
Le samedi 09Septembre 2017, l'École OXYjeunes organise une journée porte ouverte unique en son genre, à la découverte de la Bioénergie.
Ce workshop animé par le Dr DERRAHI Mounia. Psychologue et Thérapeute
et sa Collaboratrice Melle YOUBI Nabila, débutera à 13h00 sous forme d’un atelier collaboratif où l’on peut apprendre ce qu’est l'Equilibrage Energétique pour une remise en forme physique et psychique.
Cet Equilibrage aide à évacuer le stress, les émotions refoulées et profondes.
Il apporte une grande relaxation, une sensation de calme, de bien-être, de sérénité et pourra ainsi même prévenir certaines maladies.
Grâce à ces méthodes,chacun pourra retrouver son identité profonde, la mémoire de ce qu'il Est vraiment etpourra créer sa vraie place dans la Vie.
Cet atelier de trois(3) heures, permet d'obtenir une première ouverture à la Bioénergie, à travers une approche ludique, de façon informelle et détendue. Et avec plein de surprises...
Le nombre de places est limité.
Contactez-nous vite au 021 636 232 / 0549 826 463 ou sur Facebook : Ecole oxyjeunes
afin de réserver vos places pour assister à ce Workshop.
L’accès à cet atelier coûte 1500 DA.
Lieu : Alger centre

Vous avez remarqué depuis quelques semaines une perturbation de votre cycle menstruel ? Pas de panique, vous n’êtes pas la seule. C’est l’un des nombreux effets secondaires néfastes du confinement sur l’ organisme. Alors que de nombreuses internautes ont fait part d’un dérèglement sur les réseaux sociaux, les experts expliquent le lien entre stress, sédentarité et horloge hormonale. Le site pourquoidocteur.fr vous en dit plus.
“Il faut savoir que les hormones de stress sont sécrétées par les mêmes glandes que celles sécrétant les hormones dont dépendent les règles (…) C’est aussi connu qu’en captivité, par exemple dans le cas des détenues, on observe chez des femmes une disparition des règles voire un alignement de leur cycle, de sorte qu’elles aient leurs règles ensemble. C’est un effet hormonal pour les rendre fertiles au même moment, dans le sens où, de manière très animale, il y a une sorte de concurrence au sein d’un même foyer”, explique le gynécologue M. Marcelli.
Il Ajoute " en cas de stress, le cerveau ouvre un nouveau dossier. Il commande la production d’hormones du stress, le cortisol ou l’adrénaline. Si le stress dure trop longtemps, le cerveau met en parenthèse la production d'hormones sexuelles. C'est pourquoi un évènement stressant comme un burn-out ou un deuil peuvent perturber un cycle. Or, la période que nous vivons actuellement est bien évidemment particulièrement anxiogène."
Si aucun lien scientifique n'est encore avéré entre confinement et dérèglement, force est de constater que sur les réseaux sociaux, les témoignages de femmes allant dans ce sens se multiplient. Sur Twitter, la réalisatrice Ovide a réalisé un sondage pour essayer de déterminer le taux de femmes concernées. Sur 997 sondées, 23,7% des femmes évoquent des règles décalées tandis que 16,3% rapportent qu’elles ont “carrément disparu”. “Mes règles ont eu énormément de retard, j’ai dû faire un test car je commençais à flipper”, commente une internaute. “Je l’ai aies eu la semaine dernière avec trois quatre jours de retard alors qu’elles sont normalement très régulières”, “Pour le moment j’ai six jours de retard, ça ne m’était jamais arrivé” , s’inquiètent d’autres femmes.
Des règles plus douloureuses en l’absence d’Ibuprofène
De nombreuses internautes décrivent par ailleurs des règles “beaucoup plus douloureuses qu’à l’ordinaire”, notamment car l’Ibuprofène, médicament largement utilisé pour soulager les douleurs menstruelles, est actuellement fortement déconseillé par les autorités sanitaires.
Outre le stress lié à la peur de tomber malade, l'inquiétude pour ses proches et l'angoisse de l'après, une possible grossesse peut être derrière une absence de règles. En effet, cette période étrange peut être synonyme d’une activité sexuelle plus forte que d’ordinaire, pour celles confinées en couple. Qui plus est, le confinement modifiant de multiples habitudes, de nombreuses femmes se retrouvent à prendre la pilule à des heures décalées, ce qui peut entraîner un dérèglement. Le manque de lumière pourrait également jouer et perturber l'horloge interne des femmes à la façon d'un voyage à l'autre bout du monde avec décalage horaire à la clé.
“Pour retrouver un cycle normal, je n’ai pas de solution miracle, mais je ne peux que conseiller de se raccrocher à son rythme de vie d’avant-confinement, de faire du sport pour éliminer le stress, de bien dormir. Régulariser ses règles, ça passe par régler sa vie”, explique le docteur M. Marcelli, qui rappelle que la régularité du cycle dépend de la sensibilité de chacune.

Le report à la troisième semaine de septembre de l’examen du BEM, ainsi que la rentrée scolaire pour l’année 2021 au début du mois d’octobre prochain suscitent des appréhensions.
Les décisions prises en Conseil des ministres relatives au maintien de l’examen du BEM, ajourné à septembre, ne finissent pas de créer des vagues au sein des associations et organisations des parents d’élèves, des syndicats du secteur de l’éducation ainsi que de certains experts. Ainsi, les parents d’élèves et les syndicats du secteur réclament l’annulation de l’examen du BEM, au lieu de son report à septembre, et proposent de permettre aux élèves de passer au palier secondaire en calculant la moyenne du premier et du deuxième trimestre. “C’est devenu un motif de préoccupation pour toute la famille éducative, ce qui nous a incités à faire appel au président Tebboune pour intervenir et trancher cette décision que le partenaire social considère comme une improvisation qui ne sert pas l’élève”, a déclaré Ali Benzina, président de l’Organisation nationale des parents d’élèves.
Le président de l’Onpe a expliqué que “les élèves qui vont subir l’examen du BEM ne pourront pas conserver les connaissances et les acquis engrangés pendant plus de six mois, quelle que soit la préparation individuelle ou les cours de soutien”. Le report à la troisième semaine de septembre de l’examen du BEM, ainsi que la rentrée scolaire pour l’année 2021 au début du mois d’octobre prochain ont suscité la contestation de l’Association des parents d’élèves (Anpe) et de la FNTE-UGTA.
Le SG du syndicat a, ainsi, fait état d’une grande insatisfaction de la part des travailleurs du secteur, des parents d’élèves et des élèves en raison de la décision de maintien de l’examen du BEM en septembre, surtout après sept mois complets de “décrochage” scolaire. La Fédération nationale des travailleurs de l’éducation (FNTE) propose que tous les élèves de quatrième année qui ont une moyenne de 9 ou plus passent directement à la première année du secondaire, tout en donnant aux élèves ayant une moyenne de moins de 9 la possibilité de passer l’examen du BEM en septembre.
En notant que le taux de réussite à un taux de 9 ou plus est supérieur à 69%, il relève que, compte tenu des difficultés financières que le pays traverse, la démarche permettra d’économiser environ 70% des dépenses de l’examen du BEM, qui pourraient être utilisées pour la maintenance des établissements scolaires.
Ces avis rejoignent celui exprimé aussi par Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest), qui a lancé un appel au ministère de l’Éducation nationale pour l’annulation de l’examen du BEM en raison des répercussions négatives sur les élèves, en soulignant que ces derniers ont besoin de prise en charge et d’accompagnement après un décrochage de six mois. Pour le syndicat, l’approche du passage en comptabilisant les moyennes des deux premiers trimestres aurait pu être adoptée ou à défaut des mesures de rachat de 9/20, tout en gardant l’option du BEM au mois de septembre.
Auparavant, le SG du Satef, Boualem Amoura, s’est dit déçu par le maintien de l’examen, tout autant que le coordinateur national du Snapest, Meziane Meriane, qui s’interroge : “Comment meubler le vide pédagogique du 12 mars jusqu’à septembre ?” C’est dans cette optique qu’intervient le rôle des pédagogues qui préconisent aux parents le maintien de certaines activités pour éviter le risque de décrochage des élèves.
liberte-algerie.com
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