
Une différence thermique trop importante entre les températures extérieure et intérieure peut entraîner un choc thermique, parfois dangereux. Pour limiter ce problème et d’autres encore, suivez nos conseils pour bien utiliser votre climatisation.
La tentation d’allumer la climatisation pendant une période de canicule est grande, mais l’utilisation de cet appareil n’est pas sans dangers.
En effet, notre organisme est très sensible aux changements brusques de températures, surtout ceux supérieurs à 10 °C. Quels sont les effets de la climatisation sur notre santé ? Sont-ils inévitables ? Quelles précautions d'usage faut-il observer ? Doctissimo vous en dit plus :
Quels sont les effets positifs de la climatisation sur notre santé ?
La climatisation diminue la fatigue
La climatisation réduit la fatigue et la déshydratation provoquées par la canicule. Elle nous permet aussi de mieux dormir, car l’organisme a besoin de se refroidir pour déclencher les mécanismes d’endormissement. Il y a quelques années, une étude japonaise a montré que les fortes chaleurs réduisaient le temps de sommeil profond et augmentaient les réveils nocturnes.
Certains modèles filtrent l’air
Certains systèmes sont équipés de filtres à particules qui retiennent différents polluants et microbes. C’est le cas des climatiseurs dans les hôpitaux, ou dans des immeubles récents équipés de filtres F7 ou F8. S’ils ne retiennent pas toutes les particules virales, ils filtrent les poussières, les allergènes et les bactéries. Certains climatiseurs individuels équipés de filtre HEPA pourraient jouer ce rôle. « Le problème est qu’on ne connaît pas leur efficacité en conditions réelles d’utilisation », tempère le Dr Fabien Squinazi.
La clim' réduit le risque cardiovasculaire
Quand il fait très chaud, les vaisseaux cutanés se dilatent. Le sang se répartit dans les extrémités et le cœur doit produire plus d’efforts pour le pomper. Publiée en 2018, une étude américaine a montré que le fait d’être exposé quotidiennement à un air climatisé, de juin à septembre, réduisait le sur-risque cardiovasculaire en cas de coup
Climatisation : quels risques pour la santé ?
Si elle est mal utilisée, la clim' peut être source de problèmes de santé, mineurs pour la plupart.
Les climatiseurs assèchent les muqueuses
En provoquant un assèchement de l'air, elle peut induire une gêne oculaire ou ORL à l'origine de pharyngites, d'angines, de rhinites, d'allergies, d'écoulements nasaux ou encore de sécheresse oculaire.
« L’air froid et sec dessèche les muqueuses du nez et de la gorge, qui deviennent ainsi plus vulnérables aux microbes, explique le Dr Jacques Battistoni. C’est par ce biais que l’on attrape les rhumes imputés à la climatisation. » Cette dernière peut aussi provoquer une sécheresse oculaire, surtout chez les porteurs de lentilles, ce qui favorise les conjonctivites allergiques lorsque l’on y est prédisposé.
La climatisation peut provoquer des contractures
L’air froid dirigé sur les épaules peut entraîner une contraction musculaire réflexe. Ces douleurs sont susceptibles d’irradier dans le cou et de générer des maux de tête.
Attention aux chocs thermiques
Mais la climatisation peut aussi être à l'origine d'un choc thermique, si celle-ci est utilisée de manière intensive (par exemple si la température est programmée à 18°C alors qu’il fait 30°C à l’extérieur). Pour rappel : un choc thermique peut provoquer un malaise, une perte de connaissance voire, dans certains cas, un arrêt respiratoire. L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) recommande également de ne pas descendre la climatisation sous les 26 °C.
La clim' peut diffuser microbes et allergènes
Les climatiseurs individuels ne prennent pas d’air à l’extérieur. « Ils recyclent l’air intérieur, et se contentent de le refroidir et de le passer à travers de simples filtres à poussière », décrit le Dr Squinazi. Si une personne est malade dans la pièce, ou si des allergènes y ont pénétré, alors ils sont soufflés et dispersés par l’appareil, favorisant des contaminations multiples.
Enfin, un tel système doit être parfaitement entretenu afin de limiter la diffusion de bactéries et agents infectieux à l'origine de maladies respiratoires, comme la légionellose, une infection respiratoire sévère due à l'inhalation d'un aérosol d'eau contaminée par la bactérie Legionella pneumophilia. "Les appareils mal entretenus peuvent rejeter des champignons et des bactéries, en particulier des légionnelles, qui provoquent de graves infections. Ceux qui ne sont pas reliés à l’extérieur peuvent disperser n’importe quel virus ou bactérie présents dans la pièce" explique la Dre Anne Prud'homme, pneumologue.
Comment limiter les risques liés à l'utilisation de la clim' ?
Pour éviter les problèmes et profiter de l’air frais sans tomber malade, il existe de nombreuses alternatives. Avant de recourir à la climatisation, optez pour le système D : fermez les volets en journée, ouvrez-les le soir aux heures les plus fraîches. Utilisez un brumisateur, privilégiez l'utilisation de ventilateurs, et surtout, hydratez-vous.
Si vous souffrez de sécheresse oculaire (notamment si vous portez des lentilles de contact) exacerbée par la climatisation, n'hésitez pas à utiliser un sérum physiologique. En cas de gorge irritée, une seul solution : la salive. Hydratez-vous régulièrement ou optez par exemple pour des bonbons sans sucres, qui aident à saliver.
En voiture, la ventilation doit être orientée vers les pieds
Pour faire baisser la température rapidement au sein du véhicule, allumez la ventilation sur le pare-brise et vers les pieds. Une fois que l’air est bien rafraîchi, ne gardez la clim’ que sur les pieds. Evitez la projection d’air directement sur le visage, qui fragilise et irrite les muqueuses du système respiratoire.
Réglez votre clim à environ 4 °C de moins que la température extérieure et gardez bien toutes les fenêtres fermées.
Pour vous réhabituer à la température extérieure, éteignez la clim’ un quart d’heure avant votre arrivée à destination.
La clim', un danger pour l’environnement
Les systèmes de climatisation sont très gourmandes en énergie et les fluides frigorigènes utilisés sont nocifs pour l’environnement. Ils peuvent être une source de danger lorsqu’elles sont utilisées à mauvais escient. Selon un rapport publié en mai 2018 par l'Agence internationale de l'énergie, ces systèmes représentent près de 10% de la consommation électrique mondiale.
La climatisation des voitures participe également à la pollution de l'environnement. Non seulement elle augmente la consommation de carburant, mais on estime également qu'un véhicule climatisé rejette 5 % de CO2 de plus qu'un véhicule non climatisé. En cas de fuites ou de mauvais recyclage des véhicules, les fluides frigorigènes nocifs contenus dans le système de climatisation ont également plus de risque de se déverser à l'extérieur.
Bien entretenir son système de climatisation
Des filtres encrassés, de l’eau qui stagne, des germes qui prolifèrent… il en faut peu pour provoquer des symptômes respiratoires plus ou moins graves. La seule solution consiste à suivre à la lettre les recommandations d’entretien indiquées dans le mode d’emploi. Un manque d'entretien peut être une cause d'allergie.
- S'il s'agit d'un appareil mobile de climatisation, pensez à dépoussiérer les grilles toutes les deux à trois semaines (à l'aspirateur) et à les nettoyer à l'eau tiède savonneuse. Changez de filtre chaque année.
- S'il s'agit d'un appareil fixe de climatisation, il est essentiel de faire vérifier votre installation au moins une fois par un professionnel agréé : contrôle de l'étanchéité du système, de l'absence de fuite au niveau du circuit du fluide réfrigérant, nettoyage complet…
- On fait réviser le dispositif de sa voiture, et on nettoie les filtres de son appareil à la maison : ils se transforment vite en nids à germes.
Climatisation et coronavirus :
Dans le cadre de la pandémie de coronavirus SARS-CoV-2, à l'origine de la maladie Covid-19, plusieurs études scientifiques ont indiqué qu'il fallait absolument éviter de brasser de l'air recyclé dans un lieu fermé, au risque de favoriser la diffusion du virus. En effet, dans les bureaux ou autres bâtiments recevant du public, les virus sont plus nombreux et se propagent plus rapidement par le biais de la climatisation. Dans la mesure du possible, privilégier les systèmes de ventilation naturels. "Tous les appareils qui recyclent l’air peuvent véhiculer des particules virales à travers une pièce, à une distance de quelques mètres, suivant leur puissance. Celles-ci peuvent aussi être dispersées avec les systèmes de climatisation collective, mais on ignore si elles sont assez concentrées pour générer des contaminations" explique Dre Anne Prud’homme, pneumologue.
Face à la hausse des températures redoutée cet été, le ministère des Solidarités et de la Santé recommande de faire fonctionner l'appareil sur "tout air neuf", et non pas sur "recyclage partiel ou total de l’air". Les filtres doivent être nettoyés régulièrement et remplacés selon le calendrier habituel d’entretien. Par ailleurs, le flux d'air ne devra en aucun cas être dirigé vers les visages.
Ingrédients
3 oeufs
120 g de sucre de fructose ( en vente en pharmacie )
Faire griller les pistaches et les amandes dans une poêle, les poudrer de sucre et laisser caraméliser.
Séparer les blancs des jaunes.
Fouetter les blancs en neige puis ajouter le miel bouillant.
Ajouter le reste du sucre aux jaunes et fouetter. Incorporer les
Fouetter la crème en chantilly et l'ajouter à la 1ère préparation.
Puis enfin mettre les pistaches et les amandes concassées.
Mettre dans un moule à cake de préférence en silicone sinon mettre un film alimentaire au fond du moule afin de pouvoir démouler le nougat plus facilement.
Mettre au congélateur au moins 12 h avant de servir.
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ALGER- Des températures élevées allant globalement de la "normale à au-dessus de la normale" sont prévues cet été (juin-juillet-août), en particulier dans les régions côtières, en raison notamment du "déficit pluviométrique" enregistré durant l'hiver et le printemps derniers, selon les prévisions saisonnières de l'Office nationale de météorologie (ONM).
Les températures prévues pour la saison estivale "devraient être globalement supérieures aux normales à l'échelle du trimestre sur le sud de l'Europe ainsi que le sud de la Méditerranée", a indiqué à l'APS le directeur du Centre climatologique national (CCN), qui relève de l'ONM, Salah Sahabi-Abed.
Il a précisé que "les prévisions consensuelles élaborées dans cette analyse sont issues des résultats des prévisions tournées à Météo Algérie et celles issues de l'ensemble des modèles des centres climatiques des pays de la Méditerranée activant dans le cadre du groupement MEDCOF auquel participe l'Office national de météorologie".
"D'après les résultats, les modèles de prévisions saisonnières prolongent le scénario des prévisions précédentes de la saison hivernale décembre-janvier-février et printanière mars-avril-mai, qui a prévu avec une unanimité remarquable, des conditions de températures anormalement chaudes sur la Méditerranée et l'Algérie et des cumuls pluviométriques saisonniers en dessous à proche de la normale sur l'ensemble des régions du littoral algérien avec 80% de chance", a-t-il observé.
A cet effet, le climat sur le sud de l'Europe et la Méditerranée "devrait en moyenne être plus chaud et plus sec que la normale, sur la saison estivale", selon ces prévisions.
L'anticyclone des Açores (zone de hautes pressions qui se manifeste au nord de l'océan Atlantique) "devrait être plus développé qu'habituellement en s'étendant sur l'Europe", a indiqué le directeur du CCN, ajoutant qu'en raison du déficit pluviométrique enregistrée durant les deux précédents trimestres (l'hiver et le printemps), "ces situations anticycloniques prévues de se manifester au-dessus d'un sol sec pourraient augmenter le risque de vagues de chaleur".
"La vigilance reste donc de mise", a-t-il prévenu, "puisque les températures estivales sont prévues d'être anormalement chaudes au-dessus de notre région, ce qui pourrait constituer un danger sur le plan de santé et de confort humain, notamment pour les personnes vulnérables et les malades chroniques".
M.Sahabi a expliqué que "l'anticyclone des Açores est une zone de haute pression qui domine les conditions atmosphériques estivales dans les régions tempérées, à l'instar du nord de l'Afrique et l'Europe, et qui, en se renforçant, engendre des situations météorologiques chaudes et sèches".
Il a précisé, à cet égard, que "la présence de ce centre d'action anticyclonique s'étendant sur la région méditerranéenne et le Nord de l'Afrique, y compris l'Algérie (notamment les régions côtières) favorisera des conditions atmosphériques stables, persistantes et chaudes".
"De ce fait, les prévisions donnent des températures normales à au-dessus de la normale sur ces régions à 80% de chance", a-t-il indiqué, précisant que "la normale indiquée ici est celle relevée entre 1981-2010", ajoutant que "les prévisions données par le modèle ARPEGE-Climat tourné à MétéoAlgérie confortent les résultats issus de ces centres climatiques de la Méditerranée, en prévoyant des conditions également anormalement chaudes pour la saison d'été".
Il est à rappeler que la prévision saisonnière informe sur la vigueur de la saison et dessine la tendance globale des paramètres de précipitations et de températures par rapport aux quantités et valeurs normales observées habituellement. La prévision saisonnière a donc pour objectif de déterminer le climat moyen sur la saison à venir à l'échelle d'une région ou d'un pays par exemple.
"Contrairement aux prévisions à courtes échéance (1 à quelques jours), l'information n'est pas chiffrée, mais donnée sous forme de prévisions qualitatives en forme de classes qui renseignent sur les grandes tendances (plus chaud ou plus froid, plus sec ou plus humide que la normale) avec un taux probabiliste", a indiqué ce spécialiste.
Il a souligné que "dans certains cas, aucun scénario dominant ne se dégage: faute d'éléments probants de la circulation atmosphérique à grande échelle susceptibles d'influencer le climat des prochains mois, il sera alors impossible de privilégier une hypothèse", a-t-il fait savoir, ajoutant que "les performances des prévisions saisonnières sont très variables. Elles sont généralement meilleures pour la température que pour les précipitations".
La situation "Normale" signifie "la condition qui se trouve proche de la moyenne statistique prise comme référence climatologique calculée sur une période représentative ici de 30 années et appelée communément Normale Climatologique".
"En raison des conditions de températures prévues d'être anormalement élevées, il est fortement recommandé de prendre connaissance des bulletins de prévisions émis quotidiennement par les services de prévisions de Météo Algérie, ainsi que la carte vigilance qui indiquera le niveau requis pour se protéger contre le phénomène de canicule ou de vague de chaleur ou tout autre phénomène dangereux, donné 24h à l'avance et à l'échelle de la wilaya et ce, durant toute la saison estivale", a-t-il notamment recommandé
Il a indiqué, à ce titre, que les citoyens sont invités à télécharger l'application de l'ONM disponible sur le site www.meteo.dz pour se renseigner en détails sur le temps prévu et les alertes météorologiques lancés à l'occasion des phénomènes météorologiques exceptionnels afin de prendre les précautions nécessaires et suivre les consignes dictées.
APS
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Comment nettoyer une planche à découper ?
Véritable foyer à microbes à force de découper différents aliments tels que la viande, le poisson, ou les légumes, il est important de bien savoir la nettoyer et la désinfecter en profondeur afin qu’elle ne devienne pas une colonie de germes.
Voici 3 astuces simples et économiques pour nettoyer votre planche à découper :
Le citron :
Frottez avec une rondelle de citron votre planche à découper, et laissez agir pendant 15 min, cette astuce permet de désinfecter efficacement votre planche à découper.
Le bicarbonate de soude :
Les microbes détestent le bicarbonate, raison pour laquelle, il ne faut pas hésiter à saupoudrer votre planche à découper avec cette poudre magique durant quelques minutes, frottez avec une brosse a dent puis rincez à l’eau claire.
Le vinaigre blanc :
L’acide acétique contenu dans le vinaigre lutte efficacement contre les bactéries.
A l’aide d’une petite brosse à dent et quelques gouttes de vinaigre blanc, frottez votre planche à découper pendant quelques minutes, rincez puis essuyez.
ED
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Certaines femmes souffrent de sécrétions vaginales persistantes, et la persistance des sécrétions vaginales indique un problème de santé qui nécessite d'aller chez le médecin pour le traiter.
Les sécrétions vaginales diffèrent d'une femme à l'autre, certaines femmes souffrent de sécrétions vaginales fréquentes et persistantes, et d'autres ne souffrent pas de ce problème.
Les causes des sécrétions vaginales varient entre les causes naturelles et les raisons qui nécessitent un avis médical.
Causes naturelles des sécrétions vaginales :
1- La période d'ovulation
Les sécrétions vaginales augmentent au milieu du cycle menstruel, qui s'appelle le moment de l'ovulation, lorsque le corps se prépare à libérer un ovule de l'ovaire, et une femme peut ressentir de la douleur pendant cette période.
Et les sécrétions vaginales peuvent durer quelques jours avant l'ovulation et jusqu'à la fin de la période d'ovulation, car les sécrétions sont parmi les symptômes les plus importants de l'ovulation chez une femme.
2- Se sentir en colère
Parfois, lorsque vous vous sentez irrité et en colère, les vaisseaux sanguins des organes génitaux se dilatent et, par conséquent, le vagin libère du liquide, ce qui provoque l'hydratation de la muqueuse vaginale et l'augmentation de l'incidence des sécrétions.
Et dans le cas où les sécrétions sont associées à la colère, elles disparaissent après une sensation de calme psychologique et de relaxation, et peuvent revenir si vous vous sentez à nouveau en colère.
3- Utilisation du dispositif intra-utérin
De nombreuses femmes ont recours au DIU comme méthode de contraception efficace, ce qui signifie la présence d'un corps étranger dans l'utérus, ce qui entraîne une irritation des tissus sensibles et l'apparition de sécrétions vaginales.
Les sécrétions vaginales peuvent persister tout au long de la période d'insertion du DIU et ne sont pas indicatives d'un problème de santé, et peuvent disparaître une fois que le corps s'est habitué à sa présence, ou se produire par intermittence.
4- Utilisation de la contraception hormonale
La contraception hormonale provoque également une augmentation des sécrétions vaginales, car ces méthodes provoquent des changements dans les hormones œstrogènes et progestérone dans le corps de la femme.
Et ces sécrétions peuvent continuer pendant toute la période pendant laquelle la femme utilise la contraception hormonale, mais cela ne signifie pas qu'elles sont dangereuses pour la femme, et ce n'est pas une source de préoccupation.
5- Premiers signes de grossesse
Les pertes vaginales sont l'un des signes précoces les plus importants de la grossesse, ce qui est normal et courant pour de nombreuses femmes, et en cas de cycle menstruel tardif, une femme doit faire un test de grossesse.
Ces sécrétions se produisent pour protéger le fœtus contre les infections qui peuvent se propager au sommet du vagin et de l'utérus, et sont souvent légères, transparentes ou blanches, et peuvent s'arrêter à mesure que les mois de grossesse progressent ou se prolonger jusqu'à la fin.
Dr LAKER ZAKIA Gynécologue
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