
ALGER - Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, n'a pas exclu, samedi soir, un durcissement du confinement, si la Commission scientifique chargée du suivi de l'évolution du coronavirus en Algérie le recommanderait.
"Nous exécutons les recommandations de la Commission scientifique. Si elle voit qu'il est impératif d'aller vers un confinement partiel, dans quelques villes ou quartiers, on le fera", a-t-il déclaré dans une interview à la chaîne française France 24.
Le Président Tebboune a ajouté qu'il "s'attendait un peu à la progression" des cas de contamination, souhaitant que "cela s'arrête et que les mesures prises par la Commission scientifique soient respectées par les citoyens".
"Parfois, les traditions ont pris le pas sur les recommandations de la Commission scientifique. Nous avons constaté que la progression, qui paraît à la limite acceptable, est due beaucoup plus à des contacts familiaux, mariages, circoncisions et autres...", a-t-il déploré, avant de souligner "avoir lancé un appel et demandé à tous les responsables locaux et autres afin d'interdire ce genre de regroupements dans des endroits clos".
Il a, en outre, regretté que "parfois quelques jeunes ne croient pas au Covid-19 tant qu'ils ne l'ont pas vu de leurs propres yeux et pensent que c'est un spectre qu'on utilise pour essayer de les empêcher de s'exprimer", relevant, toutefois, que "cela commence à changer".
"Faut-il ouvrir partiellement ou pas les frontières, l'environnement géographique a opté pour le déconfinement total bien que les chiffres des contaminations et des décès soient élevés. Nous allons en fonction de nos capacités et de notre crainte de voir les chiffres s'élever encore plus", a, par ailleurs, rétorqué le Président de la République, s'agissant de la question de réouverture ou pas des frontières.
APS

Les boîtes hermétiques en plastique sont très pratiques, mais elle ne sont pas toujours adaptées à tous les aliments. En voici sept qu'il ne faut pas conserver dans ce type de contenants.
Les boîtes hermétiques sont très pratiques et vous permettent de conserver vos restes plusieurs jours au réfrigérateur. En plus d’éviter le gaspillage, elles vous permettent de cuisiner vos repas à l’avance ! Seulement voilà : le plastique favorise la prolifération de bactéries et de moisissures dans votre nourriture, ce qui peut vous causer des intoxications alimentaires et des troubles digestifs, selon le magazine Femme Actuelle. Certains aliments peuvent également perdre en fraîcheur lorsqu’ils sont conservés dans ce type de contenants.
Le fromage blanc et les yaourts :
Le fromage blanc et les yaourts ne doivent pas être conservés dans des contenants en plastique. Prenez soin de les stocker dans la partie intermédiaire du réfrigérateur, entre 5 et 7 degrés.
les oeufs :
Les oeufs ne doivent pas être gardés dans des contenants en plastique. Pour rappel, il n'est pas nécessaire de conserver les oeufs crus au réfrigérateur.
le fromage :
Le fromage ne doit pas être conservé dans une boîte hermétique en plastique. Préférez le bac à légumes de votre réfrigérateur.
la viande crue :
La viande crue ne doit pas être conservée dans une boîte en plastique. Conservez-la dans la partie la plus froide du frigo, entre 0 et 4 degrés.

La guerre de Libération nationale a fait de la femme algérienne un acteur décisif, par sa présence multiforme sur tous les terrains de la lutte : maquis, guérilla urbaine, prison, camps, travail dans la clandestinité en Algérie comme en France. Les poseuses de bombe ont été médiatisées dans la colonie comme en métropole. Les autres le furent moins, mais cela ne diminue en rien leur rôle dans la lutte contre l’armée coloniale.
Le militantisme des moudjahidate n’a pas pris fin avec la proclamation de l’Indépendance, le 5 juillet 1962. (…). Jamais durant la guerre de Libération nationale, elles n’avaient mis en avant leurs propres revendications. Cette priorité donnée à la libération n’a pas été payée en retour. (…) La fièvre de l’Indépendance tombée, elles feront le constat de leur non-existence en tant qu’acteurs passé et futur. (…). Refusant la capitulation, elles se remobilisent pour un autre combat.
Les cinq actes du 8 Mars 1965
La première grande manifestation des femmes à Alger le 8 mars 1965 a pour slogan le combat pour l’égalité.
Pour se mettre au diapason avec la Fédération internationale des femmes démocratiques, le gouvernement du président Ahmed Ben Bella proclame le 8 Mars 1965, journée officielle de la femme en Algérie. Pour donner du sens à cette journée, un meeting officiel est programmé au Majestic (salle Atlas).
L’une des coordinatrices de l’UNFA, une moudjahida, Zohr Zerrari, déclare à l’APS que l’Algérie commémorera désormais le 8 Mars sous l’égide de l’UNFA et que cette journée aura un éclat particulier (…). Placé sous le slogan « l’égalité de l’homme et de la femme”, l’UNFA mobilise à cette occasion 10 000 femmes pour un défilé grandiose du Champ de manœuvres (place la Concorde) à Bab El-Oued, en passant par le port, pour s’achever par un meeting présidé par le président A. Ben Bella au Majestic. D’un point de vue historique mais aussi politique, cette journée trouvait tout naturellement sa place dans une Algérie nouvelle, avec des femmes nouvelles, déterminées à faire entendre leur voix et à se faire une place dans une Algérie en chantier. Ce 8 mars 1965 se tient à la veille du congrès de l’UGTA et de la tenue, en été à Alger, de la Conférence afro-asiatique des femmes.
La solidarité avec les femmes bâtisseuses : angolaises, érythréennes et toutes celles qui luttaient contre l’oppression coloniale l’a emporté sur la construction du socialisme, mot d’ordre par excellence de l’époque. L’égalité revendiquée est à plusieurs variables. Sur le plan national, les Algériennes y voient le prolongement du combat qu’elles avaient livré quelques années auparavant contre l’occupant et sa tyrannie et, à un degré plus factuel, cette lutte marquait l’implication de la femme dans tous les secteurs de la vie quotidienne du pays devenu souverain. Elles se voulaient partie prenante de la libération/émancipation de « la patrie », devenue dans la littérature écrite et orale de ces femmes un concept à portée historique et idéologique. Sur le plan international, ce combat s’inscrivait de facto dans la continuité de celui mené par ces mêmes femmes contre l’oppression dans le monde, contre la minorisation et la marginalisation de celles qui constituaient plus de la moitié de l’humanité, mais qui étaient des sans-droit dans des pays qui en ont fait le principal mobile de leur lutte émancipatrice. L’appel lancé à cette occasion par l’UNFA, ce 8 mars 1965, n’a pas pris une ride :
“Femmes algériennes, cette journée doit revêtir un caractère exceptionnel, elle doit être une démonstration vivante de notre détermination politique.” (In. Le Peuple, 8 mars 1965).
Sont convoquées “au grand meeting populaire… toutes les femmes d’Algérie, les travailleuses, les militantes, les anciennes détenues, les veuves de chouhada.” Le savoir, comme produit immatériel, faisait corps avec les femmes travailleuses et les femmes au foyer. Ce qui réunissait les unes aux autres, c’était l’âme de la guerre de Libération, une flamme non encore éteinte.
C’était également les espoirs de voir l’Algérie tant désirée, unie dans une sorte de communion fraternelle, prendre un départ où les différences seraient bannies, où chacune et chacun aurait sa place.
Lors de leur marche du Champ de Manœuvres au Majestic, les femmes reprennent en cœur les mots d’ordre officiels lancés par le peloton de tête, c’est-à-dire par les responsables et militantes de l’UNFA : “Solidarité avec nos sœurs angolaises, érythréennes…” etc. Bref ! étaient nommées les femmes de tous les pays sous domination coloniale.
Mais, en consultant Alger Républicain du 9 mars, nous voyons des femmes portant des banderoles avec les inscriptions suivantes : “Application de la Charte d’Alger = libération de la femme”, “La femme sur le front du travail”, ou encore “L’émancipation de la femme se fera aussi par le travail”, sous-entendu pas seulement par le combat auquel elle a pris part. Puis petit à petit d’autres mots d’ordre spontanés (?) fusent, couverts au début par les hauts parleurs de tête, mais vite repris à l’unisson et couvrant les mots d’ordre officiels : “Kouna moudjahidate, rana âamilaate” (2). Ces mots d’ordre, repris en chœur, accordaient une large place à l’égalité, au travail, aux droits des femmes.
Akila Ouared, coordinatrice, se souvient de quelques slogans scandés par quelques femmes, du genre : “Les hommes à la cuisine”, “Un dérapage avec lequel nous n’étions pas d’accord”. Par contre, elle n’a pas oublié les pétales de roses jetées à leur passage par les journalistes d’Alger Républicain, alors qu’ailleurs les manifestantes rencontraient les regards hostiles et noirs de la gent masculine. Dans son autobiographie Mémoire algérienne, le rédacteur en chef d’Alger Républicain, Henri Alleg, constate que la question du statut de la femme algérienne est toujours passée sous silence.
On met volontiers en évidence le rôle des femmes pendant la lutte de Libération nationale en rendant hommage à leur héroïsme et à leur courage, mais le discours devient flou dès qu’on aborde le problème de leur émancipation.
Pour saisir la portée de la contestation qui s’installe lentement mais sûrement, il faut rappeler que la rumeur avait fait état de l’existence d’un avant-projet de code de la famille. C’était suffisant pour donner à cette manifestation une tournure imprévisible. C’est ce qui s’affirmera dans le second espace d’expression à l’intérieur de la salle Majestic, où allait officier le président Ben Bella. À la tribune, avaient pris place le président Ben Bella, Balamane, administrateur de la ville d’Alger, Bouaziz, préfet du département d’Alger, ainsi que les représentants de l’UNFA, de la JFLN, les délégations de la Palestine, du Congo, de l’Angola etc.. Chauffées par l’ambiance de cette première rencontre entre femmes d’abord, puis avec le président de la République ensuite, les participantes, qui montrèrent une impatience qui peut être qualifiée de militante, allaient être vite déçues par les premiers mots du président Ben Bella : “Notre pays est mobilisé depuis l’indépendance pour affirmer sa solidarité entière, complète avec tous les mouvements de libération, avec nos frères qui combattent contre la dictature de Salazar…” Les participantes qui ne s’étaient pas mobilisées pour écouter une pareille évidence politique, réagirent par un brouhaha de plus en plus fort, au point où le président ne put continuer sur sa lancée.
Il entreprend alors de calmer la protestation naissante, en changeant de registre. “Je suis très heureux des banderoles réclamant la participation de la femme au sein du parti. Je suis convaincu que vos droits ne vous seront jamais attribués volontairement par les hommes. C’est par vos propres luttes que vous parviendrez à les obtenir. Je puis dire qu’il n’y aura jamais de socialisme sans la participation de la femme. Certains manifestent une crainte de voir les femmes obtenir tous ses droits (…) La femme, qui a pris ses responsabilités lors de notre lutte de Libération, mérite aujourd’hui de jouir de ses pleins droits (…). Nous voulons la participation de la femme, mais dans le cadre de nos valeurs arabo-islamiques” (3). Tout au long de son discours, Ben Bella encourage les femmes à se libérer elles-mêmes et à ne pas compter sur les hommes. Mais comment et avec ou sans le concours de l’État ? Il n’en dit pas un mot.
La manifestation des femmes vue par la presse
Le 10 mars 1965, Alger Républicain titrait en grande manchette à sa une : “Après le
8 mars : satisfaction chez les femmes qui sont décidées à continuer la lutte pour l’émancipation.” On peut lire en page 2 : “Le 8 Mars, journée internationale des femmes, a été un succès éclatant à Alger et à travers le pays. Nos sœurs, unies autour de l’UNFA, ont dit avec force leur désir de paix, leur solidarité avec les peuples en lutte pour l’indépendance, mais aussi leur volonté ferme de participer à la Révolution socialiste et à la construction du socialisme.”
Quel a été l’impact du discours de Ben Bella auprès des femmes ? “Ce fut un véritable tremblement de terre au bureau politique, notera plus tard un cadre du parti. Les hommes étaient effrayés, et lorsque, le lendemain, on a appris l’existence de centaines de divorces, ce fut la panique. Chacun voyait cela chez lui et les hommes ont réagi d’une manière conservatrice” (4). Catherine Lévy, militante de l’UGTA à Bab El-Oued, témoigne qu’au lendemain de la manifestation, plus de 50 femmes portant des traces de violences physiques arrivaient au local syndical pour demander aide et asile car elles étaient répudiées.
Le syndicat, l’UNFA, le parti les ont ignorées. Henri Alleg raconte que dès le lendemain, des femmes furent convoquées dans un commissariat de police sous l’accusation de “dévergondage”, parce qu’elles avaient lancé le mot d’ordre : “Les hommes à la vaisselle”. Akila Ouared réfute l’existence de divorces au lendemain du 8 mars 1965, qui reste une date charnière dans la lutte pour l’émancipation de la femme algérienne.
La presse n’a relaté que la manifestation “officielle”, et l’historiographie algérienne a complètement occulté cet évènement majeur de l’histoire du temps présent de l’Algérie.
Les Algériennes ont montré, en quelque sorte, que le 8 mars 1965 était la suite des journées de décembre 1960 en Algérie et de celles d’octobre 1961 en France. Ces trois manifestations ont prouvé et prouvent que la femme algérienne entend toujours jouer le rôle qui lui échoit dans une société en mouvement.
Sera-t-elle entendue ? La mise en place en 2009, au plus haut sommet de l’État, d’une Commission pour la promotion des droits politiques pour la femme constitue-t-elle la réponse idoine à une demande urgente ?
Cet écrit est dédié à la moudjahida, militante et journaliste Zohr Zérari à qui je souhaite longue vie.
M. E-K.
(1) Maître de conférences Alger 2.
(2) Témoignage de la moudjahida Akila Ouared, Alger, juillet 2009
(3) Le Peuple, 9 mars 1965
(4) Harbi Mohammed, Dufrancatel Christiane : Les femmes dans la révolution algérienne, in Les révoltes logiques (11), 1979-1980, 01-03, p.86
Source : article paru sur le quotidien liberté le 31-03-2012

Le mois de Ramadan est un mois sacré pour tous les Musulmans de la planète : c’est le mois de la foi et de la piété… mais c’est aussi le mois pendant lequel on cuisine le plus. Chaque jour en cuisine, on rivalise d’imagination pour préparer des délices tous plus appétissants les uns que les autres. Cela devient donc souvent un mois d’excès : on se fatigue beaucoup, on cuisine beaucoup, on dépense beaucoup, et on mange. Beaucoup.
Cette année, je vous propose donc quelques conseils simples pour faire en sorte de passer un minimum de temps en cuisine sans sacrifier à la qualité ni à la gourmandise. Un zeste d’organisation rendra vos journées tellement plus calmes, sans stress, sans fatigue, sans courir sous le soleil pour acheter tel ingrédient qui manque… Et surtout vous aurez du temps pour faire autre chose que le trio d’enfer auquel j’ai été abonnée ces dernières années :
– MATIN : qu’est-ce qu’on mange ce soir? ouffff j’en ai marre de nettoyer.
– APRES-MIDI : vite, vite, je dois acheter ci, et ça… oh qu’il fait chaud, j’ai soif, j’ai faim, j’en ai marre, zut je suis en retard, zut je n’ai plus d’argent, j’ai envie de dormir… (rayez les mentions inutiles).
– FIN D’APRES-MIDI : je ne finirai jamais avant l’heure du ftour (= rupture du jeûne)!
Résultat, je n’avais jamais le temps de faire autre chose, je n’étais pas détendue, et le soir j’étais trop fatiguée donc je ressemblais à ça :
Plaisanterie mise à part, vous aurez compris que le Ramadan est l’occasion idéale de prendre de bonnes résolutions et de s’organiser, afin de laisser plus de place au calme et à la spiritualité. Pour ma part, je vais parler d’un sujet que je connais très bien : la cuisine
1. Planifier les menus
Voici la clé, l’outil ultime qui vous évitera de réfléchir pendant des heures : il faut établir un plan de menus, hebdomadaire ou mensuel, c’est selon ce que vous préférez. Cela va dépendre surtout de la fréquence à laquelle vous voudrez aller faire vos courses. Je vous propose ici à télécharger gratuitement un plan de menus pour une semaine, afin que vous ayez une petite idée.
2. Lister les courses
Oui, la suite logique du plan des menus est la liste des courses. Je sais, c’est long à faire, mais il vaut mieux prendre 1 ou 2h et tout faire, pour ensuite être tranquille! Donc on crée son menu, puis on établit la liste de courses à prévoir en même temps. Vous gagnez du temps, et surtout vous gérez beaucoup mieux votre budget.
3. Préparer à l’avance
Une fois que vos courses ont été faites, il est temps de tout ranger bien sûr. Les produits d’épicerie dans le placard, les produits frais au frigo etc… En regardant la liste des menus que vous avez faite, vous pouvez préparer à l’avance beaucoup de choses. Par exemple : hacher le persil et le mettre dans le congélateur. Idem pour les portions de viande pour chaque repas, pour les légumes qu’on peut prédécouper (ail, oignons, poivrons, chou-fleur… tout cela se congèle très bien). Sauf si vous les achetez déjà congelés
4. Nettoyer
Personnellement je profite de cette période avant Ramadan pour faire mon grand ménage. Je brique la cuisine et tout le reste de la maison à fond, pour m’épargner trop de corvées quand je serai à jeun. Ramadan est un mois familial par excellence, on reçoit beaucoup de monde, et ça ajouté à la fatigue, il vaut mieux démarrer le frigo plein, l’esprit serein et la maison propre.

21 janvier journée mondiale du calin : Quel est l'immense pouvoir de la câlinothérapie ?
Prendre quelqu’un dans ses bras est un geste simple, mais bien moins anodin que l’on pourrait le penser. Qu'on fasse ou que l’on reçoive un câlin, les bienfaits sont les même. Quel est donc l'immense pouvoir de cette thérapie naturelle?
Pendant un câlin le cerveau secrète de l'ocytocine, de la dopamine, de l'endorphine et de la sérotonine. Ce cocktail magique contribue à notre bien-être, il diminue le stress et l'anxiété, augmente la confiance en soi, renforce les relations et l'attachement entre les deux "câlineurs".
Encore mieux, les câlins et autres contacts affectueux développent le cerveau des enfants et font notamment maturer le cortex préfrontal, zone essentielle du cerveau.
Pourquoi est-ce si difficile, dans notre société, de prendre quelqu’un dans ses bras ? Parce que on a peur de sa réaction, ce n’est jamais facile d’aller vers l’autre, on a toujours l’impression qu’il peut nous rejeter. Or, être rejeté, c’est ce qu’il y a de pire, c’est pour cela qu’il est parfois plus facile de câliner un animal comme les chats.
Dr Otmane Telba Médecin Psychiatre
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