer ou afficher des taches, c’est généralement qu’il y a anguille sous roche ! Observez régulièrement vos plantes, notamment le dessous des feuilles pour pouvoir détecter les différents parasites et maladies qui pourraient les attaquer. Qu’il s’agisse de cochenilles, de thrips, de pucerons ou de tétranyques, il existe des remèdes naturels pour s’en débarrasser. Ainsi, nul besoin de produits chimiques ! C’est également la même chose pour les maladies des plantes.
Toutefois, il faut agir vite pour qu’il ne soit pas trop tard. Si vous tardez trop, aucun produit phytosanitaire ne pourra plus rien y faire et votre plante sera trop fragilisée pour survivre.
BLIDA - Pour faire face à l’épidémie du nouveau coronavirus (Covid-19), le chef du service d’anesthésie et réanimation Covid-19, du CHU Franz Fanon de Blida, Dr. Adel Boudahdir a décidé de rester loin de sa famille et de consacrer tout son temps aux malades, passant ses journées dans les couloirs et chambres de l’hôpital, entre la gestion administrative, le traitement des cas graves et la distribution des taches au staff médical et paramédical.
En dépit du peu de temps dont il dispose, depuis l’annonce de la propagation de cette maladie à Blida, ce jeune maitre-assistant spécialisé en anesthésie et réanimation a accepté d’accorder un entretien à l’APS depuis le lieu de son travail.
"Depuis le 10 mars, chacune de mes journées à l’hôpital commence tôt le matin. Mon temps se repartit entre la gestion administrative et des staffs soignants, outre les réunions du conseil d’administration et de la cellule de crise de l’hôpital, et les permanences de nuit. A cela s’ajoute l’accomplissement de ma mission principale en tant que médecin, qui consiste à faire la tournée quotidienne des chambres des malades des trois étages du service, avant le passage des équipes soignantes", a-t-il souligné.
Encore plus, le Dr. Boudahdir, qui sillonne les couloirs du service avec sa tenue de protection, est également chargé du recensement des nouveaux cas admis à l’hôpital de nuit, au même titre que de ceux l’ayant quitté, tout en donnant des orientations aux médecins bénévoles (issus d’autres services, ou d’autres hôpitaux), qui viennent porter assistance à son service.
"Je tiens à saluer ces médecins, qui ont décidé de sacrifier leur temps de repos pour venir porter assistance à l’équipe soignante", a-t-il dit, citant particulièrement les spécialistes en réanimation, qui "consentent des efforts énormes dans la réanimation des malades du coronavirus au niveau de ce service, accueillant des cas graves. Au même titre que tous les autres spécialistes bien sûr", a-t-il tenu à ajouter.
Le coronavirus, une expérience inédite
Et de poursuivre "en dépit de ma longue expérience du terrain, qui m’a habitué à rencontrer des cas graves, au vue de mon travail au service de réanimation, où je suis en contact avec des personnes soufrant de problèmes respiratoires graves, comme les asthmatiques", a indiqué le jeune médecin, il n’en demeure pas moins que "cette épidémie du coronavirus est une expérience inédite pour moi, voire pour tous mes collègues. Ni eux, ni moi n’avons jamais vécu pareille expérience", a-t-il assuré.
"L’exceptionnalité de cette situation réside notamment dans le nombre de malades accueillis au niveau du service, entre 25 à 30 malades, et dans la nouveauté de cette maladie que nous n'avons jamais traitée dans le passé, ouvrant la porte grande à toutes sortes de diagnostics et de pronostics", a-t-il observé.
Dr. Adel Boudahdir regrette, néanmoins, de "n’avoir pas pu sauver des malades, malgré tous nos efforts pour les réanimer", a-t-dit. "Chaque jour nous tentons de faire face avec tous les moyens possibles à ce virus meurtrier. Heureusement et grâce à Dieu, nous avons, également, pu ranimer et sauver un grand nombre d’autres personnes. Cela représente une immense joie pour nous", s'est-il félicité.
Selon Dr. Boudahdir, "si toute chose à des avantages et des inconvenants, cette crise nous aura appris à vivre +en famille+ entre nous (médecins, paramédicaux et employés de la santé). Nous passons du temps ensemble à l’hôtel, où nous mangeons à la même table, tout en échangeant des idées et propositions susceptibles d’aider les malades au niveau du service, où une véritable course contre la montre est chaque jour réitérée pour sauver des vies humaines", a-t-il soutenu.
Interrogé, par l’APS, sur le coté négatif de cette noble mission qu’il s’est assignée avec ses confrères, il n’a pas pu retenir ses larmes en évoquant sa famille, son épouse, ses deux filles (5 et 8 ans), et tous ses proches, qu’il n’a pas vu depuis prés d’un mois.
"Je n’ai pas mis les pieds chez moi à Bouguerra (Est de Blida), et je n’ai pas vu ma famille depuis prés d’un mois. C’est une situation très difficile pour moi et pour tous mes confrères vivant dans la même situation", a-t-il soulevé.
En dépit du fait qu’il a l’habitude de voyager dans le cadre de son travail, il a admis que son sentiment pour cette fois est "différent", car il vit une "situation exceptionnelle" requérant de faire face "à un risque permanant d’une infection par ce virus. Mais un risque que ne m’empêche pas de tout faire pour aider les malades", a-t-il assuré.
Il s’est, néanmoins, félicité de l’existence des réseaux sociaux qui lui permettent de rester en contact avec ses proches. "Cela attenue l'absence, car l’éloignement reste une option obligatoire pour nous, si l’on veut éviter le moindre risque de contamination pour nos familles", a-t-il relevé.
Un élan de solidarité hors pair
Le chef du service de réanimation Covid-19 de l'hôpital Franz Fanon n’a pas manqué, en outre, de saluer l’élan de solidarité hors pair, ayant ciblé le corps médical, tant de la part des autorités locales, des responsables du secteur, des bénévoles et des hommes d’affaires.
Après des perturbations durant les deux premiers jours, la situation a été vite stabilisée, suite à la disponibilité des moyens et tenues médicales de protection, de qualité et en quantités suffisantes, s’est-il félicité. Des hôtels ont été également mobilisés à leur profit, outre le service de restauration, pour tous les employés de l’hôpital.
"Cette solidarité légendaire des Algériens nous a fait chaud au cœur et nous a positivement boosté le moral", a-t-il affirmé.
Une fois à l’hôtel, le Dr. Boudahdir, qui vient de boucler une dure journée de lutte contre la mort véhiculée par le Covid-19, continue sur sa lancée, en passant son temps libre à sensibiliser les citoyens, via facebook, sur l’impératif, pour eux, de respecter le confinement sanitaire.
"Avant je n’étais pas fan de facebook, mais le fait d’avoir vu des vies m’échapper entre les mains m’a fait changer d’avis", a-t-il reconnu. " J’ai senti qu’il est de mon devoir en tant que médecin de sensibiliser les citoyens et de les convaincre de la nécessité de rester chez eux et de respecter les règles préventives d’hygiène", a-t-il affirmé.
"La contribution de tous, citoyen et corps médical réunis, chacun selon ses moyens, est primordiale dans la lutte contre ce virus", a-t-il martelé.
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Comment déthéiner son thé ?
La théine est la première molécule qui se libère au moment de l’infusion. Ensuite seulement viennent les tanins, et on peut même dire qu’ils viennent à la place de la théine puisque plus il y a de tanins, moins il y a de théine.
Il existe donc deux manières de déthéiner son thé :
- la première consiste à laisser infuser très peu d’eau sur les feuilles de thé, durant une vingtaine de secondes seulement, puis à jeter cette infusion avant de remettre de l’eau sur les feuilles. La majeure partie de la théine, libérée lors de la première infusion, partira avec cette eau jetée.
- la deuxième consiste à laisser infuser sont thé longtemps, afin que les tanins puissent anéantir, en quelque sorte, les molécules de théine. Cette solution comporte toutefois un inconvénient : en laissant infuser plus longtemps son thé, les tanins risquent de développer une amertume que notre société apprécie peu, contrairement aux japonais par exemple…
source article : http://www.humanithe.fr
source image : theminceur.org
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Le soleil est enfin arrivé, mais vous en avez abusé ! Ou vous avez oublié de vous mettre de la crème solaire ? N’oubliez pas que le soleil est dangereux pour la peau et qu’il accroît le risque de mélanome. Maintenant que le mal est fait, grand-mère vous livre 5 soins naturels pour soulager vos coups de soleil.
Le bicarbonate de soude
Pour apaiser le coup de soleil, préparez-vous des compresses de bicarbonate de soude. Diluez une c. à soupe de bicarbonate dans 1/4 de litre d’eau tiède. Trempez-y les compresses, puis appliquez-les directement sur les brûlures. Renouvelez l’application plusieurs fois.
Le yaourt
Appliquez sur votre peau du yaourt qui apaisera vos brûlures. Laissez poser au moins 20 minutes. Rincez à l’eau tiède. Le yaourt rafraîchira votre peau et anesthésiera la douleur.
L’Aloe vera
Le gel d’aloe vera est une solution naturelle pour calmer les coups de soleil. Il va accélérer la guérison grâce à ses propriétés hydratantes et cicatrisantes. Appliquez du gel d’aloe vera bio à plus de 95 % pur.
Les pommes de terre
Pour soulager et atténuer les légères brûlures, appliquez un cataplasme de pommes de terre crues râpées sur les zones touchées. A faire plusieurs fois par jour.
Le miel
Le miel soulage les légères brûlures et permet de les cicatriser plus vite. Appliquez du miel liquide, laissez agir, puis rincez.
Conseils :
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Buvez beaucoup d’eau afin de réhydrater votre corps.
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Contrairement aux idées reçues, il ne faut pas mettre de glaçons sur vos brûlures.
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Consulter impérativement un médecin si vos brûlures provoquent des maux de tête ou de fortes douleurs.
Et surtout la prochaine fois n’oubliez pas :
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Évitez d’aller à la plage entre 12h et 16h.
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Portez impérativement des lunettes de soleil, n’oubliez pas que les yeux sont aussi très fragiles !
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Mettez un chapeau pour protéger votre tête.
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Prévoyez un parasol pour aller à la plage.
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Choisissez bien votre crème solaire et appliquez celle-ci plusieurs fois dans la journée.
source photos : journal des femmes
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Actualisé : l"événement à été retardée pour plus d'infos contactez les organisateurs : +213 25 23 31 80
La descente VTT downhill (DH)) est une discipline sportive dans laquelle le but est de descendre, à l'aide d'un VTT, des pistes spécialement conçues à travers la montagne dans un laps de temps le plus court possible. et affronter les racines, bosses, sauts et autres obstacles naturels rencontrés lors d'une descente.
OSC Organisation sport Culture organise pour la première fois une compétion de descente DH à Chréa.
La date mentionné tout en haut est le 29 janvier 2016, mais la date finale vous sera transmis 10 jours avant l'événement.
les inscriptions débuteront à partir de cette date.
Tout sera mis en oeuvre pour la réussite de cet événement.
actualisé : 18 janvier 2016 les inscriptions sont ouverte à partir de maintenant.
Pour les personnes qui doivent demander une journée de congés attendez quand même jusqu'à samedi pour le faire (ou contactez nous pour plus d'explication).
l'inscription se fera en deux temps: une pré-inscription en ligne qui prend quelques secondes, et l'inscription définitive le jour de l’événement.
#pour la pré-inscription:
envoyez:
1. nom, prénom, et date de naissance en MP. (facebook)
2. confirmez avoir toutes les protections (gants, casque intégral, protèges tibias...coudes....genoux, lunette ou masque).
3. la référence de votre vélo.
(pour ceux qui dorment sur place la veille de l'événement) ajouter le numéro de votre carte d'identité.
#Le_jour_de_l'événement il faudra joindre les documents suivants :
- Un certificat médicale de moins de 3 mois.
- carte de groupage/ou/ photo de votre carte de groupage/ ps: vous pouvez juste nous le dire (faudra pas vous tromper) il sera mentionné sur votre fiche d’inscription.
Frais d'inscription:
- gratuit pour les étudiants (sous réserve de la présentation de votre carte d'étudiant/ou certificat de scolarité, ou vos bulletins de notes au choix
- 300 DA pour le reste des participants (sans hébergement).
- 500 DA avec hébergement
le prix comprend (l’assurance, hébergement, petit déjeuner, déjeuner le jour de l'événement).
pour plus d'infos : https://www.facebook.com/events/1510044192658389/
+213 25 23 31 80
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Si pour l’éducation, la santé et l’enseignement supérieur, la Fonction publique continuera à recruter. En revanche, le gel des recrutements dans la Fonction publique en dehors de ces secteurs va aggraver le chômage des jeunes diplômés. Un autre facteur va grossir le nombre des sans emploi en 2016 : la baisse de la commande publique. Le secteur du BTPH enregistrera le plus grand nombre de pertes d’emploi, surtout parmi le personnel sous contrat à durée déterminée (CDD).
À moins que le gouvernement ne mette en œuvre rapidement les alternatives au financement par le budget des projets d’investissement publics. La situation de l’emploi en 2016 pâtira des contraintes au dynamisme du secteur privé, le plus gros pourvoyeur d’emplois en Algérie.
En effet, plusieurs spécialistes ne prévoient pas de grands changements en termes d’amélioration de l’environnement des affaires en 2016.
source : liberté
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