
Le chanteur de rap égyptien, Khalid Gad, a sorti une nouvelle chanson en en solidarité le peuple Algérien.
La chanson " VIVA l'Algerie " qui a dépassé les 100 000 vues quatre jour apres sa publication sur Youtube. Elle contient des passages extraits de l’hymne nationale « Kassaman » et d’autres sur la souffrance du peuple algérien.
Un trés bel hommage !
voici la video de la chanson :
https://www.youtube.com/watch?v=F_9PqackpJA

2 œufs
100g de champigons de paris
2 cuisses de poulet
Sel,poivre
Estragon
Étape 1 :
Inciser la peau en bas du pilon. ôter délicatement la peau sans la déchirer et la mettre de coté. Couper le plus gros de
chair de la cuisse. Mettre les os à cuire dans une casserole d'eau bouillante.
Étape 2 :
Mixer la chair avec les champignons. Ajouter la chair cuite des os et 2 œufs, mélanger. Ajouter l'estragon, saler, poivrer. Mélanger.
Étape 3 :
Farcir la peau en remplissant bien au niveau du pilon. Replier la peau sur la farce.
Étape 4 :
Dans une poêle beurrée, cuire à feu moyen environ 10 minutes de chaque coté pour que cela soit bien doré et croustillant.

Le débat sera tranché la semaine prochaine après les résultats de l’essai clinique européen Discovrey, où cinq médicaments ont été testés (antirétroviraux et la chloroquine) sur 3200 patients, dont 800 Français. En Algérie, la question a été débattue entre les experts, au début du mois de mars, et la décision de prescrire la chloroquine a été prise et le protocole établi.
Les premières évaluations des patients traités à l’hydroxychloroquine et à des antirétroviraux dès le 23 mars dernier semblent satisfaisantes. Le traitement en question initié dans les pays, tels que la Chine et par un infectiologue français à Marseille a suscité un tollé au sein de la communauté scientifique française notamment. La preuve scientifique quant à l’efficacité de ce produit antipaludéen, qui existe depuis 80 ans , n’est pas prouvée, selon certains experts.
Le débat sera tranché la semaine prochaine avec les résultats de l’essai clinique européen Discovrey, où cinq médicaments (antirétroviraux et la chloroquine) ont été testés sur 3200 patients, dont 800 Français. En Algérie, la question a été débattue entre les experts, au début du mois de mars, et la décision de prescrire la chloroquine a été prise et le protocole établi.
Il s’agit donc de prescrire, dans un premier temps, l’hydroxychloroquine sans l’azithromycine aux cas positifs de Covid-19 modérés et sévères puis élargis aux formes bénignes symptomatiques et asymptomatiques. Chose faite dès la validation du protocole par le comité d’experts au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
Premier établissement hospitalier à prescrire de l’hydroxychloroquine après l’approbation du protocole thérapeutique par le Conseil scientifique de suivi et d’évolution du Covid-19 le 23 mars dernier, l’hôpital El Kettar enregistre les premiers patients guéris du Covid-19 après avoir été traité à la chloroquine et aux antirétroviraux associés à un antibactérien.
Ainsi, 17 patients ont quitté l’hôpital entre jeudi et vendredi, nous confie le Pr Nassima Achour, chef de service infectiologie. «Ces patients, dont la tranche d’âge varie entre 40 à 60 ans, ont très bien répondu au traitement de l’hydroxychloroquine étalé sur 10 jours.
Leur état s’est progressivement stabilisé et ils n’ont présenté aucun effet secondaire», s’est elle félicitée. Et de souligner que «14 autres patients sont également en rémission. Leur sortie est prévue demain après les résultats du deuxième contrôle à la PCR», a–t-elle ajouté. Et de préciser que les patients traités à la chloroquine durant 7 jours sortent le huitième jour après avoir fait un test de contrôle à la PCR.
«Ceux qui sont traités aux antirétroviraux, médicament destiné au VIH sida mais réservé seulement aux patients pour qui la chloroquine est contre- indiquée sortent au bout de dix jours de traitement», a-elle expliqué. A l’EPH de Boufarik, 4 premiers patients ont été traités à la chloroquine, 6 autres mis sous l’hydroxychloroquine devaient terminer le traitement vendredi dernier.
«Deux malades sont guéris et ont déjà quitté l’hôpital», affirme le Dr Mohamed Yousfi, chef de service à l’EPH de Boufarik. Et de signaler que 65 patients sont traités à l’hydroxychloroquine durant dix jours, ainsi les patients pour qui cette molécule est contre-indiquée sont mis sous antirétroviraux. Il estime que «les résultats pour le moment sont satisfaisants sur le plan symptomatique. Des examens de contrôle seront effectués et c’est sur la base des résultats qu’on pourra se prononcer».
Le service des maladies infectieuses du CHU d’Oran, qui a entamé il y a une dizaine de jours le protocole de traitement des cas de coronavirus avec de la chloroquine, commence à avoir des résultats «encourageants pour la plupart», selon la chef de ce service, le Pr Mouffok Nadjet, a rapporté hier l’APS.
A noter que le ministre de la Santé, le Pr Abderrahmane Benbouzid, a affirmé la semaine dernière que «les données sanitaires et les études menées par les experts sur l’utilisation du protocole à base de chloroquine en association avec des antibiotiques, font état d’indicateurs satisfaisants». Le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de coronavirus, le Pr Djamel Fourar, avait annoncé que 61 malades avaient suivi le traitement à la chloroquine.
elwatan.com

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A la veille de la célébration de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, instituée chaque 25 novembre, le réseau de défense des droits des femmes Wassila/Avife a marqué l’occasion en plaidant une autre manière de reconnaître le martyre que subit la femme algérienne.
En effet, le temps d’une conférence, l’Institut national de la santé publique (INSP) s’est transformé en véritable tribune pour la présidente
du réseau, Mme Mammeri Wahiba Oussedik, pour défendre la mise en place d’un module de «victimologie» dans l’enseignement supérieur.
En plus d’être la thématique de la rencontre, la victimologie sert les victimes dans la mesure où comprendre ce qu’elles ont subi peut mener à identifier les meilleures voies de les protéger. « La victimologie n’a pas son module dans l’enseignement et sa spécificité, étant la science de la victime, n’est pas bien prise en charge », a déploré Mme Oussedik. Cette spécialité pourrait grandement contribuer à une meilleure prise en charge des femmes violentées et à mieux lutter contre le fléau de violence envers la femme. « Si de grandes avancées ont été enregistrées en matière d’égalité entre l’homme et la femme, un volet consacré, notamment, par la Constitution, sur le terrain, on ne trouve pas la même connotation à cause, notamment, des comportements et des mentalités qui caractérisent la société algérienne », a-t-elle fait observer.
Soutenant qu’« il y a encore beaucoup de travail à faire pour changer les choses ». Elle a mis, à cet égard, l’accent sur le rôle de « la communication pour aller de l’avant, à travers un débat constructif des principaux acteurs concernés comme la justice, la santé, l’enseignement et la solidarité, et aussi en matière d’éducation et d’information». Justement, à propos d’éducation et d’information, Mme Oussedik laisse entendre qu’il faudrait que cet effort commence dans la cellule familiale, premier foyer des violences faites aux femmes. Elle parle des violences conjugales et intrafamiliales qui sont les plus fréquentes avec 80% environ des cas. D’ailleurs, les chiffres de la police nationale, rendus publics il y a quelques jours au cours d’une rencontre tenue pour la même circonstance, confortent les dires de Mme Oussedik. Sur les 7 061 cas répertoriés au cours de cette année, 54 % des agressions contre les femmes ont été commises au sein des foyers alors que près de 22 % l’ont été dans les rues et près de 15 % au niveau des quartiers où ces femmes résident.
En cause, le système patriarcal qui consacre la domination masculine et octroie aux hommes un droit de violence sur les femmes. Et Mme Oussedik d’insister sur le fait qu’il « est temps que la victimologie sorte de l’improvisation, de la dispersion et d’un suivi à court terme et qu’elle sorte aussi du champ exclusif de l’action humanitaire. Elle doit être institutionnalisée, enseignée, structurée, la victime, sujet de droit étant au centre d’actions pluridisciplinaires concertées».
Ce faisant, l’objectif de cette journée d’étude est de «poser les bases d’une collaboration dans la durée avec l’espoir d’apporter des réponses concrètes aux besoins multiples des femmes victimes», souligne la présidente de l’association.
source : reporters.dz
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