Expo-vente artisanale à City Center 21 Avril 2022 Art § Culture § Artisanat
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Vicimes d’agressions sur les chantiers, Les Chinois crient à la hogra
Depuis le lancement du programme de réalisation de centaines de milliers de logements à travers le pays, les ressortissants chinois travaillant dans les chantiers de construction font l’objet d’agressions par des bandes armées de couteaux.
Le phénomène a tellement pris de l’ampleur que les responsables des sociétés chinoises ont interpellé, à maintes reprises, le ministère de l’Habitat afin d’intervenir et d’assurer la protection de leurs travailleurs, suggérant une présence sécuritaire dans les chantiers.
Le nombre d’agressions contre les ressortissants chinois travaillant dans les chantiers de la capitale a augmenté, atteignant un seuil très inquiétant, et ce durant l’année en cours. De ce fait, les responsables de cette communauté tirent la sonnette d’alarme auprès des autorités, notamment le ministère de l’Habitat.
Chaque jour, une agression est signalée ici et là à travers les chantiers d’Alger. En quelques années, plus de 1 000 agressions contre les ressortissants chinois ont été constatées par les services de sécurité.
A Ouled Fayet, à titre d’exemple, un ressortissant chinois a été agressé par des jeunes portant des cagoules alors qu’il allait rejoindre ses camarades qui se trouvaient un peu loin de lui. Le malheureux a été pris à partie par ses assaillants qui étaient armés de couteaux.
Ils lui ont volé son argent et son téléphone portable avant de s’éclipser en empruntant des raccourcis.
L’agression s’est produite vendredi dans la matinée, au moment où la victime se rendait dans un magasin pour acheter des produits alimentaires. Ses assaillants l’ont guetté avant de passer à l’acte en lui subtilisant, sous la menace d’un couteau, son argent et son téléphone.
Ce genre d’agression se produit, en moyenne, dix fois par jour. Quotidiennement, des ressortissants chinois travaillant dans des sociétés spécialisées dans les travaux publics font l’objet d’attaques armées. Il y a près d’une semaine, deux autres employés chinois ont été agressés par des inconnus qui les ont délestés de leur argent, toujours sous la menace d’un couteau.
L’agression s’est produite un vendredi à 10 heures du matin. Les deux victimes étaient de passage sur un pont pour se rendre au centre-ville d’Ouled Fayet.
Ils ont été surpris par quatre à cinq individus armés de couteaux. L’un des Chinois a été poignardé avant que les assaillants ne prennent la fuite avec le butin. A Draria, il y a quelques jours, un autre Chinois a fait l’objet d’une agression. Il a été surpris, également, par des inconnus qui lui ont subtilisé son argent avant de le tabasser.
Devant cette cascade d’agressions contre les Chinois, les gendarmes ont multiplié les patrouilles mobiles devant les chantiers et sur les routes jouxtant ces lieux. Malgré cela, les malfaiteurs arrivent toujours à agresser leurs proies. En plus des agressions, les bandes de malfaiteurs dérobent aussi du matériel dans les chantiers de construction. Des sacs de ciment, des câbles, des équipements informatiques et autres matériaux de construction ont été volés dans plusieurs chantiers. Suite à cette situation, les gendarmes ont ouvert des enquêtes.
source : jeune independant
ALGER - La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji a procédé, lundi à Alger, au lancement de la plateforme électronique "Turathi.dz", destinée à lutter contre la contrebande et le trafic illicite des biens culturels, et réalisée en collaboration avec l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique.
Dédiée essentiellement aux corps constitués de la Police et la Gendarmerie nationales ainsi qu'aux Douanes algériennes (dont des représentants étaient présents), "Turathi.dz" est un guide-photo numérique, permettant la consolidation des stratégies de protection et de valorisation des collections des musées et des bibliothèques, à travers l'élaboration de projets numériques et la formation à leur maitrise pratique pour empêcher toute tentative de commercialisation illégale des biens culturels.
La ministre de la Culture et des Arts a indiqué que son département a "œuvré à la recherche des voies et techniques avec ses partenaires, afin de pouvoir lutter efficacement contre la contrebande et le trafic illicite des biens culturels", conformément aux orientations du président de la République M. Abdelmadjid Tebboune, portant sur la nécessité de la conservation, la protection et la valorisation de l'héritage culturel algérien.
La plateforme électronique "Turathi.dz" est constituée d'une "base de données numériques sur les différents biens culturels, les plus exposés au vol, à la contrebande et à la commercialisation illicite", a indiqué Soraya Mouloudji, expliquant que ce guide-référence peut être utilisé par "les agents des différents corps constitués, les hommes de loi, ainsi que les collaborateurs internationaux actifs dans ce domaine".
Ce projet intervient en application du "mémorandum d'entente" signé en 2019 par l'Algérie et les Etats Unis d'Amérique, portant sur la "limitation de l'exportation d'objets archéologiques vers les Etats-Unis et l'arrêt de la spoliation et le trafic de ces objets conformément à la convention de l'UNESCO de 1970".
aps
De son côté, l'ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique, Elisabeth Moore Aubin a rappelé dans sa lettre, que ce guide photo, réalisé en collaboration avec la "Coalition des antiquités", fait partie des "engagements plus larges entre la partie algérienne et américaine", qui comprenait également la "création d'un plan à long terme de numérisation des biens culturels algériens, qui contribuera à prévenir et à poursuivre les pillards et permettra au ministère de partager plus largement son riche patrimoine culturel avec le public".
Une journée de formation sur l'utilisation et l'exploitation des données de ce nouveau moyen numérique de contrôle a été encadrée par des experts algériens à l'adresse des éléments des corps constitué présents.
Ingrédients :
Pour la pâte :
350 g de farine
20 g de levure fraîche du boulanger ou 7.5 g de levure sèche instantanée
235 ml de lait tiède
1 cuillère à soupe de sucre
60 ml d’huile d’olive
1/2 cuillère à café de sel
Pour la farce :
300 g de viande hachée
1 gros oignon
1 oignon vert
1 gousse d’ail
1 grosse tomate
1 poivron vert long
1 poivron rouge
1 cuillère à soupe de concentré de tomate
3 cuillères à soupe de persil ciselé
1 cuillère à café de piment doux (paprika)
1/2 cuillère à café de cumin
Sel & poivre
3 cuillères à soupe d’huile d’olive
Pour la finition :
1 jaune d’oeuf + 1 cuillère à soupe de lait (pour la dorure)
2 boules de Mozzarella
150 g de fromage râpé type Emmental
Préparation :
La pâte :
Dans le bol du robot ou dans un grand saladier, mettre la farine, creuser un puits puis mettre la levure boulangère, le sucre, le lait tiède, l’huile d’olive et le sel (il faut pas que le sel soit en contact direct avec la levure sinon elle va être désactivée) lancer le robot à vitesse et pétrir pendant 10 minutes ou 15 minutes à la main jusqu’à obtention d’une pâte souple et qui se décolle du bol .
Couvrir la pâte d’un linge propre et laisser la lever dans un endroit chaud à l’abri des courants d’air (environ 1h 30).
La farce :
Laver et couper en très petits des tous la tomate, l’oignon, le poivron vert et rouge.
Dans une poêle, mettre l’huile d’olive à chauffer, ajouter les oignons râpés et les faire dorer quelques minutes puis mettre la viande hachée, l’ail râpé finement, le concentré de tomates, les poivrons, la tomate, le cumin et le paprika, assaisonner de sel et de poivre bien mélanger et laisser cuire jusqu’à évaporation du liquide. Ajouter enfin le persil ciselé et éteindre le feu . Laisser complètement refroidir avant d’utiliser .
Passons au façonnage :
Une fois la pâte a doublé de volume, dégazer la puis découper la en 5 boules de taille égale.
Sur un plan de travail légèrement fariné, étaler la boule de pâte en lui donnant une forme ovale et allongée puis la garnir de farce en laissant de l’espace pour pouvoir replier les bords tout autour.
Badigeonner les bords du pide de jaune d’oeuf dilué avec du lait, à l’aide d’un pinceau de cuisine, mettre des morceaux de fromage Mozzarella puis parsemer un peu de fromage râpé .
Faire cuire les pide dans un four préchauffé à 220° pour 10 à 12 minutes de cuisson .
Les Pide sont prêts quand les bords sont dorés !
Bonne réalisation et bonne dégustation !
Nombreux sont les étrangers qui, après avoir déposé une demande de visa auprès des autorités consulaires françaises, se voient opposer un refus. Quelles solutions adopter face à une telle situation ? Très souvent, l’étranger va se résigner en acceptant la décision. En se disant « ainsi va la vie, je n’ai pas d’autres choix que d’accepter cette décision… « .
Rappelons qu’un décret daté du 10 novembre 2000, publié au Journal officiel français le 11 novembre 2000 (JORF n° 262), a institué une commission de recours contre les décisions de refus de visa d’entrée en France (CRRV).
Cette commission prévoit donc que lorsque la demande de visa n’a pas été acceptée ou n’a pas abouti (du fait du silence gardé par l’autorité consulaire), le demandeur pourra alors saisir la CRRV.
Les refus de délivrance de visa sont très fréquents en Afrique, d’autant plus pour les demandes de visa de courte durée (visa C) et de nombreuses disparités existent entre les différentes autorités consulaires françaises.
Pour exemple, en 2015, sur 3.007/189 visas de court séjour délivrés par la France dans le monde, seuls 795 652 ont été accordés aux ressortissants nord africains (Algériens : 422 684, Marocains : 257 099 et Tunisiens : 115 869). Les Chinois arrivent en tête avec le plus gros contingent de demandes de visas acceptées : 824 284, selon le Ministère de l’intérieur.
Alors que faire face à un refus de visa ?
La demande de visa doit être déposée, de façon écrite, auprès des autorités consulaires.
La réponse du consulat français doit intervenir dans un délai de 2 mois à compter du dépôt de la demande. Au-delà de ce délai, il faudra considérer la demande comme étant refusée (rejet implicite).
Le demandeur doit s’armer de patience et se rappeler que depuis le 5 avril 2011, tous les refus de visas, même de court séjour, doivent être motivés (Règl. CE n° 810/2009 du Parlement européen et du Conseil, 13 juillet 2009).
Donc, une fois le refus motivé ou implicite (absence de réponse), l’étranger peut saisir soit le Consul français, on parle alors d’un recours gracieux, soit la Commission de recours contre les décisions de refus de visa d’entrée en France. Il est fortement conseillé de saisir directement la CRRV. En effet, si le Consul vous a, dans un premier temps, refusé le visa, il y a de grandes chances que sa décision se confirme en cas de recours.
Il est impératif que cette Commission soit saisie dans le délai de 2 mois à compter de la notification. Cette saisine doit être faite par lettre recommandée avec accusé de réception.
Toutefois, le Consulat doit, en cas de réponse écrite, vous adresser les modalités et les délais de recours. Si tel n’est pas le cas, le recours devant la CRRV pourra être formé à tout moment.
Il faudra alors envoyer un courrier, avec l’ensemble des arguments de fait et de droit, à l’adresse postale suivante : Commission de recours contre les refus de visas, BP 83609, 44036 NANTES CEDEX 1 (FRANCE).
Une fois saisie d’un recours, la CRRV peut soit annuler le refus de délivrance de visa et émet alors un avis au Ministère des Affaires étrangères (cet avis ne lie pas le Ministre), soit rejeter le recours.
Dans ce dernier cas, seul un recours contentieux devant le tribunal administratif de Nantes pourra être engagé. La présence d’un avocat est grandement recommandée.
source : huffpostmaghreb.com
Le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM), le Professeur Mustapha Khiati a révélé, lundi, que le phénomène de consommation de drogue touche entre 800.000 à 900.000 personnes en Algérie dont 15% de collégiens, 27% de lycéens et 31% d’universitaires.
M. Khiati, qui s’exprimait sur les ondes de la radio nationale, a fait savoir que des laboratoires clandestins essaimés un peu partout en Afrique et au Sahel fabriquent et commercialisent des produits combinés de produits chimiques et du canabis, et qui se trouvent hautement toxiques.
Dans le même sillage, il a précisé que plusieurs nouvelles substances psycho-actives « qui sont en train d’inonder le marché algérien », parmi lesquelles celles provenant de la frontière Ouest.
Le président de la FOREM a reconnu que malgré des efforts « colossaux » déployés pour tenter d’endiguer ce fléau, notamment en développant une médicalisation à outrance, (environ 5.000 cas traités chaque année),les résultats obtenus n’ont pas été à la mesure de ce qu’il en était attendu.
Khiati suggère d’accompagner la prise en charge médicalisée des personnes accros aux psychotropes par un soutien psychologique, « ce qui, regrette-t-il, n’existe pas aujourd’hui ».
Pour lui, il serait plus judicieux de créer des centres « anonymes » gérés par des associations bénéficiant du soutien actif des pouvoirs publics, vers lesquels, estime-t-il, ces derniers seraient plus enclins à se diriger.
Source de l'article : Algerie1.com
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