
Promesse du produit :
La marque DOP propose son 1er shampoing sec au parfum fruité de fraise qui neutralise l'effet gras au niveau des racines, donne du volume et parfume les cheveux pour 12h !
Sans silicone. Ne laisse pas de résidus visibles et convient aux cuirs chevelus sensibles.
Il peut s'utiliser au quotidien, les jours de paresse, pour espacer les shampoings ou en retouche parfumée !
On aimé :
Son parfum, délicieusement fruité à la fraise
Laisse une bonne odeur sur les cheveux
Ne laisse pas de résidus blanchâtres sur le cuir chevelu
On a moins aimé :
Le produit n'est pas efficace, il n'absorbe pas le sébum comme indiqué.
les cheveux ne sont pas forcément frais et propre
Notre avis : 4/10
Prix : 950 Da 150 ml ( en vente dans les magasins de cosmétiques )

Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé jeudi à Alger que les imams et leurs auxiliaires sont interdits de pratiquer la Roqia dans les mosquées et écoles coraniques, soulignant qu’il ne s’agit nullement « d’une profession » et qu’elle « ne sera pas homologuée ».
M. Aissa qui répondait à une question du membre de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Eddaoui, sur le recours croissant de larges franges de la société au traitement par la Roqia, a indiqué que son département « interdit fermement aux imams de pratiquer la Roqia dans les mosquées et écoles coraniques », admettant toutefois que cette pratique gagne de plus en plus de terrain au sein de la société algérienne, voire la société arabo-musulmane ».
Il a rappelé dans ce sens le communiqué publié par le ministère à ce sujet en 2003 et renouvelé en 2015, définissant « la Roqia et les conditions de celui qui la pratique » et précisant « qu’elle n’est pas une profession et ne pourrait jamais l’être ».
M. Aissa a rappelé également la campagne de sensibilisation qui a suivi la publication de ce communiqué notamment à travers les médias pour sensibiliser les la société.
A une question sur une fetwa autorisant l’étourdissement par électrocution des bêtes avant l’abattage, M. Aissa indiqué que le conseil scientifique installé par le ministère en 2014, avait dit son mot sur ce sujet lors de sa première session, tenue à Ghardaïa, et ce à la demande du ministère de l’Agriculture, ajoutant que le ministère avait respecté cet avis et le dossier a été clos.
Le ministre a indiqué également que les membres de la commission de la fetwa avaient été renouvelés, ajoutant que la commission présidée par Tahar Ait Aldjat est composée de cadres du ministère.
D’autres instances de fetwa sont également réparties à travers les wilayas pour répondre aux doléances des citoyens, a-t-il encore ajouté.
aps

Avez-vous déjà goûté le kaki ? Originaire de la Chine, il se cultive maintenant dans de nombreux endroits du monde : au Japon, au Portugal, en Espagne, en France, au Brésil, au Liban, en Algérie,… Si bien qu’il n’existe pas seulement une variété de kaki, mais près de 3000 ! En Europe, c’est un fruit à la couleur orangée qui prend souvent la forme d’une tomate.
Vendu principalement dans les mois d’automne, le kaki gagne à être connu. Non seulement il est délicieux, mais il regorge aussi de bienfaits pour la santé.
Quels sont les bienfaits du kaki ?
Le kaki est, tout d’abord, très riche en carotène, que l’on appelle aussi pro-vitamine A. C’est même l’un des fruits qui en contient le plus, au même titre que la mangue, l’abricot et le melon. Il présente aussi généralement une haute teneur en vitamine C, bien que celle-ci diminue au fil de sa maturation. Ainsi, plus le kaki sera mûr, moins il contiendra de vitamine C.
Outre cela, le kaki contient de nombreux antioxydants, tels que des lycopènes et du bêta-carotène. Il est aussi riche en fibres et en fer.
Enfin, notez que le kaki est riche en fructose et glucose. Ces sucres lui donnent un pouvoir énergétique, mais, si vous voulez perdre du poids, ils vous forceront aussi à limiter votre consommation de kaki.
Mais concrètement, qu’est-ce que toutes ces valeurs nutritionnelles apportent à notre corps ? Voici les raisons pour lesquelles vous devriez ajouter ce fruit asiatique à votre alimentation.
1) Pour une bonne digestion
Les fibres qu’il contient font du kaki un fruit idéal pour ceux qui font face à des problèmes de digestion. Elles ont deux actions principales : d’une part, elles favorisent l’absorption des nutriments dans l’estomac et, d’autre part, elles font en sorte que les déchets ne restent pas dans l’organisme.
Ainsi, les fibres aident à stimuler le transit intestinal et à réguler la digestion. De plus, elles purifient les intestins et protègent l’estomac, pour ainsi lutter contre les maladies touchant le système digestif.
Enfin, lorsqu’il est consommé cru, le kaki aide à combattre la constipation et, lorsqu’il est cuit, il aide à mettre un terme aux problèmes de diarrhée.
2) Pour protéger les yeux
Le bêta-carotène qu’il contient participe à la protection de la rétine contre les agressions extérieures. De plus, grâce au pouvoir antioxydant de la lutéine et de la zéaxanthine, le kaki aide à empêcher l’apparition d’un grand nombre de maladies touchant les yeux.
3) Pour renforcer le système immunitaire
Très riche en vitamine C, le kaki est évidemment aussi très bon pour le système immunitaire. Il le renforce et nous aide ainsi à mieux lutter contre un grand nombre de maladies, telles que le rhume et la grippe. De quoi bien préparer notre organisme contre les ennemis hivernaux !
4) Pour maintenir le cœur en bonne santé
Grâce à sa richesse en antioxydants, le kaki aide à lutter contre les maladies coronariennes et à empêcher l’apparition de maladies cardio-vasculaires.
Mais quand il s’agit de maintenir le cœur en bonne santé, le fruit n’est pas le seul que l’on doit prendre en considération : ses feuilles sont aussi très bénéfiques. En effet, l’extrait de feuilles de kaki aide à lutter contre l’hypertension, en contrôlant la tension artérielle. Très utilisé à cette fin dans de nombreux pays asiatiques, certains affirment que cet extrait aurait également un pouvoir anticoagulant.
5) Pour lutter contre le mauvais cholestérol
Une autre raison pour laquelle le kaki est bon pour le cœur, c’est pour son impact sur le cholestérol. Ainsi, en consommant du kaki, vous favorisez la réduction de taux de cholestérol dans votre sang.
6) Pour combattre le diabète
Autre maladie qui touche de nombreuses personnes dans notre société, le diabète craint aussi le kaki. Plus particulièrement, ce sont les feuilles du kaki qui ont un pouvoir intéressant contre le diabète, aussi bien en termes de prévention que de traitement.
Riches en antioxydants, ces feuilles ont un effet à peu près similaire à plusieurs médicaments antidiabète. Mais ce n’est pas tout : en jouant un rôle dans le transport du glucose, elles favoriseraient la sensibilité à l’insuline.
7) Pour lutter contre le stress oxydant
Le stress oxydant apparait lorsque les défenses antioxydantes de notre organisme ne sont pas assez nombreuses. Or, ce stress est dangereux pour la santé car il peut entraîner, entre autres, certains cancers et le vieillissement prématuré de la peau.
Grâce à ses puissantes propriétés antioxydantes, le kaki aide à lutter contre ce phénomène. Il aide ainsi à empêcher l’apparition et le développement de plusieurs cancers, tels que celui du côlon, mais aussi à prendre soin de notre épiderme.
8) Mais encore…
Le kaki ne se limite pas à ces bienfaits principaux. Outre ceux-ci, il peut aussi :
- Favoriser la croissance des enfants et leur donner de l’énergie ;
- Empêcher l’apparition de l’athérosclérose ;
- Lutter contre les problèmes de fatigue et de somnolence ;
- Ouvrir l’appétit ;
- Donner bonne mine ;
- Favoriser la cicatrisation.
source : justebien.fr

AVEC MODERATION L’agence de sécurité sanitaire tire la sonnette d’alarme alors que des sites conseillent de manger à forte dose ces amandes auxquelles on prête des vertus contestables…
Les amandes à l’intérieur des noyaux d’abricot sont à consommer avec modération en raison du « risque d’intoxication au cyanure », a recommandé dimanche l’agence de sécurité sanitaire (Anses). L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation a relayé les recommandations de son homologue européenne : « environ une à trois amandes pour les adultes et la moitié d’une petite amande pour les enfants » au maximum chaque jour.
Elle fait état dans un rapport de 154 cas d’intoxication entre janvier 2012 et octobre 2017. Deux d’entre eux illustrent particulièrement le danger : une femme de 54 ans qui, « après avoir consommé 50 amandes en une journée », a été hospitalisée en hypotension, et un homme de 87 ans qui en avait mangé 40, et qui a fait « un malaise cardiaque ». Dans les autres cas ont été rapportés de nombreux symptômes : vertiges, sensation de malaise, maux de tête, troubles digestifs, palpitations, gêne respiratoire.
Prétendu remède au cancer
« Ingrédient bien connu des confectionneurs de confitures, les amandes de noyaux d’abricot sont de plus en plus consommées comme remède naturel pour de prétendues propriétés "anti-cancer" », a constaté l’Anses dans un communiqué. « Il n’existe aucune preuve scientifique » laissant penser que ce fruit à coque prévient ou guérit la maladie, a-t-elle souligné.
Pourtant, il « suscite un engouement que l’on mesure sur internet où des sites encouragent leur consommation en grande quantité, pouvant aller de 10 amandes par jour en prévention à 60 amandes pour les personnes atteintes d’un cancer », a déploré l’Agence. Mais que les amateurs se rassurent : « La consommation de ces amandes dans un but d’agrément alimentaire reste possible », tant qu’on est raisonnable.
source : 20minutes.fr
1 Dizaine de tomates cerise ou 5 tomates normales
Egouttez le thon et pressez-le fermement entre vos mains pour enlever tout le jus. Emiettez-le.
Rincez les tomates cerise, coupez-les en 2, épépinez-les et coupez-les en morceaux.
Préchauffez le four à 180°C.
Mélangez la farine, le parmesan, la levure chimique, du sel et du poivre dans un saladier.
Creusez un puits et ajoutez l’œuf préalablement battu avec l’huile d’olive et le lait.
Mélangez doucement avec une cuillère en bois pour obtenir une pâte lisse.
Ajoutez les tomates, le thon, le thym effeuillé et mélangez à nouveau rapidement.
Recouvrez une plaque allant au four d’une feuille de papier sulfurisé et disposez des petits tas à intervalles réguliers.
Aplatissez un peu le dessus de chaque cookie avec le bombé d’une cuillère et faites cuire 20 à 25 min.
Laissez refroidir les cookies sur une grille et dégustez tiède.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.