Vous voulez la 3G ? Il faudra que vous changiez de numéro de téléphone
Les Algériens qui voudront s’abonner à la 3G devront changer de numéro. Ou, du moins, opter pour une autre puce avec deux numéros (l’ancien et le nouveau 3G. C’est ce qu’a indiqué, aujourd’hui à l’APS, Mohamed Toufik Bessai, président du Conseil de l’Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT).
«L’ARPT a décidé de dédier une numérotation spéciale à la 3G+, conformément au cadre juridique algérien en vigueur, qui prescrit qu’il ne peut y avoir qu’une licence par segment ou technologie. Il n’y aura, donc, pas de numérotation 2G-3G commune», a-t-il précisé. Ce changement n’est pas dû à des contraintes techniques, mais d’après Bessai, ce choix est motivé par le souci d’éviter «des comptabilités opaques». Comme si tous les autres pays où le les numéros 2G compatibles avec la 3G étaient laxistes en matière de comptabilité.
Le patron de l’ARPT a annoncé de son côté que le lancement de la 3G s’est fait en se basant sur «l’arsenal législatif et réglementaire actuel». Et c’est là où se pose le problème. Comme les trois opérateurs ne couvriront pas tous le territoire national – chacun des opérateurs devra couvrir séparément un nombre de wilayas – les citoyens seront, dans bien des cas, dans l’obligation d’opter pour un autre opérateur, d’autant plus que la portabilité (changer d’opérateur sans changer de numéro) n’est pas autorisée en Algérie.
Cette contrainte n’est pas du goût de tout le monde, notamment des opérateurs comme Nedjma Ooredoo. Son directeur général Joseph Ged, a estimé que le changement était inutile, voire handicapant, et a même expliqué jeudi soir à Maghreb Emergent qu’il s’y opposait. “Des informations circulent que l’Autorité de régulation (ARPT) a décidé d’aller vers un deuxième numéro pour la 3G. Si ces informations venaient à se confirmer, Ooredoo s’oppose à cette démarche. Nous ne voyons aucune raison logique derrière cela, ni aucun avantage pour les usagers algériens dans cette décision d’avoir deux numéros séparés. Parce que cela va engendrer une puce et un abonnement additionnels, ainsi qu’un coût de téléphone supplémentaire. Finalement cela occasionnera des coûts d’acquisition et des coûts de services pour les Algériens. C’est contre toute la logique de démocratisation du haut débit” a-t-il confié au média économique.
Ce dernier a également expliqué que l’excuse de la comptabilité n’était pas solide. « Ce que j’aimerais vous préciser, c’est que l’existence de deux numéros distincts, l’un pour la 2G et l’autre pour la 3G, n’a rien à avoir avec la séparation des chiffres d’affaires. Je vous donne un exemple : si un appel est lancé dans une zone de couverture 3G et qu’il est poursuivi dans une zone 2G, l’obligation pour les opérateurs, et là je parle de Ooredoo, est de ne pas faire tomber l’appel, et de permettre à l’usager de continuer son appel sans interruption en le balançant sur le réseau 2G. La comptabilité analytique nous impose de faire la distinction entre les deux chiffres d’affaires des communications passées en 2G et celles effectuées en 3G », précise la même source. Et d’ajouter : “Donc, quand un numéro 3G sort de la zone 3G couverte par un opérateur, il va basculer systématiquement sur le réseau 2G. Nous avons expliqué cela (à l’ARPT, ndlr) à plusieurs reprises, que deux numéros distincts (2G et 3G) cela ne donne pas une comptabilité analytique. Alors pourquoi on veut compliquer la vie aux abonnés, je ne sais pas… “
En somme, le pays a opté pour la 3G sans pour autant faire évoluer sa législation. Par ailleurs, celui-ci, tous comme d’ailleurs la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Mme Zohra Derdouri, a confirmé que le lancement de la 3G ne se fera pas ce 1er décembre, mais la fin du mois, pour étre en adéquation avec la réglementation des télécoms. La raison est liée au retard mis dans l’officialisation, par le biais d’un décret, de l’attribution des licences aux trois opérateurs. «La téléphonie mobile 3G+ ne pourra être lancée qu’une fois le décret exécutif d’octroi de la licence signé et notifié aux trois opérateurs (Mobilis, Ooredoo et Djezzy)», a déclaré, de son côté Derdouri dans un entretien à l’APS. En tout cas, elle promet que cela ne saurait tarder et que la 3G sera disponible avant la fin de l’année.
www.algerie-focus.com
source phot : alger-info.com

Ingrédients
- 50 cl de crème fraîche épaisse
- un demi-verre de sucre en poudre
- un demi-verre de sucre glace
- 3 œufs
- 1 tablette de chocolat
1. Faites fondre dans une casserole le chocolat.
2. Fouettez dans un bol les jaunes d’œufs avec le sucre puis versez la crème fraîche et le chocolat fondu.
3. Battez les blancs d’œufs en neige ferme à l’aide d’un batteur électrique.
4. Ajoutez-y une pincée de sel puis incorporez le sucre glace.
5. Repétrissez le tout ensemble pour que le mélange devienne mousseux.
6. Mettez la glace dans un récipient et réservez au congélateur durant 3 h
7. Servez la glace avec une sauce au chocolat.
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Algérie : le vaccin du coronavirus disponible dans un mois
Il sera gratuit, mais non obligatoire, selon le directeur de l'agence nationale de sécurité sanitaire, Kamel Sanhadji
Le directeur de l'agence nationale algérienne de sécurité sanitaire, Kamel Sanhadji a annoncé que le vaccin du coronavirus sera mis à la disposition des citoyens algériens au bout d’un mois.
Dans une déclaration accordée à la radio publique algérienne, Sanhadji a expliqué que le vaccin sera gratuit, mais non obligatoire.
"Tous les vaccins sont en phase d’étude actuellement. Si tout se passe bien, nous lancerons l’opération de vaccination après la révélation du vaccin que l’Algérie va acquérir", a-t-il ajouté.
Pour rassurer les Algériens, Sanhadji a réitéré que son pays optera seulement pour le vaccin approuvé par l'Organisation mondiale de la Santé en termes d’efficacité et de qualité.
Il est à noter que le bilan du coronavirus en Algérie s’élève à 85 927 contaminations, 2 480 décès et 55 538 rémissions.
Source : aa.com
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Le samedi 28 Juillet 2018, à l’hôtel du Val (Alger) a eu lieu la première conférence de presse du Chef
Sherazade pour le lancement de son livre en Algérie "Ma cuisine Algérienne" publié en 2017 aux éditions Solar à Paris.
Ce livre n’est pas une simple énumération de recettes de cuisine, c’est avant tout le partage et le désir du
Chef Sherazade de promouvoir le raffinement de la cuisine algérienne à l’international.
Chef Sherazade propose dans ce recueil, aux photos inspirées, de partir à la découverte de la cuisine algérienne : celle qui permet de préparer le couscous de 300 façons différentes ; qui est synonyme de générosité, de simplicité et d’évasion”, Peut-on lire dans la présentation de l’ouvrage de cette passionnée qui est chroniqueuse culinaire sur France 2, animatrice culinaire sur Bein Gourmet et sur une chaîne privée algérienne Samira TV.
Communiqué de presse
crédit photo : ITN
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Résumé du livre :
Notre cerveau est plus grand que toutes ses créations. Ce n’est pas à notre cerveau de s’adapter à nos créations, mais l’inverse. De la médecine à la politique, du marketing à l’éducation, appliquer ce principe, c’est se changer soi-même... et changer le monde. Notre société brasse aujourd’hui une quantité gigantesque de connaissances et, malgré tout, ne produit que très peu de sagesse. Or, une civilisation qui produit beaucoup de savoirs sans sagesse est vouée à l’autodestruction.
L’ouvrage traite en particulier de la neuroergonomie, la science qui étudie le cerveau au travail. De l’école au bureau, ou en ville, le potentiel de cette nouvelle science est immense, aussi bien socialement qu’économiquement. Il décrit précisément notre cerveau, ses capacités, ses limites, ses points aveugles, et les moyens connus de l’utiliser au mieux. Des cas récents nous démontrent en effet à quel point l’usage de notre cerveau est perfectible : es calculateurs prodiges comme Alexis Lemaire parviennent à calculer la racine treizième d’un nombre à cent chiffres en moins de quatre secondes. Or, ils ont le même cerveau que nous ! La différence réside donc dans leur manière de l’utiliser, et en particulier dans leur capacité à répartir la charge cognitive sur plusieurs fonctions de leur esprit.
Cette capacité, Idriss Aberkane nous explique comment nous pourrions tous la maîtriser.
Biographie de l'auteur :
Né en 1986, formé dans une école primaire expérimentale au sein d’une ZEP (zone d’éducation prioritaire), passé par Normale Sup’ et Cambridge, il est titulaire de trois doctorats : en neurosciences, en géopolitique et en littérature (étude sur le soufisme), il est professeur à Centrale-Supélec, chercheur à Polytechnique, chercheur affilié à Stanford, professeur d'économie de la connaissance pour Mazars et ambassadeur du Campus des Systèmes Complexes Unitwin/Unesco. Ayant conseillé plusieurs gouvernements (marocain notamment) et multinationales, il a donné plus d’une centaine de conférences sur quatre continents. En 2009, il crée également un opérateur de microcrédit agricole à taux zéro dans la vallée du fleuve Sénégal, puis une société de jeux vidéos éducatifs, Scanderia.
Lien du livre :
https://www.fichier-pdf.fr/2016/12/29/liberez-votre-cerveau-par-idriss-aberkane/liberez-votre-cerveau-par-idriss-aberkane.pdf
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La dépouille de Bakhta Ramdani, connue comme étant la surfeuse la plus âgée en Algérie, a été retrouvée ce jeudi 18 mars 2021 sur l’une des plages de la wilaya de Jijel, selon plusieurs médias citant des sources familiales.
La disparition de Bakhta Ramdani a été signalée cela fait une quinzaine de jours au large d’une des plages de Tipaza.
Originaire de Chenoua (Tipaza), Mme. Ramdani, âgée de 69 ans, pratiquait ce sport depuis ses 25 ans, soit plus de 40 ans d’expérience, affirmait-elle au micro de la chaine de télévision, Ennahar (vidéo ci-dessous).
La surfeuse a d’abord pratiqué plusieurs sports à savoir le karaté et la boxe ou encore l’athlétisme et la plongée sous-marine avant d’opter pour le surf.
Ni la boxe ni le karaté …Bakhta Ramdani se passionne pour la planche à voile
Sa passion pour la planche à voile a été découverte durant un séjour en Tunisie, à l’âge de 25 ans. Elle rejoint un club dans le même pays, à Djerba pour une certaine durée avant de se diriger aux Iles Caraïbes pour y séjourner puis y acheter une maison.
Bakhta Ramdani disait, dans une interview accordée à Alem El Ahdah, avoir voyagé dans plusieurs pays à travers le monde pour pratiquer cette discipline sportive.
Elle a également affirmé avoir participé à des compétitions, dont une internationale qui s’est déroulée au Cap Vert en 2008 et laquelle elle s’est classée 5e.
Après une absence de 30 ans, elle est définitivement rentrée en Algérie, pour, espérait-elle, transmettre sa passion à des jeunes algériens. 24hdz.com
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Nadjib 29 Novembre 2013 à 20:08:59
C'est l'Algérie