On a testé le démauillant Cils Demasq Waterproof de Gemey-Maybelline :
promesse du produit :
"La lotion démaquillante waterproof 2 en 1 Cils Demasq élimine en douceur tous les maquillages, même les waterproof. Sa formule enrichie en huiles douces démaquillantes dissout les maquillages les plus résistants tout en préservant la souplesse du contour de l’œil. Un démaquillage express : sa phase bleutée enrichie en huiles douces démaquillantes dissout les maquillages les plus résistants. Très confortable, elle préserve la souplesse de votre peau. La douceur d’une lotion : sa phase translucide à base d’eau élimine tous les résidus du maquillage et laisse votre paupière fraîche et reposée.Résultat : un double efficacité pour un démaquillage en douceur "
on a aimé :
démaquille parfaitement sans frotter les paupières.
La texture non grasse.
on a moins aimé :
emballage du produit pas trés glamour
Laisse le contour des yeux légérement gras .
pique légérement les yeux

L’Organisation Internationale pour les Migrations -OIM Algérie- dans le cadre du projet « Appui au Pilier Développement du Programme Régional de Développement et de Protection pour l’Afrique
du Nord » (RDPP NA) et le Projet AWARE MIGRANTS, lance le Concours des meilleures productions journalistiques sur la migration.
L’OIM invite les journalistes, professionnels des médias et écoles de journalisme à soumettre leurs productions médiatiques (articles, reportages, audios et vidéos originales et créatives, photographies) centrées sur la migration ; la diversité et l’inclusion sociale, ainsi que sur la prévention de la xénophobie.
Le concours sera un moyen d’encourager les journalistes à aborder des sujets liés à la migration dans leur travail, à présenter aux lecteurs une vision plus éthique et plus complète des questions migratoires, et également de récompenser le journalisme traitant des sujets d’intérêt humain et
produit d’une démarche analytique, résultant de recherches approfondies et contribuant à équilibrer le récit sur la migration.
Le concours sera divisé en quatre catégories :
1.Meilleur article paru sur la presse papier et sur le web
2.Meilleure production vidéo
3.Meilleure émission de radio/ podcast
4.Meilleure photo de presse
Un jury d’expert.e.s en journalisme et en migration internationale choisira un.e gagnant.e pour chaque catégorie.
Les gagnant.e.s du concours bénéficieront du Prix de l’OIM récompensant la meilleure production journalistique sur la migration.
Pour participer, veuillez remplir le formulaire en ligne :
https://forms.office.com/r/NN8Rp3bXQ3
Et envoyer votre production (article, vidéo, reportage, podcast, photographie) séparément par mail à : ylatreche@iom.int
En mettant en copie :
k.nekka@maghrebemergent.info.
Dans l’objet du courriel/email, merci de mettre : Concours des meilleures productions journalistiques sur la migration catégorie (mentionner la catégorie) ;
Vous devrez également attacher l’autorisation d’exploitation des productions ainsi que les formulaires de consentement (si nécessaire) ;
Le concours est ouvert du 10 aout jusqu’au 15 octobre 2022, à minuit.
Pour plus d’informations, veuillez nous contacter à :
ylatreche@iom.int
Ou bien :
k.nekka@maghrebemergent.info

La place de l’implant dans la contraception a fait l’objet d’un débat organisé à l’occasion du 8e congrès de l’Association des gynécologues obstétriciens privés d’Oran (Agopo) qui s’est déroulé dimanche dernier.
Au cours du 8e congrès de gynécologie obstétrique qui s’est déroulé à Oran, le professeur Aubert Agostini, chirurgien gynécologue à l’hôpital de la Conception de Marseille, a présenté une communication portant sur la « place de l’implant dans la contraception ».
Il a expliqué que l’implant en question présente 4 critères essentiels pour assurer une bonne contraception en termes d’efficacité, de réversibilité, d’acceptabilité et de tolérance.
Le professeur Agostini a affirmé que l’implant est efficace à 99,9% avec une observance de 100%. Sa durée d’action, dira-t-il, est de 3 ans et présente un avantage attractif. Le spécialiste a expliqué que cet implant de la taille d’une allumette, s’insère en sous-cutané et permet la libération en continu de l’actif contraceptif soulignant la facilité de la pose et le retrait du dispositif. Le praticien a précisé que dès le retrait de l’implant, la femme retrouvait un cycle normal avec possibilité de tomber enceinte dès le mois d’après l’interruption de la contraception.
Avec peu de contre-indications, l’implant représente une méthode contraceptive judicieuse et efficace. L’exemple des femmes en surpoids ou obèses chez qui l’implant sera remplacé plus tôt pour assurer une efficacité optimale a été soulevé. « Les femmes en surpoids sont considérées à risque quand il s’agit de déterminer une solution contraceptive », a-t-il signalé. Raison pour laquelle, le professeur a indiqué que l’implant est une bonne solution pour cette catégorie de femmes. Il a été relevé que le nombre d’Algériennes sous contraception est de l’ordre de 60%, un chiffre considérable comparativement aux années 70 où la contraception ne concernait que 7% de la population féminine.
Les spécialistes ayant participé à cette rencontre ont conclu que le recul de l’âge de mariage pour les Algériennes, qui est passé de 22 ans en moyenne dans les années 70 à 32 ans actuellement, est l’un des facteurs qui a contribué à ce taux. Ils ont appelé, dans ce sens, à lever les tabous autour de la contraception pour éviter les drames sociaux (grossesse non désirée, avortement clandestin, complications après un avortement douteux et autres).
source : Horizons-dz.com

Le thé vert est généralement consommé sous forme d'infusion. Dans le cas d’un régime détox ou amincissant, buvez-en trois ou quatre tasses par jour, sans sucre. En cas de fringale avant le repas, vous pouvez boire une tasse pour calmer votre faim et éviter le grignotage à condition que cela soit espacé d’1 heure avant le repas.
Il est recommandé d'en boire tous les jours, car l'action des principes actifs amincissants ne dépasse pas les vingt-quatre heures.
Après votre cure amincissante, veillez à en consommer régulièrement pour maintenir votre poids (deux ou trois tasses par jour).
Important : le thé inhibe l’absorption du fer et du calcium, c’est pourquoi il faut distancer la prise du thé d’au moins une heure avant et après le repas pour éviter les carences alimentaires.
Association ASEPA

La nouvelle est des plus inquiétantes. Selon une étude menée par des chercheurs chinois, la pollution atmosphérique favoriserait les douleurs liées aux règles. Explications.
Nausées et migraines. Poitrine gonflée, jambes lourdes et crampes aux hanches. Mal de dos et fatigue. Sans oublier les sautes d’humeur et les fortes douleurs au ventre. Chaque mois, les cycles menstruels apportent leurs lots de dysménorrhées (maux liés aux règles) encore trop peu pris au sérieux et négligés. Souvent bénins, ils peuvent devenir handicapants pour celles qui en souffrent. Et si la pause d’un stérilet en cuivre, un fibrome utérin ou des polypes (tumeurs bénignes) peuvent en être la cause, la pollution atmosphérique pourrait s’ajouter à la longue liste des responsables.
Selon une récente étude publiée dans la revue Frontiers in Public Health, la qualité de l’air a des conséquences sur l’intensité de ces douleurs. De 2000 à 2013, des scientifiques de l'université de Shanghai ont collecté près de 300 000 données de santé de personnes menstruées âgées entre 16 et 55 ans. En comparant les résultats, ils ont pu constaté que les polluants que l'on respire favoriseraient la production de prostaglandine. Celle-ci agit directement sur tonus musculaire et intensifieraient les contractions dans l'utérus.
Les jeunes femmes plus exposées
Dans le rapport, le Pr Chung Y. Hsu, l'un des auteurs, a expliqué : "Des recherches ont déjà montré que les femmes qui fument ou boivent de l'alcool pendant leurs règles, qui sont en surpoids ou qui ont leurs premières règles très jeunes, courent un plus grand risque de dysménorrhée. Celles qui n'ont jamais été enceintes également. Mais ici, nous démontrons pour la première fois un autre facteur de risque important de dysménorrhée : la qualité de l'air, en particulier l'exposition à long terme à la pollution".
Selon l’étude, la conclusion est des plus alarmantes : les risques de développer une dysménorrhée sont 33 fois plus élevés pour les sujets vivants dans de zones aux taux de polluants atmosphériques importants. Les plus exposés sont les plus jeunes aux revenus relativement faibles. Parmi les polluants qui multipliaient le facteur de risque, le rapport stipule que le dioxyde d’azote ou encore le monoxyde de carbone en font partie.
Le professeur Hsu tire la sonnette d’alarme : "C’est une illustration claire du besoin d’actions de la part des agences gouvernementales et des citoyens pour réduire la pollution de l’air". Et pour cause. En France, la moitié des émissions de ces dernières sont dues au secteur résidentiel (notamment le chauffage) et plus d'un quart au transport routier (carburant). Pour rappel, en France, la pollution de l'air a été responsable de 40.000 décès chaque année sur la période 2016-2019 (soit 7 % de la mortalité totale sur cette période), selon une étude de Santé publique France.
Source : yahoo.fr
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