
Après l’offre Sahafi, destinée aux journalistes, Algérie Télécom lance l’offre Moohtarif, destinée aux petites entreprises et professions libérales, un pack avec des avantages en internet et en téléphonie.
Selon un communiqué d’AT, le nouveau Pack Moohtarif propose une ligne téléphonique IDDOM Fixe pour des communications illimitées vers le fixe local et national et jusqu’à 30% de réduction vers les mobiles et l’international. L’offre comprend aussi un appareil téléphonique sans fil à double combiné, un modem ADSL, ainsi que la solution ‘’One Click’’ de création et de publication de site web (un nom de domaine .dz et un espace d’hébergement de 1 Go + une boite mail).
Pack MOOHTARIF Jusqu’à 4Mbps à 4999 DA/Mois et Pack MOOHTARIF Jusqu’à 8Mbps à 6999 DA/Mois :
- Une ligne téléphonique IDOOM FIXE avec des communications illimitées vers le fixe local et national et jusqu’à 30% de réductions vers les mobiles et l’international.
- Un appareil téléphonique sans fil à double combiné.
- Un Modem ADSL.
- Une solution « One Click » de création et de publication de site web (un nom de domaine « .dz » + un hébergement avec espace de disque de 1Go + une boite mail).
source : Kabylie-news.com

Casbah event organise à partir du 25 mai 2018 à 21h30, un balade nocturne en bus à ciel ouvert pour découvrir #Alger la nuit
Départ de #ruisseaux en face du tribunal chaque vendredi soir durant tous le mois de #Ramadan
Pour réserver il suffit juste d'appeler le : 0555910899
Le prix de cette balade est de 2000 Da / personne avec collation " Thé + gâteaux traditionnels"
Au Programme:
-Musée des antiquités
-Rue Didouche Mourad
-Boukalat
-La grande poste
-Boulevard Zighoud Youcef vers Che Givara
-Shooting photo
-Place des martyrs
-Atelier Hayek
-Bastion 23
Le tribunal de Bir Mourad Rais a prononcé dans la soirée de jeudi 08 novembre la relaxe de notre collègue Abdou Semmar éditeur de Algérie Part et de l'administrateur du site Merouane Boudiab, avec complément d'enquête. Le procès a démontré que nos confrères ont été mis en détention préventive pour des publications de presse et pour rien d'autres contrairement à tout ce qui a pu se dire à ce sujet notamment par une des deux parties plaignantes, la télévision Ennahar. Le procès a révélé une grave atteinte à la constitution algérienne et à la loi qui protège la liberté de la presse et qui exclu l'emprisonnement des journalistes pour leurs écrits. Il a aussi montré que les plaintes des parties adverses sont intervenues après le début de la garde à vue chez la gendarmerie nationale. L'audience a même, circonstance révélatrice d'une volonté pure de réprimer, montré que Merouane Boudiab a été mis en mandat de dépôt sans qu'aucune plainte ne soit enregistrée contre lui, mais simplement parce qu'il travaille à Algérie Part.
- Le syndicat algérien des éditeurs de la presse électronique, SAEPE, se félicite de cette issue et appelle, comme il l'a fait depuis le début de cette affaire, à une enquête sereine de la justice face aux plaintes d'éventuelles parties contre des faits de presse. Les citoyens ont le droit d'être mécontent des publications de journalistes. Les professionnels de l'information ont, de leur coté, le droit d'exercer leur métier loin des pressions, notamment la menace de l'emprisonnement préventif abusivement utilisée ces dernières semaines contre notamment les web-journalistes dans une des dérives les plus graves contre la liberté de la presse.
- Le SAEPE salue la mobilisation décisive de ses membres, des confrères de la presse, et celle des associations de la société civile défenseuses des libertés en Algérie. Il remercie en particulier les robes noires pour l'engagement spectaculaire de 57 avocats au profit de nos collègues journalistes. Les plaidoiries d'une grande partie d'entre eux ont permis de mesurer combien l'affaire de Algérie Part était entachée par une série inquiétante d'atteintes à la loi et au code de procédure pénale.
- Le SAEPE se déclare mobiliser pour la remise en liberté des autres confrères toujours détenus dans des affaires liées à l'exercice de leur métier similaires à celle de Algérie Part. Nous demandons les libérations sans délais de Adlene Mellah (DzairPress), Lies Hadibi (Al Djazair24), Abdelkrim Zeghilache (Sarbacane), Said Chitour (Indépendant), et le retour à des procédures judiciaires sereines, respectueuses de la loi, du droit des accusés d'être instruit à charge et à décharge et au non recours à la prison dans les cas de délit de presse comme le prévoit le droit.
- Le SAEPE espère que cette très pénible situation par laquelle passe le web- journalisme et l'édition de presse électronique servira à faire prendre conscience à l'opinion combien il est aujourd'hui important, pour l'indépendance de l'information au profit du citoyen, de protéger nos métiers et nos médias. La presse électronique était marginalisée par les pouvoirs publics et c'était déjà inacceptable. Elle est aujourd'hui l'objet d'une campagne de répression sans limites à laquelle la justice peine à donner une couverture juridique. Nous espérons que les pouvoirs publics vont à leur tour se rendre compte de l'affaiblissement de la vie publique et de l'image de l'Algérie que provoque cette campagne comme les médias électroniques et plus généralement contre la liberté de la presse. Le SAEPE réitère son appel au dialogue avec le ministère de la communication pour organiser l'avenir de la filière.
communiqué SAEPE

Dans le cadre du projet de la promotion féminine, Caritas Algérie vous propose de rejoindre les ateliers de la Casbah pour divers apprentissages dont voici en visuel le programme. Les apprentissages sont consolidés par 02 nouveaux ateliers savon, et pâtisseries turques .
Les ateliers débuteront le du 3 octobre 2021
Prix :1000DA à raison de 04 séances par mois.
Tél 0676189910


« Le monde de l’art n’est pas fait que de créateurs. Il existe en grande partie aussi grâce au commerce. De même, les œuvres d’art doivent pouvoir être montrées dans un but éducatif mais également, tout simplement, pour exister dans le regard du public. Aujourd’hui, ces deux dimensions sont en pleine expansion. L’art se vend, l’art se montre, et les métiers en rapport, bien que difficiles d’accès, sont passionnants. » Antoine Teillet
Ll’association sauvons la Casbah d’Alger et son appendice artistique l'atelier N.A.S organisent une rencontre intitulée « Les discussions des arts » qui vise à réunir les acteurs du secteur de l’art, en Algérie, au centre des arts et de la culture, Bastion 23, le 19 Avril 2018 à partir de 17h00.
Dans une ambiance détendue, les discussions aborderont cinq thèmes principaux :
− La Formation Artistique,
− Le Commissariat d’exposition,
− La cote d’un artiste ?
− La conservation des œuvres,
− Le marché de l’art en Algérie.
Les objectifs de cette rencontre sont d’ouvrir le débat sur le secteur de l’art en tant que secteur économique à part entière ; Et de questionner les expériences, les attentes et les objectifs des différents acteurs de ce secteur. Ainsi, à la fin de la rencontre, une liste de recommandations citoyennes et concertées seront transmises au Ministres de la Culture, afin d’esquisser une stratégie de création d’un marché de l’art, en Algérie.
Sont invités à cet évènement les enseignants de l’école supérieure des beaux arts d’Alger, les galeristes, les conservateurs de musées publics, les artistes, les collectionneurs d’art, des représentants des ministères de la culture, du Travail, du commerce, du tourisme, et de l’enseignement supérieure.
La rédaction
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