
Pour la journée mondiale contre l’hépatite, célébrée le 28 Juillet, les laboratoires Roche ont organisé à l’hôtel Sofitel, en collaboration avec le Professeur Nabil DEBZI , hépatologue au CHU Mustapha , une session d’information sur les maladies hépatiques .
Le diagnostic précoce, grâce au dépistage biologique des virus B et C, permet le traitement au stade utile et empêche l’évolution de l’hépatite B et C vers la cirrhose et ses complications comme le cancer du foie. Le Fibroscan est une méthode non invasive qui permet de mesurer l'élasticité du foie, et donc le taux de fibrose (cicatrices).
L'hépatite cette maladie du foie d'origine virale reste longtemps silencieuse, voilà pourquoi une personne sur trois ignore qu'elle est infectée. Il se transmet la plupart du temps par voie sanguine, et plus rarement par voie sexuelle et périnatale. Dans 80% des cas, le malade ne présente aucun symptôme au moment de la contamination. Dans 20% des cas, l'infection se manifeste par une phase initiale avec fatigue, fièvre, douleurs articulaires et musculaires diffuses, maux de tête et signes digestifs (douleurs abdominales, nausées).
On estime que le virus de l'hépatite B (appelé VHB) est 50 fois plus contagieux que le VIH. Le risque de transmission du virus de l'hépatite B est donc très élevé.
Le cancer du foie est le stade ultime de l’hépatite. Si une hépatite ne guérit pas en 6 mois, elle devient chronique.
Le virus B est plus présent dans les wilayates du Sud et des Hauts Plateaux, par contre le virus C touche les wilayates de l’Est et de l’Ouest du pays.
Sa prévalence est en croissance exponentielle, en raison du surpoids, de l’obésité, et de l’immobilité dans la population générale.
Deux armes sont essentiels pour l’élimination des hépatites B et C, la vaccination contre l’hépatite B à la naissance instaurée dans notre pays en 2003, et le traitement anti viral C.
Il existe 58 centres de prise en charge, 3000 cas sont traités par an en Algérie. Le traitement anti-viral est fabriqué en Algérie depuis 2015.
Nadia Bessaha
A l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, les hôtels du Groupe Marriott en Algérie*, basés à Alger et Oran, annoncent le lancement de l’initiative « Un palmier pour demain » en collaboration avec l’ensemble de leurs partenaires. L’initiative consiste à recueillir les noyaux de dattes au niveau des différents restaurants, puis de les planter et les arroser afin d’en faire de futurs palmiers. Ces derniers seront ensuite replantés dans des zones arrosables à Alger et Oran. L’objectif visé est de planter 100 palmiers, deux fois par an.
Cette opération, une première en Algérie, se déroule au sein des hôtels du Groupe Marriott d’Alger et Oran, avec le soutien de leurs partenaires Renault Algérie, ABCOM et l’agence conseil en communication TBWA DJAZ.
M. Emanuele Nasi, Directeur Général de l’hôtel Le Méridien Oran et pilote du projet, a déclaré :« Il s’agit d’une idée très simple mais qui peut avoir un impact notable sur l’environnement : nos clients sont invités à placer les noyaux de dattes qu’ils consomment à l’intérieur des « boites à palmiers ». Ensuite, nos partenaires et nous-mêmes nous chargeons de planter ces noyaux et de faire grandir de nouveaux palmiers qui viendront agrémenter nos villes. Nous espérons que tout le monde répondra positivement à cette initiative, et que d’autres s’en inspireront. »
Ainsi, toute forme de valorisation du noyau de datte permet de développer une agriculture régénératrice et durable. Symbole de fertilité et de prospérité, les palmiers plantés continueront à être entretenus par l’entité qui les accueillera pour apporter de l’oxygène, de la verdure, et même leurs fruits.
* Le Méridien Oran, Sheraton Oran, Four Points by Sheraton Oran, Sheraton Club des Pins
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Le Plus Grand Salon de la formation et de l’orientation d’Algérie ''KHOTWA'' débarque à Alger !
Fort de trois éditions réussies à Oran et a Tlemcen, et qui ont rassemblées plus de 80 exposants et plus de 40.000 Visiteurs, Le Salon de l'Etudiant et des Nouvelles Perspectives ''Khotwa'' arrive au Palais de Culture d'Alger les 17 et 18 Février 2018.
Le but c'est de vous offrir un espace d’information et de découvert sur les choix d’études, les formations, et les opportunités qui vous ont offertes avec un éclairage pertinent afin de vous orienter efficacement dans vos plans de carrière et vos projets futurs.
Au programme des ambassades qui vous présenterons les programmes d’études à l’étranger, des universités Internationales et locales, les Ecoles Supérieurs, des écoles de formation professionnelles, des organisme de soutien à entrepreneuriat et des recruteurs.
Un Espace riche en échanges entre les organismes et les jeunes qui seront là pour s’informer, mais aussi pour exprimer leurs aspirations et leurs attentes.
Devenus une coutume appréciée, les ateliers, les conférences et les minis formations seront aux rendez-vous avec un nouveau programme toujours aussi riche et parfaitement élaboré sur plusieurs thématiques et touchants divers horizons.
Rendez-vous pris les 17 et 18 Février 2018 au Palais de la Culture Moufdi Zakaria.
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Apparemment conçue aux Mexique, la “flakka” a défrayé la chronique aux Etats-Unis, avant de traverser l’Atlantique pour la France, et d’arriver en Algérie. Cette drogue de synthèse, classée dans la famille des amphétamines, provoque de graves hallucinations et procure un sentiment d’invincibilité à l’origine d’actes d’une violence inouïe.
Les effets de cette drogue, communément appelée zombie en Algérie, sont spectaculaires. Elle peut pousser les personnes qui s’y adonnent à s’autodétruire ou à détruire les autres. Elle a même conduit certains consommateurs à commettre des actes de cannibalisme.
Cette drogue s’est manifestée publiquement dans notre pays suite au jugement et à la condamnation d’un champion national de judo, résidant à Chevalley, sur les hauteurs d’Alger. Depuis, la police suit de prés l’évolution de la consommation et du trafic de “flakka”.
algerie-focus.com
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#AHC ( alger holistics center) en partenariat avec le groupe #AZHotels, organise des séances de #Aqua #Yoga Prénatal et Aqua Yoga pour adultes au niveau de la piscine de #AZHotelKouba, sur une base hebdomadaire.
Pour les inscriptions ou tout autres renseignements veuillez nous contcter par
Numéro de telephone : +213 541 289 872 ou par
Email : algerholisticscenter@gmail.com
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Publié le 4 février dernier aux éditions Broché, en France, le livre intitulé Son œil dans ma main : Algérie 1961-2019 de Raymond Depardon (photographies) et Kamel Daoud (textes) est en rupture de stock à cause du succès qu’il a enregistré dans l’Hexagone.
C’est ce qu’a indiqué l’entreprise de commerce en ligne américaine Amazon, affirmant que depuis quelques jours, ce livre est “momentanément en rupture de stock”.
À noter que cet ouvrage fait l’objet, jusqu’au 17 juillet
prochain, d’une exposition à l’Institut du Monde arabe, un événement dont notre journal Liberté est partenaire.
RÉSUMÉ du livre
1961 Alger - Entre le printemps et l’automne de cette année charnière, Raymond Depardon, jeune reporter de 19 ans à l’agence de presse Dalmas, est envoyé à plusieurs reprises en Algérie. Lors de ses séjours dans la capitale, il saisit des scènes de la vie quotidienne, montrant deux mondes où se côtoient « Musulmans » et Européens d’Algérie, et capte la tension qui monte dans une ville où la présence de l’Organisation de l’armée secrète (OAS) se fait de plus en plus menaçante. Évian - Le premier round des négociations entre la France et les représentants du Front de libération nationale (FLN) pour mettre fin à la guerre d’Algérie a lieu à Évian, du 20 mai au 13 juin 1961. L’un des rares journalistes français à être accrédités auprès de la délégation algérienne, dans la villa du Bois d’Avault, au bord du Lac Léman (côté Suisse), le jeune Depardon saisit les « temps morts » qui lui sont si chers. L’Oranie - Durant les négociations, il fait partie d’un voyage de presse organisé en Oranie, pour y mener un reportage à Magra et Oued El Kheir (région natale de Kamel Daoud) où se trouve un « village coopérative ». 2019 Toujours en noir et blanc, Raymond Depardon photographie Alger, alors que la ville bat au rythme du Hirak, vaste mouvement de protestation entamé en février 2019. Puis il rejoint Oran par train, où, durant cinq jours, il retrouve Kamel Daoud pour de longues déambulations dans la ville. Ce qui frappe lorsqu’on observe ces photographies de 2019 : l’omniprésence des femmes, voilées ou pas, dans l’espace public. Nul mieux que Raymond Depardon n’a su capter cette évidence. Kamel Daoud, de son côté, imprégné des photographies des deux périodes, a écrit quatre textes très différents : trois pour 1961, un pour 2019. Ce sont des créations libres, s’emparant de l’histoire algéro-française avec le lyrisme, la fougue et l’audace propres au chroniqueur et écrivain algérien. Le livre est par ailleurs zébré de « comètes », textes courts – haïkus, visions –, fulgurances ricochant sur une photo grâce au graphisme « accoustique », épuré et élégant de Lili Fleury : elles vibrent, se répercutent, résonnent comme des lignes musicales.
Source : journal liberté
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