
Asma, qui venait juste d’avoir son bac, allait rejoindre les bancs de l’université et avait devant elle un avenir radieux. Seulement un fou furieux a décidé de mettre fin à sa vie en lui assénant 15 coups de couteaux mortels.
Asma était sortie pour une petite course dans sa localité d’El Rouached à Mila. Soudain, un individu s’approcha d’elle. Méfiante, Asma refusa de lui parler. Aussitôt, l’individu lui asséna plusieurs coups de couteaux.
Grièvement blessée, Asma succomba à ses blessures sur le chemin de l’hôpital. Arrêté, le criminel a été condamné par le tribunal criminel de Mila à la perpétuité pour homicide volontaire avec préméditation. C’était en 2017.
Mais deux ans après, l’affaire vient de connaître un rebondissement inattendu. En appel, le tribunal criminel de Constantine a acquitté l’auteur du crime. Sa famille avait présenté des documents médicaux prouvant que l’auteur du crime est un malade mental. La famille de la victime compte porter l’affaire devant la Cour suprême.
Source TSA

ALGER - Des expositions, des concerts de musique et des rencontres littéraires et poétiques, animés par des artistes et écrivains algériens, sont au programme des Journées culturelles algériennes à Irbid (Nord de la capitale jordanienne Amman), prévues les 22 et 23 juin, dans le cadre des célébrations d'"Ibrid, capitale de la Culture arabe 2022".
Une exposition sur la Calligraphie arabe et une autre de l'artiste peintre, Nedjoua Seraa, au titre de "Orgue N'Ajjer", une belle tentative visant à "percer" les mystères de la cité perdue de Sefar, dans la région du Tassili N'Ajjer, ont inauguré mercredi ces Journées algériennes.
Des concerts de chants de différents registres du terroir musical algérien, animés par la chanteuse de musique andalouse, Lila Borsali, l'interprète du genre pop-raï, Hakim Salhi et la voix de la région des Aurès, Nadia Guerfi sont prévus pour prendre le relais et clore cette première journée.
La ville antique d'Oum Keïss accueillera jeudi, une rencontre littéraire animée par l'écrivain Abdelouahab Aissaoui et la poétesse Soumiya M'hanèch, dans le même élan de célébration, marquant la présence de l'Algérie au sein de cette grande manifestation culturelle arabe.
aps
Exposition : Installation. Semelles de vent de Dokman (Temps fort mode)
dimanche 04 mai à 18h00 à l'Institut français d'Alger
Vernissage, dimanche 4 mai à 18h00 en présence de Dokman Une exposition spécialement conçue pour les journées de la Mode à l'Institut français d'Alger
Au cours de mes pérégrinations, j'ai rencontré pas mal de marcheurs qui arpentent le monde. ...L'un d'eux ma fait découvrir que l'art de la marche qui nous pousse vers l'horizon pouvait nous donner des pieds ailés et que même avec des sandales de caoutchouc on pouvait conquérir le monde et...la mode.
Mais il fallait aussi rencontrer le savetier, le savant artisan qui enveloppait le pied en le soutenant avec élégance, le portait par monts et par vaux tout aussi vaillant pour franchir les Sept lieux que traverser un salon...chaussé d'escarpin...
Pour gagner le large et le grand air, le cordonnier a conçu et imaginé des semelles qui facilitent la marche, la danse sur le monde et nous emmène aussi dans la création et toutes ses fantaisies.
Ce vent qui ventile la Chaussure c'est Gla'gla et Karim Oumnia qui l'a ap-privoisé apportant au marcheur toute la légèreté qui l’entraîne et le met en joie !
Il était tentant après les fantasmes sur les cravates de s'exercer sur les chaussures et de s'élancer vers quel¬ques variations, un peu design, sans apprêts, au débotté pour ainsi dire...
Du sport au salon , du terrain aux rues, toutes les déambulations sont trans¬formées en jeux de scène, en montage et en touches de couleurs au gré du parcours qu'on peut rêver ou peut-être que la chaussure nous inspire .

Ambassade du Japon en Algérie vous inviter au concert de Wadaiko (tambour japonais) et Shinobue (flute traditionnelle japonaise) par le groupe Wagaku-Miyabi (和楽*雅), le mardi 25 février à la Salle Ibn-Zeidoun.
Entrée Libre


De nombreuses maladies héréditaires (ou génétiques), à l’origine de graves déficiences intellectuelles chez l’enfant, résultent de mariages consanguins. C’est ce que l’on retient de la journée d’étude organisée hier à l’Ecole supérieure de la Sécurité sociale par le ministère de la Solidarité, de la Famille et de la Condition de la femme, sur le thème : «Problèmes liés aux mariages consanguins en Algérie».
Nedjma Merabet - Alger (Le Soir) - Dans son discours d’introduction, Mme Eddalia expose la démarche des autorités avec un historique revenant sur les pratiques dites endogames.
Le mariage étant un pilier de la société, la nécessité de le penser et de le régir s’impose donc pour les pouvoirs publics, afin d’assurer la sécurité sanitaire des citoyens. Dans ce cadre, l’allocution de la ministre insiste sur l’importance du certificat médical prénuptial et invite toutes les parties de la société (écoles, mosquées, société civile, praticiens de la santé …) à s’investir dans la campagne de sensibilisation à ladite mesure, afin de prévenir et/ou traiter à temps certaines maladies. Le discours de la ministre rappelle que la recrudescence des enfants souffrant de handicaps et issus de mariages consanguins est une preuve de la faiblesse de la conscience individuelle et collective. C’est en appui de cette idée que les divers scientifiques intervenant lors de la journée d’étude axent plus sur les retards mentaux résultant de maladies génétiques, potentiellement en rapport avec la consanguinité, que sur d’autres formes de handicaps (moteurs, physiologiques, etc.).
Il est constaté une présence inquiétante en Algérie de maladies telles que la trisomie 21, diverses maladies hématologiques, ou encore la phénylcétonurie, l’hypothyroïdie congénitale… Toutes étant des maladies génétiques et impliquant le plus souvent des déficiences mentales ou intellectuelles, ou encore des cas aigus d’autisme.
On recense un taux de 22 à 26% de mariages consanguins dans la communication du Pr Arrada, tandis qu’il est de 33% selon le discours de la ministre, qui reprend les chiffres de la Forem (Fondation nationale pour la promotion de la santé et la recherche médicale).
Pourtant, les chiffres présentés par un document scientifique, émanant de l’OMS, contrarient quelque peu cette approche. En effet, 47% des cas de retard mental sont dus à des facteurs génétiques dans les pays dits développés, contre 15% dans les pays dits en développement, selon ce document. Tandis que les chiffres concernant les facteurs environnementaux s’inversent. Pour la trisomie 21, le même document fait état d’un taux légèrement plus élevé dans les pays développés que dans les pays en développement. La journée d’étude tire la sonnette d’alarme concernant la problématique soulevée, attirant l’attention de l’auditoire sur son implication dans le retard de développement. C’est pour cette raison que la ministre insiste dans son allocution sur l’importance du certificat médical prénuptial, consacré par le code de la famille, mais aussi par le récent code de la santé, dans l’espoir de dépasser les refus de cette démarche, qu’ils soient principiels ou dédaigneux.
Il y a quelques années, un débat avait été institué pour inciter les autorités chinoises à établir une telle mesure légale pour les mariages, liant les maladies consanguines au taux d’enfants abandonnés.
.lesoirdalgerie.com
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